11 MARS
De notre hôtel pour aller sur la place du village il y a une pente super abrupte, le matin sac à dos ça réveille.
Départ théorique 7 h 50, 8 h nous partons jusqu’à Pereira 5500 P 30 mn. Un bus part à 9 h pour Medellin 5 H théorique de trajet pour 190 Kms, bonne moyenne en perspective.
De Péreira la route descend dans une vallée étroite nous suivons le Rio Cauca, tumultueux à souhait, bon pour le rafting.
Nous perdons les champs de Café au profit de la culture d’arbres fruitiers ; la nature se fait plus jaunie, les vaches différentes, la route virage sur virage on comprend pourquoi la moyenne ne sera que de 40 K/H ; 12 h arrêt casse croute dans un restoroute » locale, nous allons dans une gargote en face excellent poisson pané, pas du poisson carré du vrai poisson blanc du rio.
Nous sommes descendus environ à 1600 m, le rio s’élargit, nous le quittons pour refaire de la montagne et repasser les 2000 m revoir les champs de café avant de redescendre sur Medellin, trafic intense, mais le chauffeur connaît le parcours,
Heureusement nous sommes dans un grand bus 45 places, donc beaucoup moins secoués .14 H45 gare routière sud de Medellin, un bureau d’information, une hôtesse sympa nous donne un plan et la liste des hôtels. Hôtel CAS MAYDEE , n’est pas sur le guide, Callé 10 # 37 39 hostalcasmaydee@gmail.com Un studio avec cuisine 70000 p c’est le même prix ailleurs pour une chambre simple, la réceptionniste une Afro-américaine, gentille, nous avons du mal à nous comprendre, elle a un accent différent,
12 Mars bonne nuit de repos malgré le bruit, nous sommes dans le cartier « chic » de Medellin El Pobaldo , un match de foot les gens sont assis sur le trottoir pour regarder un match important paraît il, avec les boules quièsses pas de problème. Métro à 15 mn c’est 1800 P on met le ticket pour passer le tourniquet, ticket non rendu, il ne doit pas y avoir de fraude, ceux ne sont pas des agents de la compagnie, mais la police qui contrôle tout, flic aux entrées, flic sur les quais, flic partout, le métro est super propre, pas de tag, pas de vitres rayées, pas de sièges détériorées, résultat ça coûte moins cher au contribuable . Descente dans le centre ville, ce qui surprend c’est le monde dans la rue, ça grouille de partout, première photo de la femme tronquée de Botéro, les autres sculptures se trouvent sur la Plazoleta de las Esculturas et 3 autres sur le Parque San Antonio, Vous avez les photos, Visite du musée Antioquia, où sont exposées les peintures de Botéro ainsi que qq sculptures. Tout ce qu’il peint est rond que ce soit personnage, nature morte, mobilier, c’est tout rond, il n’a pas eu de mal à trouver des modèles. Ballade dans le centra la Plaza Bolivar rien de bien intéressant, la cathédrale est fermée. Almuerzo « RESTAURANTE FONDA » une bonne adresse 6000p , la serveuse aurait pu servir de modèle à Botéro, lequel vit toujours à Paris Nous passons devant un magasin de cuir, qui vend tout ce qui concerne le cheval, de splendides selles, lassos, étriers cuir, fonte d’alu toutes les sortes, J’achéte un étui de machette 9000 P .LUIS MIGUEL URIBE calle 45 n° 45/17 tradicionzg@hotmail.com ceux qui passent dans le coin ,ça vaut le détour. Nous continuons dans la même rue, les bâtiments de la mairie et une grande place El Parque de la Luz la place des lumières, des poteaux ronds en béton équipés de tubes néon, et plantes d’arbres, c’est un mail qui fait environ 1 ha, en face l’ancienne gare « estacion ferocaril » transformée en banque. Depuis Arménia nous avons trouvé un changement, le mode de vie est plus occidentalisé, les femmes sont élégantes, le physique des gens changent, beaucoup d’Afro-américains de nombreux restaurants ouverts le soir, , nous ne sommes plus dans l’Amérique des Andes. COCORICO beaucoup plus de voitures RENAULT Clio Logan Twingo et une identique à la Chevrolet 5 places dont le nom varie suivant les régions. Nous sommes dans un autre monde.
13 mars, On change des euros et on gagne 50 p de mieux. Métro pour la bibliothèque qui est situé sur une montagne dans un quartier défavorisé « comme chez nous »Nous prenons la ligne principale, à la station ACEVEDO changement pour prendre un »METROCABLE » télécabine qui dessert trois stations le terminus étant SAN DOMINGO. Il a fallu de l’audace pour installer cette immense bibliothèque, centre culturel, dans une sorte de « FAVELLA », Trois cubes, difformes, en briques peintes en noir, l’architecte, un colombien s’est fait plaisir, un peu le style du « Futuroscope » des formes libres. Une autre télécabine dessert un parc plus haut dans la montagne. Nous redescendons pour aller au Musée de l’Université. Il y a un planétarium fermé pour travaux.
Magnifique campus universitaire, des bâtiments de un à deux étages, implantés dans un parc naturel. Nos amis sud –américains sont assez violents et incisifs, dans cette université, pas de tag sur les murs, rien de détériorés, par contre des panneaux de murs sont peints, comportent des textes très radicaux, avec des peinture explicatives, cet (état d’esprit permet de revendiquer sans tout casser, (il y a eu des manifestations étudiantes violentes à Bogota contre la « LEY 30 » qui d’après ce que j’ai compris tendrait à privatiser ou rendre payantes certaines facultés ; ici quand sa se déchaîne, ça se déchaîne.
Visite du musée nous croyions voir une exposition sur l’art « précolombien », mais elle est remplacée par une expo temporaire d’artiste colombiens, malheureusement rien de bien intéressant. Visite du cimetière, des caveaux par centaines, en étage, partout ou il y a de la place, un peu étrange. Nous regagnons le centre à pied, pour prendre le métro est, aller au musée d’art contemporain, pas de chance à l’arrivée le musée est fermé préparation d’une nouvelle expo. Medellin : le Toulouse à la Colombienne, la ville est toute rose des tuiles aux murs, tout est construit en brique, à l’exception de nouveaux bâtiments qui apportent quelques nuances de gris dans le paysage. On peut rencontrer le frère de PABLO ESCOBAR (abattu en 1993) ex chef du « Cartel de Medellin » cartel de la drogue ; le frère donc peut nous raconter sa vie et celle de son frère moyennant 55000 p / p
14 MARS
5 H 30 levés taxi pour l’aéroport JM CORDOBA à 35 KMS 45 mn de trajet 55000 P, il faut passer les montagnes au sud ( il fait 14°) et redescendre dans une petite plaine.
Comme BOTERO ici tout est rond, le plan de l’aérogare en demi cercle, l’aérogare au RDC départ et arrivée des coursives en étage avec restos, de nombreux commerces. Hall Très clair et spacieux, la couverture du hall une structure métallique 3 m de mur vitrées , un dôme en plein cintre couverture en « polycarbonate » armé, système astucieux et économique, le polycarbonate se cintre facilement , laisse passer la lumière, et gros avantage, quand il est poussiéreux ça ne s’aperçoit pas, propre, clair pas cher, bravo à l’archi( pour une fois), la salle d’attente, toiture à une pente toujours polycarbonate, avec des lamelles pour protéger du soleil, pas un seul point d'éclairage, un vaste déambulatoire devant les postes d’embarquement, Internet disponible gratuitement partout,un aéroport confortable
.
L’archi qui a pondu Saint Ex à LYON devrait venir se rendre compte, lui qui nous a fait l’ un des plus inconfortables aéroports, à villes égales, du monde.
Airbus A 318 départ à l'heure et arrivée à 11 H à Cartagena sur a côte CaraÏbes
Un intéressant « book promotionnel » à bord avec en particulier le montant du salaire minima en Colombie : 257 € pas de quoi pavoiser ;
J’ai un ami de plus de 30 ans qui va régulièrement au Venezuela où le salaire minimum et quasiment identique ( 275 € Sept 2011), cet ami trouve que les gens vivent heureux avec ces salaires de misère, de plus ce cher ami est un actif défenseur d’un candidat à la prochaine présidence un certain Dup…….- ……….gnan ( qui a pris la place laissée vacante par le créateur d'un grand spectacle au pays des "ventres à choux") si ce D.........-.............gnanr pense pareil, si vous avez deviné de qui il s’agit vous savez pour qui ne pas voter, s'il était élu vous auriez droit à 400€ en tenant compte de la derive des continents ( hihihi)
Taxi 9500 P prix déterminé par le service taxi de l’aéroport.
Vieille ville, les hôtels sont assez cher rapport qualité prix, après maintes recherches option de Hôtel "el Viajero" 80000 P tout ce qui est au dessous de ce prix, ça ne mérite même pas le nom d’hôtel.
Visite de la ville avec un très explicite musée des tortures, de l’Inquisition, quelques spécimens assez imaginatifs, Merci aux jésuites d’avoir apporter au nom de la religion le progrès la bonté le pardon en
« EL DORADO », surtout que ces tortures étaient souvent dues à une dénonciation anonyme, qui se faisait par une petite fenêtre donnant sur la rue.
Cartagena est une ville inscrite au « Patrimoine mondiale de L’UNESCO » depuis 1985.Cette qualification induit un tourisme de masse. Les nombreux hôtels er restaurants contribuent à l’entretien et l’embellissement de ce patrimoine, ce grand nombre de touristes amoindrit l’intérêt que je pourrais apporter à cette ville, c’est beau et agréable à visiter sans plus, nous avons fait le tour dans l’après midi 4 h de marche suffisent
15 16 mars
Nous sommes restés flâner à CARTAGENA DE INDIAS.
Le matin visite de l’ancienne forteresse, pas vraiment spectaculaire au point de vue Architecture, seul intérêt en descendantt dans les couloirs pour atterrir dans des « culs de sac » ou on piégeait les assaillants, les hommes de troupe logeaient dans de petits réduits 1.00 X 1.80 X 1.50 ( h), la visite prend 1 bonne heure espérant trouver qq chose de différent et plus intéressant on chemine dans tous les couloirs," la Bourgeo"t stresse dans ces alignements mal éclairés, humide et parfois glissants. Au sortir du fort à gauche un bistroquet resto « LA FONDITA » on y sert une bonne soupe de poisson et un poulet presque laqué, au moins très croustillant pour 8000 P.
Direction la presqu’ile depuis le fort on croirait voir Miami Beach, de grandes tours juxtaposées « de loin ça en jette » quand on est dedans ce n’est plus pareil, les peintures des immeubles sont souvent écaillées ou noircies : la cause principale, une fois le gros œuvre de l’immeuble fini, les grues ( quand il y en a sont retirées) les enduits extérieurs sont fait depuis des échafaudages plateaux ancrés sur les dalles d’étage) sitôt les enduits finis, les peintures sont appliquées avant que les mortiers soient secs ; résultat les peintures ne tiennent pas, beaucoup de fissures apparaissent, du tape à l’œil côte est de l’ensemble
il n’y a pas d’abord, des petites plages sales protégées par des enrochements, côté ouest le boulevard est aménagé, mais pas de plage des quais. Le 16 nous allons à un petit village « la Boquilla » un village de pêcheurs, purement « africo », le long de la plage 2km des « cabanes de Francis » qui se remplissent le dimanche, a midi on y déguste un plateau spécial langouste poisson crabes crevettes on s’est fait un petit plaisir à 25 €
17 MARS Bourgeot s’embourgeoise, il y avait deux moyens d’aller à Santa Marta, le bus courant avec tous ses aléas 24000 p et le super Mercédès direct à 42000 p , quel fut son choix ?, non pas celui de la proximité « des masses populaires » mais celui de la Bourgeoisie avec Bourgeot les mêmes racines ; Départ 8 H arrivée 11h Santa Marta nous promenons un taxi pour la gare routière 4000 , il y a un départ à 13 h pour RIOHACHA 17000 P, une grande partie du trajet une savane ennuyeuse qui m’a directement propulsé dans les bras de Morphée.
Ríohacha une ville de 170000h au Nord est de S.M. 2 H 30 de parcours, nous traversons en partie le parc naturel de TAYRONA au bout de la Sierra Nevada. De la plaine côtière, beaucoup d’élevage, de belles bêtes, des palmiers pas très haut, nouveau des palmiers à huile, pas heureux comme choix pour un pays qui veut rejoindre le clan des pays de l' écotourisme , une gare routière poussiéreuse, ça jette un froid, souvent la gare est l’image de la ville, Taxi pour le centre 4000 p , Qu'est ce qu’on vient faire là ??
Hôtel MI CASONA à un quadra du Malécon,
Bingo !!!!! Il y a une fiesta pendant 3 jours : la fête de l’accordéon, qui fait partie du folklore caribe local. Sur l’avenue du front de mer, des étalages de chapeaux, faits au crochet, multicolore, « couleur caraïbe oblige » c’est assez sympa, une cavalcade de chevaux montés par cavalières et cavaliers .
Notre ami vendeur de selles de Medellin nous avait montré des étuis en gros cuir pour recevoir un poste de radio ou des lecteurs de C.D. De partout ça hurle à tue tête, loin de nos 90 db réglementaires. De nombreux vendeurs d’alcool et de brochettes, l’alcool coule à flot malgré la présence de la police locale, bières, Whisky, Rhum blanc, tout pour égayer la fiesta. Vers 20 h vers le port en bout du Malécon, un superbe défilés de mode, toute la confection présentée, est d’origine locale, faite dans les communautés indigènes, Notamment les paniers , bracelets colliers colifichets en tous genres. Nous dînons dans la rue de brochettes et bières, trop de monde pour accéder sur la plage et assister au concert d’accordéon.
18 MARS A 9h en taxi (50000 P) nous partons pour la Laguna : MACARONES, voir les flamands roses. A l’arrivée le chauffeur de taxi se bat comme un diable pour que nous payons comme tout le monde, La barque tarif minimum 30000, ou en groupe jusqu’à 8 passagers 10000 P, ça change de 40000 p que l’on voulait nous faire payer ; finalement on part avec un couple colombien
La barcasse est équipée d’une voile, genre "radeau de la méduse", le" gondokier" pousse également avec une grande pige, Les flamands roses sont craintifs et fuient la présence des bipèdes que nous sommes à 200 m.
La lagune 40/50 cm d’eau, fait environ 49.000.000 M2, il y a des bancs d’huîtres qui émergent de l’eau, au retour on en cueille qq unes que l’on déguste dans le bateau, les gens n’en font pas commerce, il y a les mêmes aux Philippines que l’on mange « en grappes cuites à la vapeur », ça ne vaut pas les Marennes. Ca donne un plus à ce petit tour ;
Un vent debout s’est levé, le marinier abat la voile et pousse la barque soit en marchant soit à la perche, en marchant, il doit mettre des chaussures pour ne pas s’entailler les pieds avec les huîtres ; on revient avec 1 H de retard, repas sous les paillottes, ventées il fait froid, le vent soulève les assiettes en plastique, c’est désagréable, le sable fait office de sel ça nettoie les dents. Equipé pour prendre un bain dans l’Atlantique, on préfère retourner directement à Riohacha, en ville le vent sera moins violent.
Lonely : Pour ceux qui n’ont pas peur de faire 5 kms, il est possible de prendre un bus pour Camarones, ou en direction de, se faire déposer au bord de la route, continuer à pied les 5 kms qu’il reste à parcourir pour aller à la lagune, ça permet d’économiser à deux 40000 p = 1 repas.
C’est toujours la fiesta, mais ce soir il y a un célèbre jouer d’accordéon qui est en première, beaucoup de monde s’y rend, nous retournons au même bar à bière où il y a une promotion pour une bière colombienne « AGUILA », la démonstratrice nous propose d’acheter 12 bières avec en cadeau une prise de connexion USB dans une canette alu, Je lui explique que je suis en voyage elle comprend et vient m’offrir un beau chapeau vert, une belle et charmante femme, mais mais un pétard surtout qu’il est accompagné d’un collant rouge super moulant à la Sud-Américaine. Chaque bar met à fond les décibels de la musique genre salsa avec bien entendu de l‘accordéon, les gens dansent, c’est très très chaud, ça danse avec les pieds, les jambes, bien entendu, aussi avec tout le corps, serré de prés, « la LAMBADA » à côté c’est « petit garçon ».
19 MARS.
7 H30 je pars à la recherche d’un taxi, personne dans la ville, les gens sont rentrés tard et ne sont pas levés. Je commande un taxi par l’hôtel ¼ d’heure d’attente.
Un bus part dans les 10 MN, 15000 p jusqu’au carrefour avec la route de Minca.
Minca un petit village à 14 km de Santa Mata, perché à 600 M, il paraît qu’il y fait bon, Taxi 30000 négocié à 25000 moitié route défoncée moitié piste, 20 mn de trajet, impossible de doubler, nous suivons une « LOGAN ».
Encore une fois le « LONELY » ne mentionne qu’un hôtel à 1 km du village et ça grimpe, alors qu’il y environ une dizaine d’hospedaje dans le village, pour ceux preferant vivre dans le village avec les locaux que dans un hotel qu'avec des touristes,
Nous nous installons a « l’Hospedaje Silvia » 40000 P la double, propre grandeur moyenne télé pas de « wi-fi » une terrasse couverte avec table, rocking-chairs, hamacs, confortable.
15 h je pense avoir le temps d’aller jusqu’à une cascade, mais nous n’y arriverons pas il faut assurer le retour avant la tombée de la nuit, nous avons parcouru 7 km un joli parcours sur de la piste en limite d’une belle forêt.
Dîner quasiment tous les restos fermés sauf le « VALENCIANA » qui nous sert pour 9000 p un mini filet de poisson avec 3 rondelles de tomates, une quinzaine de frites, on sort avec la faim, de plus la bière 2500. c’est propre, ce fut la raison de notre choix, on ne recommande pas trop cher pour la quantité servie.
Une épicerie encore ouverte on achète du fromage et pain pour combler notre faim. 20 MARS Aujourd’hui pas de transport, ballade sur place ; on part à l’aveuglette sur un chemin qui grimpe très fort, deux péons nous conseillent de faire demi tour, car la piste mène loin dans la montagne, sans intérêt réel sauf celui de découvrir à 20 km Santa Marta et la mer.
Retour au village un petit « café organico » café servi dans un minuscule gobelet plastique, café pas corsé, et sucré rien à voir avec le café de Colombie que l’on boit dans la zone café,
Par une autre piste toujours en montée « POZO AZUL » un bassin dans un torrent. Il y avait un pont, piles béton et 2 « I.P.N » de 300 pour supporter le tablier; certainement lors de grosses pluies, le tablier a été emporté les I.P.N sont tordus, déchirés comme du papier crépon on a du mal à y croire.
Repassons par le village « repas sur le pouce", avant de repartir nez au vent sur un petit sentier qui nous mène derrière un mont, nous pensions faire le tour complet mais comme les trains une montagne peut en cacher une autre.
A l’aide du GPS je constate que nous ne tournons pas réellement, il est 16 h retour au village ;
Hier nous n’avions pas vu qu’à 30 m de l’hôtel il y avait un petit restaurant, des jolis tables fleuries avec des nappes brodées, une excellente escalope de poulet frites salade copieux pas cher 10000 p sympa
Tourisme sexuel : de plus en plus dans nos voyages nous observons que de nombreuses femmes viennent « se faire un guide » Ce soir c’est le cas une occidentale est avec un guide colombien au restaurant, de toutes évidences il forme un couple, ces couples on toujours un comportement particulier, mais lui parle mal l’anglais, je fais un pari avec Bourgeot : c’est la fille qui paiera, effectivement l’hombre se lève et va demander la note en parfait « castillano », la fille sort son porte monnaie : pari gagné
20 MARS Aujourd’hui pas de transport, ballade sur place ;
A l’aveuglette on s'engagesur un chemin qui grimpe très fort, deux péons nous conseillent de faire demi tour, car la piste mène loin dans la montagne, sans intérêt réel sauf celui de découvrir au loin à 20 km Santa Marta et la mer. Arrêt au village un petit « café organico » café servi dans un minuscule gobelet plastique, café pas corsé, et sucré rien à voir avec le café de Colombie que l’on boit dans la zone café,
Par une autre piste toujours en montée « POZO AZUL » un bassin dans un torrent. Il y avait un pont, piles béton et 2 « I.P.N » de 300 pour supporter le tablier, certainement lors de grosses pluies, le tablier a été emporté les I.P.N sont tordus, déchirés on a du mal à y croire. Retour au village on mange « sur le pouce, avant de repartir nez au vent sur un petit sentier qui nous mène derrière un mont, nous pensions faire le tour complet mais comme les trains une montagne peut en cacher une autre.
A l’aide du GPS je constate que nous ne tournons pas réellement, il est 16 h mieux vaut regagner le village ;
Hier nous n’avions pas vu qu’à 30 m de l’hôtel il y avait un petit restaurant, des jolis tables fleuris avec des nappes brodées, une excellente escalope de poulet frites salade copieux pas cher 10000 p sympa restaurant sans nom
Tourisme sexuel : de plus en plus dans nos voyages nous observons que de nombreuses femmes viennent « se faire un guide » Ce soir c’est le cas une occidentale est avec un guide colombien au restaurant, de toutes évidences il forme un couple, ces couples on toujours un comportement particulier, mais lui parle mal l’anglais, je fais un pari avec Bourgeot : c’est la fille qui paiera, effectivement l’hombre se lève et va demander la note en parfait « castillano », la fille sort son porte monnaie : pari gagné.
21 MARS
On a du mal a quitter MINCA on refait la marche d'avant hier en allant jusqu’à la cascade, juste avant l’entrée un petit commerce 2 bananes pour reprendre des forces avant une sévère côte à plus de 20%. L’entrée est payante 2000 p pour les colombiens 3000 pour les étrangers, mais il n’y a personne, certainement le weekend end jours d’affluence ce doit être payant.
Un petit quart d’heure c’est assez pour atteindre la cascade, pas grand-chose à voir comme dab dans les cascades, mais le parcours suffit à émerveiller nos pupilles ; d’autant que nous avons vu de beaux oiseaux dont un superbe vert émeraude entre le « pic-vert » et" le »martin pêcheur » également un colibri encore une fois raté.
11 H nous sommes de retour, le temps de fermer les sacs et d’aller prendre la camionetta sur la place du village. C’est 6000p par personne jusqu’à Santa Marta, de plus c’est un 4X4 récent. 20 mn pour être dans la CALLE 11, la rue de l’hôtel, rue qui fait 3 kms nous ne sommes pas du bon bout, un taxi 5000 p pour l’hôtel LAS VEGAS « merci LONELY » nous ne cherchons pas autre chose
On s’installe 45000 P la double grande chambre WIFI peu puissant. Nous rencontrons un couple de franco colombien lui bricole l’achat « d’émeraude » elle les vend dans l’hostal MIRAMAR ils sont sympas ,
Avons besoin d’argent pas possible de retirer au D.A.B plus de 300000 p = 150€ au maximum 2 banques aucune ne fait d’avance sur carte, au D.A.B pas possible de retirer, on va chercher la française( une dure à cuire) elle nous accompagne encore refus, elle essuie la carte , ça marche mais que 300000on passe devant l’Alliance Française une belle bâtisse coloniale, devant des prostituées , c’est la première fois que l’on en rencontre.
Notre amie française nous conseille d’aller ce soir faire un tour dans le vieux quartier coloniale. Effectivement c’est accueillant, fréquenté par la jeunesse, de nombreuses terrasseS de café restaurants, on prend une bière au « Bob Marley » croyant y écouter de ses musiques que nenni, mais la bière coûte 3500 p
. Santa Marta en son centre est une belle ville, propre, aérée il y règne une bonne ambiance, un immense « MALECON » fréquenté le soir, une ville plaisante qui a une âme, ça nous plaît beaucoup plus que CARTAGENA DE INSIAS, bien que moins attractive architecturellement.
22 MARS
Nous devons partir pour la journée au parc TAYONNA, le patron de l’hôtel nous déconseille, pour argument: le temps d’y aller de rentrer dans le parc il sera pratiquement l’heure d’en ressortir , qu’il vaut mieux y aller sur 2 jours et coucher sur place, .
Notre BOURGEOT nationale « tord du nez » car il faut coucher dans des hamacs ou sous la tente, ce que j’avais prévu de faire, étant en fin de voyage, Boubou râlant, je n’avais pas insisté.
Demain nous partirons pour 2 jours, le parc est une expédition qui coute très cher.
Pourquoi ? : il y a qq années c’était une région ou les paysans locaux cultivaient la « coc », les autorités ont convaincu ces agriculteurs de laisser tomber la culture de la cocaïne au profit du tourisme, en leur cédant le droit de construire des hébergements, hamac camping cabanes, et surtout en interdisant aux non autochtones de s’installer dans le parc, de ce fait, ils pratiques des prix prohibitifs, 2 allemands qui étaient avec nous à Minca nous ont dit : c’est le « MONOPOLY » 4000p la bouteille d’eau contre 1000 le hamacs 12000 P , la tente pour deux 50000 p les cabanes 120 à 150000 p etc. etc. Les taxis ont les tarifs affichés dans la voiture on peut les consulter, en zone urbaine c’est uniformément 4000 P pas cher 2€
Visite la Quinta, la FINCA ou a vécu et où et mort « SIMON BOLIVAR » le « LIBERTADOR » de l’Amérique du Sud, le premier pays à être libéré fut la Grande Grenade Colombie et Venezuela réunis à l’époque, entrée 12000 p, les anciens bâtiments ou vécut S Bolivar et son mausolée , le tout dans un grand parc avec des arbres énormes dont certains on ne sait plus ou est le tronc principal, les racines aériennes formant de nouveaux troncs, drôle à voir.
La Vice-royauté de Nouvelle-Grenade était une entité administrative et politique, fondée par la couronne d'Espagne, composée des actuels États de Colombie, Équateur, Panama et Venezuela(qui comprenait alors Guyana et Trinité-et-Tobago). Elle exista durant les périodes allant de 1717 à 1723, de 1739 à 1810 et de 1816 à 1819. Elle était administrée par un Vice-roi nommé par le roi d'Espagne, sa capitale était Santa Fe de Bogotá.
Taxi 8000p pour TAGANGA une petite station balnéaire ou beaucoup d’américains peu argentés viennent passer des vacances « CHEAP » comme nos amis américains peuvent être « radins ». Une station banale , beaucoup de vendeurs de bijouteries quincailleries d’origine sud américaine facile a reconnaître avec leur coiffure « rasta » la barbe noire non rasée, le pantalon ¾ bouffant, et la dégaine tranquille. Almuerzo pour 5000 p ;
Relax relax on ne fait rien de l’après midi sinon regarder ce qu’il se passe. Retour puis dîner en face le « LAS VEGAS » chez « MAMA MIA » un couple colombien lui au fourneau, elle au service, qui fait d’excellents spaghettis à la CARBONARA, le « CORRIENTE » plat du jour n’a pas d’haricots rouges mais des spaghettis, très propre, prix moyen, excellent, accueil et service, beaucoup de clients ; on recommande.
23 MARS
Pour prendre le bus pour le Parque TAYRONA il faut aller jusqu’au marche de la « CALLE 11 » on en profitera pour acheter qq provisions,
Le Parc national naturel de Tayrona (espagnol : Parque Nacional Natural Tayrona) est une aire protégée située dans la région carribéennede la Colombie, dans le département de Magdalena à 34 km de la ville de Santa Marta. Le parc abrite une biodiversité endémique dans les montagnes de la Sierra Nevada de Santa Marta. Le parc comprend 30 km2 de zone maritime dans la Mer des Caraïbes et 150 km2de terre.
Avec 211 833 visiteurs en 2009, c'est le deuxième parc national le plus visité de Colombie derrière le parc national naturel de coraux Rosario et San Bernardo[1].
Nous sommes accoutumés aux odeurs nauséabondes des marchés de poissons en Asie, où ça ne me gène aucunement, mais là, juste après le p’tit dej avec la chaleur difficile a supporter, ce qui ne nous empêche pas de faire nos emplettes pour les deux repas du jour et le p’tit dej de demain avec des avocats seul végétal qui supportera la chaleur.
Un vieux bus mais ça fait l’affaire, 5000 p/p. il fait chaud on roule porte et fenêtres ouvertes, heureusement (un passager transporte du poisson) 45 mn de parcours on arrive à l’entrée du parc.
L’ entrée c’est 35000 p par personnes nous attendons notre tour, la préposée enregistre nos passeports, prend une machine à calculer, pour faire : 2 X 35 = 70 c’est un peu fort de café « de Colombie » je sors la monnaie, la fille me fait un signe de la tête que je ne dois rien c’est gratuit pour les « vieux de plus de 65 piges 65 balais 65 ANS » rien de tel pour vous rappeler que vous avez changer de zone on représente bien la zone des personnes âgées ; faut faire avec malheureusement.
Tous les employés sont vêtus de blanc, du blanc de blanc, on se croirait chez les adeptes du temple solaire, ils appartiennent à Aviatour qui gère une partie du parc (ce serait une société italienne entre mafioso……………….. non je n’ai rien dit.
On peut rejoindre « Cañaveral » le premier spot à 4 km avec une navette qui coute 2000 P/P à l’intérieur un couple de français, lui n’a pas payé encore un jeune, elle, parle l’espagnol avec un accent de prof de langue, mais il lui manque la rapidité, elle m’énerve ,
Puisque que nous sommes chez les écolos montrons leur l’exemple et nous partons à pied, à peine 50 mn de marche à l’ombre de la forêt, sur une route en pente, bien chaussé, sur la chaussée, on va leur montrer l’exemple à ces jeunes qui paient plein tarifs et qui nous disent sans arrêt « vous avez de la chance d’être à la retraite » ma réponse invariable et qui choque parfois « retraite, voyage mais prés du trou pour voyager ad vitae aeternam comme dirait Jean Marie friand des locutions latines.
Notre destination est le prochain spot ARRECIFES environ 3.5 km, par le sentier piétonnier, nous marchons sur des pontons en bois (pas très écolo) on passe dans des zones de « CHAOS » nombreux dans le coin, même très très nombreux.
12 h nous traversons une zone sablonneuse, d’un sable mou, on s’enfonce, le soleil tape fort, une petite heure de marche et sommes arrivés au camping.
Entrée gratuite : comme à l’armée tout crédit engagé doit être consommé, je demande à loger dans une « cabañas » chalet en bois, pas de chance c’est complet il ne reste que des tentes, De bonnes tentes mais avec un matelas très étroit pour un autre c’est 10000 de supplément.
Nous retrouvons un jeune couple franco suisse cela fait 3 fois que nous sommes sur le mm itinéraire. Après avoir dégusté un « empanada con huevo » empanada avec du poulet haché avec du maïs et un œuf dur ; ça tient au ventre et ça cale pour la ½ journée, nous partons en reconnaissance pour le parcours de demain : El PUEBLITO un site archéologique découvert milieu première moitié du 20° siècle. On longe la plage, l’océan est agité, des panneaux indiquent qu’ »il y a déjà eu plus de 100 noyés et qu’il n’est pas utile de gonfler les statistiques, c’est efficace personne à l’eau.
Passons par la Piscinita une petite baie protégée ou les gens se baignent ; 20 mn après nous arrivons à EL CABO SAN JUAN non pas Saint Jean Cap Ferrat mais presque. De nombreux jeunes viennent y passer qq jours ou les weekends il n’y a que des tentes un resto et une petite échoppe qui vend qq biscuits et des boissons, une belle baignade sécurisée, on peut continuer encore 3 km pour une plage naturiste.
Pour aller à Pueblito, il faut 1 H 30 pour parcourir 2.400 m, bonjour l’ambiance, nous retournons à notre camp, le soir un petit empanada et un melon ne suffisent pas à calmer notre faim, nous allons retrouver nos « petits suisses » au resto d’un camping voisin ou les prix sont plus abordables, de nombreuses personnes du premier camp y viennent, tous ont repéré le bon plan.
24 MARS
6 h réveil, petit dej avocat et barre de céréale gonflée au sucre, chemin du Cabo ou nous arrivons vers 7 h 45 le resto est ouvert juste pour boire 2 cafés et manger du gâteau au miel, il faut emmagasiner du sucre au cas ou ?
On nous a dit que la fin du parcours est assez robuste. Les sentiers sont balisés de panneaux indiquant en pourcentage le chemin parcouru. A 10% le parcours est plat a travers des palmiers, seul obstacle un ruisseau , il faut se déchausser pour le franchir, 20 % presque plat une pente douce, 30% ça se corse, grimpette sur des chaos de petits galets de 50 à 250 kg, puis des galets de 1 Tonne à 50 tonnes et plus :pas du petit galet pour « PETIT POUCET » ils sont gris en granit, personne ne les enlèvera, Nous grimpons à travers ce « chaos » de pierres de plus en plus énormes,
En géomorphologie, un chaos - de blocs ou de boules - (ou mer de blocs : felsenmeer) désigne un modelé de déchaussement de blocs ou de rochers dégagés par l'érosion. Ces formes font partie des produits de la météorisation comme les tors, les arènes et à une échelle supérieure les inselbergs et sont associées à des formes mineures comme les taffoni, les vasques, les cannelures, etc.
Les paysages de chaos s'expriment sous toutes les latitudes et dans des roches de nature très différentes, ils donnent souvent lieu à des légendes et ont de plus en plus une vocation touristique (paysage, escalade) voire à être classés comme géotopes
le chemin passe de galets en galets , parfois des dalles plus jamais de terre, 40 % déjà 45 mn de marche ( retard sur le planning) puis un énorme galet en pente qu’il faut escalader, on met 10 mn à le franchir, nous ne sommes plus d’une première souplesse, les genoux supportent mal l’exercice, puis 150 m plus haut, un galet encore plus haut lisse sans aucune aspérité pour avoir une prise. Nous perdons un gros quart d’heure, a trouver une solution, voir passer en rampant sous un galets de plus de 80 m3 soit 200 t environ si on prend une densité de 2.4
,Boubou passera surement, pour moi il faut enlever le sac à doc et ramper, a travers de petits galets de 150 à 200kgs, c’est trop juste, peu rassuré je renonce,
J’essaie avec un caillou de creuser une petite prise pour pouvoir au moins poser un pied, nenni, le granit est friable,
Euréka : j’ai mon bâton de marche, je le coince de façon à m’en servir d’emmarchement, et ça passe, une fois sur le rocher bien qu’il soit en pente on ne glisse pas, je hisse la Bourgeot, l’obstacle est franchi, nous avons failli renoncer, Je ne voulais pas retourner sachant que l’autre couple de français était parti 1 H après nous,
C’est entre 40 et 50 % que le parcours est le plus difficile, nous marquons un arrêt, eau + Barre sucrée et on repart. Heureusement nous étions dans les premiers à partir tôt, et personne ne nous a rattrapé pendant ce parcours sinon ça nous cassait le moral, la suite est moins difficile, quelques passages en équilibre, rien de terrible, finalement après deux heures de marche, un couple sur le retour (ils ont mis 1 h 15) nous dit que nous sommes arrivés OUF !!!!!!!!!!!!!!!!!!! J’enlève et essore ma chemise pour la faire sécher au soleil, heureusement pour nous ce matin le ciel était brumeux, il ne faisait pas chaud.
PUEBLITO une ancienne petite cité, il ne reste qu’une très belle allée dallée en pierre de 2 m de largeur sur 300 m de longueur, les bases des maisons circulaire et un autel de sacrifice animal à la sortie en partant sur CALABAZO à 3 h de marche.
Un guide nous déconseille de redescendre par cet itinéraire, le sentier n’étant pas balisé. Une heure passée sur le site(le couple de français arrive, ils ont mis 15 mn de plus que nous et ont également pensé à renoncer). Pour redescendre (heureusement que nous avons chacun un bâton pour nous aider, les genoux coincent, nous redescendons en 1 h 20, des jeunes descendent en galopant, bof !!!!!!!!!!!!! PURBLITO est un site archéologique du même tyope que "LA CIUDAD PERDIDA"
À CABO il est 2H une bonne assiette de spaghetti pour recharger les accus. Ils nous restent encore 7 km pour regagner le parking, prendre une navette pour la grande route et attraper le 1° bus pour SANTA MARTA.
Nous changeons d’hôtel entre prostituées blablatant toute la nuit et pseudo discothèque hurlant à tue tête, nous avions repéré un petit hôtel dans la CALLE 18 Hostal Sun City 50000 P la double avec pseudo clim, mais à notre arrivée surprise grand tintamarre d’un côté » une discothèque de l’autre le quartier branché de la ville ou chacun y va de ses décibels, Heureusement en fermant les fenêtres nous sommes à l’abri de tout ce vacarme. La nuit sera salvatrice.
25 MARS
7 H 30 ptit dej tranquille la patronne de l’hôtel nous a fait chauffer de l’eau pour « the Tea ». Le malécon est fermé à la circulation, réservé aux vélos, skates piétons, il y a comme toujours dans ces manifestations un coin propagande pour l’armée, une dizaine de soldats portent les uniformes de chaque époque depuis la libération du pays par Bolivar,
il y a également deux « HUMER » de l’armée américaine, je suis surpris car ces véhicules tout terrain, sommairement équipé, ne sont apparemment pas muni d’électronique moteur, sont à embrayage automatique pas de vitesse si ce ne sont les rapports longs courts , blocage de différentiel, c’est de l’équipement sommaire, aussi sommaire que les hélicoptères de l’armée américaine au Vietnam pour ceux qui connaissent .
Bus pour « EL RODADERO » un quartier (séparé) chic de SANTA MARTA avec une belle plage, mais bétonné à la mode espagnol, le paysage est franchement gâché, des tours des tours, de très mauvaises constructions, on aperçoit le dessous d’une immense terrasse, tous les aciers sont apparents, la rouille a éclaté le béton, édifice dangereux, je plains ceux qui ont investi dans ce foutoire.
On se ballade et passant un grand bout de temps assis à l’ombre sur un banc voir vivre un dimanche à la plage mode colombienne, je m’entasse, tu t’empiles, il s’amalgame, une place sur le sable à l’ombre c’est minimum 3 personnes au m2. Les marchands de bière et alcool font de bonnes affaires
El RODADERO aurait put être une agréable station balnéaire l’urbanisation hispanique ‘est chargée de tout détruire, et le mur de béton continue d'évoluer sur 10 km jusqu'àl'aéroport
EPILOGUE ainsi se termine ce blog, demain nous partons en avion sur Bogota, d’où nous décollerons le 29 pour retrouver la douce France (très appréciée ici) sa crise, sa campagne, ses grèves, Si vous saviez la chance que nous avons d’être né du bon coté de la frontière…………………
Je regrette de na pas avoir eu le temps de faire le trek de 6 jours pour aller à
" LA CIUDAD PERDIDA"