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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 03:15

11 MARS

De notre hôtel pour aller sur la place du village il y a une pente super abrupte, le matin sac à dos ça réveille.

 Départ théorique 7 h 50, 8 h nous partons jusqu’à Pereira 5500 P 30 mn. Un bus part à 9 h pour Medellin 5 H théorique de trajet pour 190 Kms, bonne moyenne en perspective.

De Péreira la route descend dans une vallée étroite nous suivons le Rio Cauca, tumultueux à souhait, bon pour le rafting.

 Nous perdons les champs de Café au profit de la culture d’arbres fruitiers ; la nature se fait plus jaunie, les vaches différentes, la route virage sur virage on comprend pourquoi la moyenne ne sera que de 40 K/H ; 12 h arrêt casse croute dans un  restoroute » locale, nous allons dans une gargote en face excellent poisson pané, pas du poisson carré du vrai poisson blanc du rio.

 Nous sommes descendus environ à 1600 m, le rio s’élargit, nous le quittons pour refaire de la montagne et repasser les 2000 m revoir les champs de café avant de redescendre sur Medellin, trafic intense, mais le chauffeur connaît le parcours,

Heureusement nous sommes dans un grand bus 45 places, donc beaucoup moins secoués .14 H45 gare routière sud de Medellin, un bureau d’information, une hôtesse sympa nous donne un plan et la liste des hôtels. Hôtel  CAS MAYDEE , n’est pas sur le guide, Callé 10 # 37 39  hostalcasmaydee@gmail.com  Un studio avec cuisine 70000 p c’est le même prix ailleurs pour une chambre simple, la réceptionniste une Afro-américaine, gentille, nous avons du mal à nous comprendre, elle a un accent différent,

 

12 Mars  bonne nuit de repos malgré le bruit, nous sommes dans le cartier « chic » de Medellin El Pobaldo , un match de foot les gens sont assis sur le trottoir pour regarder un match important paraît il, avec les boules quièsses pas de problème. Métro à  15 mn c’est 1800 P on met le ticket pour passer le tourniquet, ticket non rendu, il ne doit pas y avoir de fraude, ceux ne sont pas des agents de la compagnie, mais la police qui contrôle tout, flic aux entrées, flic sur les quais, flic partout, le métro est super propre, pas de tag, pas de vitres rayées, pas de sièges détériorées, résultat ça coûte moins cher au contribuable . Descente dans le centre ville, ce qui surprend c’est le monde dans la rue, ça grouille de partout, première photo de la femme tronquée de Botéro, les autres sculptures se trouvent sur la Plazoleta de las Esculturas et 3 autres sur le Parque San Antonio, Vous avez les photos, Visite du musée Antioquia, où sont exposées les peintures de Botéro ainsi que qq sculptures. Tout ce qu’il peint est rond que ce soit personnage, nature morte, mobilier, c’est tout rond, il n’a pas eu de mal à trouver des modèles. Ballade dans le centra la Plaza Bolivar rien de bien intéressant, la cathédrale est fermée. Almuerzo « RESTAURANTE FONDA » une bonne adresse 6000p , la serveuse aurait pu servir de modèle à Botéro, lequel vit toujours à Paris Nous passons devant un magasin de cuir, qui vend tout ce qui concerne le cheval, de splendides selles, lassos, étriers cuir, fonte d’alu toutes les sortes, J’achéte un étui  de machette 9000 P .LUIS MIGUEL URIBE calle 45 n° 45/17  tradicionzg@hotmail.com ceux qui passent dans le coin ,ça vaut le détour. Nous continuons dans la même rue, les bâtiments de la mairie et une grande place El Parque de la Luz la place des lumières, des poteaux ronds en béton équipés de tubes néon, et plantes d’arbres, c’est un mail qui fait environ 1 ha, en face l’ancienne gare «  estacion ferocaril »  transformée en banque. Depuis Arménia nous avons trouvé un changement, le mode de vie est plus occidentalisé, les femmes sont élégantes, le physique des gens changent, beaucoup d’Afro-américains de nombreux restaurants ouverts le soir, , nous ne sommes plus dans l’Amérique des Andes. COCORICO beaucoup plus de voitures RENAULT Clio Logan Twingo et une identique à la Chevrolet 5 places dont le nom varie suivant les régions. Nous sommes dans un autre monde.

 

13 mars, On change des euros et on gagne 50 p de mieux. Métro pour la bibliothèque qui est situé sur une montagne dans un quartier défavorisé «  comme chez nous »Nous prenons la ligne principale, à la station ACEVEDO changement pour prendre un »METROCABLE » télécabine qui dessert trois stations le terminus étant SAN DOMINGO. Il a fallu de l’audace pour installer cette immense bibliothèque, centre culturel, dans une sorte de « FAVELLA », Trois cubes, difformes, en briques peintes en noir, l’architecte, un colombien s’est fait plaisir, un peu le style du « Futuroscope » des formes libres. Une autre télécabine dessert un parc plus haut dans la montagne. Nous redescendons pour aller au Musée de l’Université. Il y a un planétarium fermé pour travaux.

 Magnifique campus universitaire, des bâtiments de un à deux étages, implantés dans un parc naturel. Nos amis sud –américains sont assez violents et incisifs, dans cette université, pas de tag sur les murs, rien de détériorés, par contre des panneaux de murs sont peints, comportent des textes très radicaux, avec des peinture explicatives, cet (état d’esprit permet de revendiquer sans tout casser, (il y a eu des manifestations étudiantes violentes à Bogota contre la « LEY 30 » qui d’après ce que j’ai compris tendrait  à privatiser ou rendre payantes certaines facultés ; ici quand sa se déchaîne, ça se déchaîne.

Visite du musée nous croyions voir une exposition sur l’art « précolombien », mais elle est remplacée par une expo temporaire d’artiste colombiens, malheureusement rien de bien intéressant. Visite  du cimetière, des caveaux par centaines, en étage, partout ou il y a de la place, un peu étrange. Nous regagnons le centre à pied, pour prendre le métro est, aller au musée d’art contemporain, pas de chance à l’arrivée le musée est fermé préparation d’une nouvelle expo. Medellin : le Toulouse à la Colombienne, la ville est toute rose des tuiles aux murs, tout est construit en brique, à l’exception de nouveaux bâtiments qui apportent quelques nuances de gris dans le paysage. On peut rencontrer le frère de PABLO ESCOBAR (abattu en 1993) ex chef du « Cartel de Medellin » cartel de la drogue ; le frère donc peut nous raconter sa vie et celle de son frère moyennant 55000 p / p

 

 

14 MARS

5 H 30 levés taxi pour l’aéroport JM CORDOBA à 35 KMS 45 mn de trajet 55000 P, il faut passer les montagnes au sud ( il fait 14°) et redescendre dans une petite plaine.

Comme BOTERO ici tout est rond, le plan de l’aérogare en demi cercle, l’aérogare au RDC départ et arrivée des coursives en étage avec restos, de nombreux commerces. Hall Très clair et spacieux, la couverture du hall une structure métallique 3 m de mur vitrées , un dôme en plein cintre couverture en «  polycarbonate » armé, système astucieux et économique, le polycarbonate se cintre facilement , laisse passer la lumière, et gros avantage, quand il est poussiéreux ça ne s’aperçoit pas, propre, clair pas cher, bravo à l’archi( pour une fois), la salle d’attente, toiture à une pente toujours polycarbonate, avec des lamelles pour protéger du soleil, pas un seul point d'éclairage, un vaste déambulatoire devant les postes d’embarquement, Internet disponible gratuitement partout,un aéroport confortable 

.

L’archi qui a pondu Saint  Ex à LYON  devrait venir se rendre compte, lui qui nous a fait l’ un des plus inconfortables aéroports, à villes égales, du monde.

 

 Airbus A 318 départ à l'heure et arrivée à 11 H à Cartagena sur a côte CaraÏbes

 Un intéressant « book promotionnel » à bord avec en particulier le montant du salaire minima en Colombie : 257 € pas de quoi pavoiser ;

J’ai un ami de plus de 30 ans qui va régulièrement au Venezuela où le salaire minimum et quasiment identique ( 275 €  Sept 2011), cet ami trouve que les gens vivent heureux avec ces salaires de misère, de plus ce cher ami est un actif défenseur d’un candidat à la prochaine présidence un certain Dup…….- ……….gnan ( qui a pris la place laissée vacante par le créateur d'un grand spectacle au pays des "ventres à choux") si ce D.........-.............gnanr pense pareil,  si vous avez deviné de qui il s’agit vous savez pour qui ne pas voter, s'il était élu vous auriez droit à 400€ en tenant compte de la derive des continents ( hihihi)

 

 Taxi 9500 P prix déterminé par le service taxi de l’aéroport.

 Vieille ville, les hôtels sont assez cher rapport qualité prix, après maintes recherches option de Hôtel "el Viajero" 80000 P tout ce qui est au dessous de ce prix, ça ne mérite même pas le nom d’hôtel.

 Visite de la ville avec un très explicite musée des tortures, de l’Inquisition, quelques spécimens assez imaginatifs, Merci aux  jésuites d’avoir apporter au nom de la religion le progrès la bonté le pardon  en

« EL DORADO », surtout que ces tortures étaient souvent dues à une dénonciation anonyme, qui se faisait par une petite fenêtre donnant sur la rue.

 Cartagena est une ville inscrite au « Patrimoine mondiale de L’UNESCO » depuis 1985.Cette qualification induit un tourisme de masse. Les nombreux hôtels er restaurants contribuent à l’entretien et l’embellissement de ce patrimoine, ce grand nombre de touristes amoindrit l’intérêt que je pourrais apporter à cette ville, c’est beau et agréable à visiter sans plus, nous avons fait le tour dans l’après midi 4 h de marche suffisent

 

 15 16 mars

 Nous sommes restés flâner à CARTAGENA DE INDIAS.

 Le matin visite de l’ancienne forteresse, pas vraiment spectaculaire au point de vue Architecture, seul intérêt en descendantt dans les couloirs pour atterrir dans des «  culs de sac » ou on piégeait les assaillants, les hommes de troupe logeaient dans de petits réduits 1.00 X 1.80 X 1.50 ( h), la visite prend 1 bonne heure espérant trouver qq chose de différent et plus intéressant on chemine dans tous les couloirs," la Bourgeo"t stresse dans ces alignements mal éclairés, humide et parfois glissants. Au sortir du fort à gauche un bistroquet resto « LA FONDITA » on y sert une bonne soupe de poisson et un poulet presque laqué, au moins très croustillant pour 8000 P.

 

Direction la presqu’ile depuis le fort on croirait voir Miami  Beach, de grandes tours juxtaposées  «  de loin ça en jette » quand on est dedans ce n’est plus pareil, les peintures des immeubles sont souvent écaillées ou noircies : la cause principale, une fois le gros œuvre de l’immeuble fini, les grues ( quand il y en a sont retirées) les enduits extérieurs sont fait depuis des échafaudages plateaux ancrés sur les dalles d’étage) sitôt les enduits finis, les peintures sont appliquées avant que les mortiers soient secs ; résultat les peintures ne tiennent pas, beaucoup de fissures apparaissent, du tape à l’œil côte est de l’ensemble

 il n’y a pas d’abord, des petites plages sales protégées par des enrochements, côté ouest le boulevard est aménagé, mais pas de plage des quais. Le 16 nous allons à un petit village « la Boquilla » un village de pêcheurs, purement «  africo », le long de la plage 2km des « cabanes de Francis » qui se remplissent le dimanche, a midi on y déguste un plateau spécial langouste poisson crabes crevettes  on s’est fait un petit plaisir à 25 €

 

 

 17 MARS Bourgeot s’embourgeoise, il y avait deux moyens d’aller à Santa Marta, le bus courant avec tous ses aléas 24000 p et le super Mercédès direct à 42000 p , quel fut son choix ?, non pas celui de la proximité « des masses populaires » mais celui de la Bourgeoisie avec Bourgeot les mêmes racines ; Départ 8 H arrivée 11h Santa Marta nous promenons un taxi pour la gare routière 4000 , il y a un départ à 13 h pour RIOHACHA 17000 P, une grande partie du trajet une savane ennuyeuse qui m’a directement propulsé dans les bras de Morphée.

 Ríohacha une ville de 170000h au Nord est de S.M. 2 H 30  de parcours, nous traversons en partie le parc naturel de TAYRONA au bout de la Sierra Nevada. De la plaine côtière, beaucoup d’élevage, de belles bêtes, des palmiers pas très haut, nouveau des palmiers à huile, pas heureux comme choix pour un pays qui veut rejoindre le clan des pays de l' écotourisme , une gare routière  poussiéreuse, ça jette un froid, souvent la gare est l’image de la ville, Taxi pour le centre 4000 p , Qu'est ce qu’on vient faire là ??

 Hôtel MI CASONA à un quadra du Malécon,

 Bingo !!!!! Il y a une fiesta pendant 3 jours : la fête de l’accordéon, qui fait partie du folklore caribe local. Sur l’avenue du front de mer, des étalages de chapeaux, faits au crochet, multicolore, «  couleur caraïbe oblige » c’est assez sympa, une cavalcade de chevaux montés par cavalières et cavaliers .

Notre ami vendeur de selles de Medellin nous avait montré des étuis en gros cuir pour recevoir un poste de radio ou des lecteurs de C.D. De partout  ça hurle à tue tête, loin de nos 90 db réglementaires. De nombreux vendeurs d’alcool et de brochettes, l’alcool coule à flot malgré la présence de la police locale, bières, Whisky, Rhum blanc, tout pour égayer la fiesta. Vers 20 h vers le port en bout du Malécon, un superbe défilés de mode, toute la confection présentée, est d’origine locale, faite dans les communautés indigènes, Notamment les paniers , bracelets colliers colifichets en tous genres. Nous dînons  dans la rue de brochettes et bières, trop de monde pour accéder sur la plage et assister au concert d’accordéon.

 

 18 MARS A 9h en taxi (50000 P) nous partons pour la Laguna : MACARONES, voir les flamands roses. A l’arrivée le chauffeur de taxi se bat comme un diable pour que nous payons comme tout le monde, La barque tarif minimum 30000, ou en groupe jusqu’à 8 passagers 10000 P, ça change de 40000 p que l’on voulait nous faire payer ; finalement on part avec un couple colombien

 La barcasse est équipée d’une voile, genre "radeau de la méduse",  le" gondokier" pousse également avec une grande pige, Les flamands roses sont craintifs et fuient la présence des bipèdes que nous sommes à 200 m.

 La lagune 40/50 cm d’eau, fait environ 49.000.000 M2, il y a des bancs d’huîtres qui émergent de l’eau, au retour on en cueille qq unes que l’on déguste dans le bateau, les gens n’en font pas commerce, il y a les mêmes aux Philippines que l’on mange «  en grappes cuites à la vapeur », ça ne vaut pas les Marennes. Ca donne un plus à ce petit tour ;

 Un vent debout s’est levé, le marinier abat la voile et pousse la barque soit en marchant soit à la perche, en marchant, il doit mettre des chaussures pour ne pas s’entailler les pieds avec les huîtres ; on revient avec 1 H de retard, repas sous les paillottes, ventées il fait froid, le vent soulève les assiettes en plastique, c’est désagréable, le sable fait office de sel ça nettoie les dents. Equipé pour prendre un bain dans l’Atlantique, on préfère retourner directement à Riohacha, en ville le vent sera moins violent.

Lonely : Pour ceux qui n’ont pas peur de faire 5 kms, il est possible de prendre un bus pour Camarones, ou en direction de, se faire déposer au bord de la route, continuer à pied les 5 kms qu’il reste à parcourir pour aller à la lagune, ça permet d’économiser à deux 40000 p = 1 repas.

 

C’est toujours la fiesta, mais ce soir il y a un célèbre jouer d’accordéon qui est en première, beaucoup de monde s’y rend, nous retournons au même bar à bière où il y a une promotion pour une bière colombienne « AGUILA », la démonstratrice nous propose d’acheter 12 bières avec en cadeau une prise de connexion USB dans une canette alu, Je lui explique que je suis en voyage elle comprend et vient m’offrir un beau chapeau vert, une belle et charmante femme, mais mais un pétard surtout qu’il est accompagné d’un collant rouge super moulant à la Sud-Américaine. Chaque bar met à fond les décibels de la musique genre salsa avec bien entendu de l‘accordéon, les gens dansent, c’est très très chaud, ça danse  avec les pieds, les jambes, bien entendu, aussi avec tout le corps, serré de prés, «  la LAMBADA » à côté c’est  « petit garçon ».

 

19 MARS.

 7 H30 je pars à la recherche d’un taxi, personne dans la ville, les gens sont rentrés tard et ne sont pas levés. Je commande un taxi par l’hôtel ¼ d’heure d’attente.

Un bus part dans les 10 MN, 15000 p jusqu’au carrefour avec la route de Minca.

 

 Minca un petit village à 14 km de Santa Mata, perché à 600 M, il paraît qu’il y fait bon, Taxi 30000 négocié à 25000 moitié route défoncée moitié piste, 20 mn de trajet, impossible de doubler, nous suivons une « LOGAN ».

 Encore une fois le « LONELY » ne mentionne qu’un hôtel à 1 km du village et ça grimpe, alors qu’il y environ une dizaine d’hospedaje dans le village, pour ceux preferant vivre dans le village avec les locaux que dans un hotel qu'avec des touristes,

 Nous nous installons a « l’Hospedaje Silvia » 40000 P la double, propre grandeur moyenne télé pas de « wi-fi » une terrasse couverte avec table, rocking-chairs, hamacs, confortable.

 15 h je pense avoir le temps d’aller jusqu’à une cascade, mais nous n’y arriverons pas il faut assurer le retour avant la tombée de la nuit, nous avons parcouru 7 km un joli parcours sur de la piste en limite d’une belle forêt.

 Dîner quasiment tous les restos fermés sauf le « VALENCIANA » qui nous sert pour 9000 p un mini filet de poisson avec 3 rondelles de tomates, une quinzaine de frites, on sort avec la faim, de plus la bière 2500. c’est propre, ce fut la raison de notre choix, on ne recommande pas trop cher pour la quantité servie.

Une épicerie encore ouverte on achète du fromage et pain pour combler notre faim. 20 MARS Aujourd’hui pas de transport, ballade sur place ; on part  à l’aveuglette sur un chemin qui grimpe très fort, deux péons nous conseillent de faire demi tour, car la piste mène loin dans la montagne, sans intérêt réel sauf celui de découvrir à 20 km Santa Marta et la mer.

 

 Retour au village un petit « café organico » café servi dans un minuscule gobelet plastique, café pas corsé, et sucré rien à voir avec le café de Colombie que l’on boit dans la zone café,

 Par une autre piste toujours en montée «  POZO AZUL » un bassin dans un torrent. Il y avait un pont, piles béton  et 2 « I.P.N » de 300 pour supporter le tablier; certainement lors de grosses pluies, le tablier a été emporté les I.P.N sont tordus, déchirés comme du papier crépon on a du mal à y croire.

     Repassons par le village « repas sur le pouce", avant de repartir nez au vent sur un petit sentier qui nous mène derrière un mont, nous pensions faire le tour complet mais comme les trains une montagne peut en cacher une autre.

 A l’aide du GPS je constate que nous ne tournons pas réellement, il est 16 h retour au village ;

 Hier nous n’avions pas vu qu’à 30 m de l’hôtel il y avait un petit restaurant, des jolis tables fleuries avec des nappes brodées, une excellente escalope de poulet  frites salade copieux pas cher 10000 p sympa

 

Tourisme sexuel : de plus en plus dans nos voyages nous observons que de nombreuses femmes viennent « se faire un guide » Ce soir c’est le cas une occidentale est avec un guide colombien au restaurant, de toutes évidences il forme un couple, ces couples on toujours un comportement particulier, mais lui parle mal l’anglais, je fais un pari avec Bourgeot : c’est la fille qui paiera, effectivement l’hombre se lève et va demander la note en parfait « castillano », la fille sort son porte monnaie : pari gagné

 

 

20 MARS Aujourd’hui pas de transport, ballade sur place ;

A l’aveuglette on s'engagesur un chemin qui grimpe très fort, deux péons nous conseillent de faire demi tour, car la piste mène loin dans la montagne, sans intérêt réel sauf celui de découvrir au loin à 20 km Santa Marta et la mer. Arrêt au village un petit « café organico » café servi dans un minuscule gobelet plastique, café pas corsé, et sucré rien à voir avec le café de Colombie que l’on boit dans la zone café,

 Par une autre piste toujours en montée «  POZO AZUL » un bassin dans un torrent. Il y avait un pont, piles béton  et 2 « I.P.N » de 300 pour supporter le tablier, certainement lors de grosses pluies, le tablier a été emporté les I.P.N sont tordus, déchirés on a du mal à y croire. Retour au village on mange «  sur le pouce, avant de repartir nez au vent sur un petit sentier qui nous mène derrière un mont, nous pensions faire le tour complet mais comme les trains une montagne peut en cacher une autre.

 A l’aide du GPS je constate que nous ne tournons pas réellement, il est 16 h mieux vaut regagner le village ;

 Hier nous n’avions pas vu qu’à 30 m de l’hôtel il y avait un petit restaurant, des jolis tables fleuris avec des nappes brodées, une excellente escalope de poulet  frites salade copieux pas cher 10000 p sympa restaurant sans nom

 

Tourisme sexuel : de plus en plus dans nos voyages nous observons que de nombreuses femmes viennent « se faire un guide » Ce soir c’est le cas une occidentale est avec un guide colombien au restaurant, de toutes évidences il forme un couple, ces couples on toujours un comportement particulier, mais lui parle mal l’anglais, je fais un pari avec Bourgeot : c’est la fille qui paiera, effectivement l’hombre se lève et va demander la note en parfait « castillano », la fille sort son porte monnaie : pari gagné.

 

21 MARS

On a du mal a quitter MINCA on refait la marche d'avant hier en allant jusqu’à la cascade, juste avant l’entrée un petit commerce 2 bananes pour reprendre des forces avant une sévère côte à plus de 20%. L’entrée est payante 2000 p pour les colombiens 3000 pour les étrangers, mais il n’y a personne, certainement le weekend end jours d’affluence ce doit être payant.

Un petit quart d’heure c’est assez pour atteindre la cascade, pas grand-chose à voir comme dab dans les cascades, mais le parcours suffit à émerveiller nos pupilles ; d’autant que nous avons vu de beaux oiseaux dont un superbe vert émeraude entre le « pic-vert » et" le »martin pêcheur » également un colibri encore une fois raté.

 11 H nous sommes de retour, le temps de fermer les sacs et d’aller prendre la camionetta sur la place du village. C’est 6000p par personne jusqu’à Santa Marta, de plus c’est un 4X4 récent. 20 mn pour être dans la CALLE 11, la rue de l’hôtel, rue qui fait 3 kms nous ne sommes pas du bon bout, un taxi 5000 p pour l’hôtel LAS VEGAS « merci LONELY » nous ne cherchons pas autre chose

 On s’installe 45000 P la double grande chambre WIFI peu puissant. Nous rencontrons un couple de franco colombien lui bricole l’achat « d’émeraude » elle les vend dans l’hostal MIRAMAR ils sont sympas ,

 Avons besoin d’argent pas possible de retirer au D.A.B plus de 300000 p = 150€ au maximum 2 banques aucune ne fait d’avance sur carte, au D.A.B pas possible de retirer, on va chercher la française( une dure à cuire) elle nous accompagne encore refus, elle essuie la carte , ça marche mais que 300000on passe devant l’Alliance Française une belle bâtisse coloniale, devant des prostituées , c’est la première fois que l’on en rencontre.

 Notre amie française nous conseille d’aller ce soir faire un tour dans le vieux quartier coloniale. Effectivement c’est accueillant, fréquenté par la jeunesse, de nombreuses terrasseS de café restaurants, on prend une bière au « Bob Marley » croyant y écouter de ses musiques que nenni, mais la bière coûte 3500 p

. Santa Marta en son centre est une belle ville, propre, aérée il y règne une bonne ambiance, un immense « MALECON » fréquenté le soir, une ville plaisante qui a une âme, ça nous plaît beaucoup plus que CARTAGENA DE INSIAS, bien que moins attractive architecturellement.

 

22 MARS

Nous devons partir pour la journée au parc TAYONNA, le patron de l’hôtel nous déconseille, pour argument: le temps d’y aller de rentrer dans le parc  il sera pratiquement l’heure d’en ressortir , qu’il vaut mieux y aller sur 2 jours et coucher sur place, .

 Notre BOURGEOT nationale « tord du nez » car il faut coucher dans des hamacs ou sous la tente,  ce que j’avais prévu de faire, étant en fin de voyage, Boubou râlant, je n’avais pas insisté.

 Demain nous partirons pour 2 jours, le parc est une expédition qui coute très cher.

Pourquoi ? : il y a qq années c’était une région ou les paysans locaux cultivaient la « coc », les autorités ont convaincu ces agriculteurs de laisser tomber la culture de la cocaïne au profit du tourisme, en leur  cédant le droit de construire des hébergements, hamac camping cabanes, et  surtout en interdisant aux non autochtones de s’installer dans le parc, de ce fait, ils pratiques des prix prohibitifs, 2 allemands qui étaient avec nous à Minca nous ont dit : c’est le « MONOPOLY » 4000p la bouteille d’eau contre 1000 le hamacs 12000 P , la tente pour deux 50000 p les cabanes 120 à 150000 p etc. etc. Les taxis ont les tarifs affichés dans la voiture on peut les consulter, en zone urbaine c’est uniformément 4000 P pas cher  2€

 Visite la Quinta, la FINCA ou a vécu et où et mort « SIMON BOLIVAR » le « LIBERTADOR » de l’Amérique du Sud, le premier pays à être libéré fut la Grande Grenade Colombie et Venezuela réunis à l’époque, entrée 12000 p, les anciens bâtiments ou vécut S Bolivar et son mausolée , le tout dans un grand parc avec des arbres énormes dont certains on ne sait plus ou est le tronc principal, les racines aériennes formant de nouveaux troncs, drôle à voir.

 La Vice-royauté de Nouvelle-Grenade était une entité administrative et politique, fondée par la couronne d'Espagne, composée des actuels États de Colombie, Équateur, Panama et Venezuela(qui comprenait alors Guyana et Trinité-et-Tobago). Elle exista durant les périodes allant de 1717 à 1723, de 1739 à 1810 et de 1816 à 1819. Elle était administrée par un Vice-roi nommé par le roi d'Espagne, sa capitale était Santa Fe de Bogotá.

Taxi 8000p pour TAGANGA une petite station balnéaire ou beaucoup d’américains peu argentés viennent passer des vacances «  CHEAP » comme nos amis américains peuvent être « radins ». Une station banale , beaucoup de vendeurs de bijouteries quincailleries d’origine sud américaine facile a reconnaître avec leur coiffure « rasta » la barbe noire non rasée, le pantalon ¾ bouffant, et la dégaine tranquille. Almuerzo pour 5000 p ;

 Relax relax on ne fait rien de l’après midi sinon regarder ce qu’il se passe. Retour puis dîner en face le « LAS VEGAS » chez  « MAMA MIA » un couple colombien lui au fourneau, elle au service, qui fait d’excellents spaghettis à la CARBONARA, le « CORRIENTE » plat du jour n’a pas d’haricots rouges mais des spaghettis, très propre, prix moyen, excellent, accueil et service,  beaucoup de clients ; on recommande.

 

 23 MARS

 Pour prendre le bus pour le Parque TAYRONA il faut aller jusqu’au marche de la «  CALLE 11 » on en profitera pour acheter qq provisions,

 Le Parc national naturel de Tayrona (espagnol : Parque Nacional Natural Tayrona) est une aire protégée située dans la région carribéennede la Colombie, dans le département de Magdalena à 34 km de la ville de Santa Marta. Le parc abrite une biodiversité endémique dans les montagnes de la Sierra Nevada de Santa Marta. Le parc comprend 30 km2 de zone maritime dans la Mer des Caraïbes et 150 km2de terre.

 

Avec 211 833 visiteurs en 2009, c'est le deuxième parc national le plus visité de Colombie derrière le parc national naturel de coraux Rosario et San Bernardo[1].

 

 Nous sommes accoutumés aux odeurs nauséabondes des marchés de poissons en Asie, où ça ne me gène aucunement, mais là, juste après le p’tit dej avec la chaleur difficile a supporter, ce qui ne nous empêche pas de faire nos emplettes pour les deux repas du jour et le p’tit dej de demain avec des avocats seul végétal qui supportera la chaleur.

 Un vieux bus  mais ça fait l’affaire, 5000 p/p. il fait chaud on roule porte et fenêtres ouvertes, heureusement (un passager transporte du poisson) 45 mn de parcours on arrive à l’entrée du parc.

 

 L’ entrée c’est 35000 p par personnes nous attendons  notre tour, la préposée enregistre nos passeports, prend une machine à calculer, pour faire : 2 X 35 = 70 c’est un peu fort de café «  de Colombie » je sors la monnaie, la fille me fait un signe de la tête que je ne dois rien c’est gratuit pour les « vieux de plus de 65 piges 65 balais 65 ANS » rien de tel pour vous rappeler que vous avez changer de zone  on représente  bien la zone des personnes âgées ; faut faire avec malheureusement.

 Tous les employés sont vêtus de blanc, du blanc de blanc, on se croirait chez les adeptes du temple solaire, ils appartiennent à Aviatour qui gère une partie du parc (ce serait une société italienne entre mafioso……………….. non je n’ai rien dit.

 On peut rejoindre «  Cañaveral » le premier spot à 4 km avec une navette qui coute 2000 P/P à l’intérieur un couple de français, lui n’a pas payé encore un jeune, elle, parle l’espagnol avec un accent de prof de langue, mais il lui manque la rapidité, elle m’énerve ,

 Puisque que nous sommes chez les écolos montrons leur l’exemple et nous partons à pied, à peine 50 mn de marche à l’ombre de la forêt, sur une route en pente, bien chaussé, sur la chaussée, on va leur montrer l’exemple à ces jeunes qui paient plein tarifs et qui nous disent sans arrêt  «  vous avez de la chance d’être à la retraite » ma réponse invariable et qui choque parfois «  retraite, voyage mais prés du trou pour voyager ad vitae aeternam comme dirait Jean Marie friand des locutions latines.

 Notre destination est le prochain spot ARRECIFES environ 3.5 km, par le sentier piétonnier, nous marchons sur des pontons en bois (pas très écolo) on passe dans des zones de « CHAOS » nombreux dans le coin, même très très nombreux.

12 h nous traversons une zone sablonneuse, d’un sable mou, on s’enfonce, le soleil tape fort, une petite heure de marche et sommes arrivés au camping.

 Entrée gratuite : comme à l’armée tout crédit engagé doit être consommé, je demande à loger dans une « cabañas » chalet en bois, pas de chance c’est complet il ne reste que des tentes, De bonnes tentes mais avec un matelas très étroit pour un autre c’est 10000 de supplément.

 Nous retrouvons un jeune couple franco suisse cela fait 3 fois que nous sommes sur le mm itinéraire. Après avoir dégusté un « empanada con huevo » empanada avec du poulet haché avec du maïs et un œuf dur ; ça tient au ventre et ça cale pour la ½ journée, nous partons en reconnaissance pour le parcours de demain : El PUEBLITO un site archéologique découvert milieu première moitié du 20° siècle. On longe la plage, l’océan est agité, des panneaux indiquent qu’ »il y a déjà eu plus de 100 noyés et qu’il n’est pas utile de gonfler les statistiques, c’est efficace personne à l’eau.

 Passons par la Piscinita une petite baie protégée ou les gens se baignent ; 20 mn après  nous arrivons à EL CABO SAN JUAN non pas Saint Jean Cap Ferrat mais presque. De nombreux jeunes viennent y passer qq jours ou les weekends il n’y a que des tentes un resto et une petite échoppe qui vend qq biscuits et des boissons,  une belle baignade sécurisée, on peut continuer encore 3 km pour une plage naturiste.

 Pour aller à Pueblito, il faut 1 H 30 pour parcourir 2.400 m, bonjour l’ambiance, nous retournons à notre camp, le soir un petit empanada et un melon ne suffisent pas à calmer notre faim, nous allons retrouver nos « petits suisses » au resto d’un camping voisin ou les prix sont plus abordables, de nombreuses personnes du premier camp y viennent, tous ont repéré le bon plan.

 

 24 MARS

6 h réveil, petit dej avocat et barre de céréale gonflée au sucre, chemin du Cabo ou nous arrivons vers 7 h 45 le resto est ouvert juste pour boire 2 cafés et manger du gâteau au miel, il faut emmagasiner du sucre au cas ou ?

On nous a dit que la fin du parcours est assez robuste. Les sentiers sont balisés de panneaux indiquant en pourcentage le chemin parcouru. A 10% le parcours est plat a travers des palmiers, seul obstacle un ruisseau , il faut se déchausser pour le franchir, 20 % presque plat  une pente douce, 30% ça se corse, grimpette sur des chaos de petits galets de 50 à 250 kg, puis des galets de 1 Tonne à 50 tonnes  et plus  :pas du petit galet pour «  PETIT POUCET » ils sont gris en granit, personne ne les enlèvera, Nous grimpons à travers ce « chaos » de pierres de plus en plus énormes,

 

 En géomorphologie, un chaos - de blocs ou de boules - (ou mer de blocs : felsenmeer) désigne un modelé de déchaussement de blocs ou de rochers dégagés par l'érosion. Ces formes font partie des produits de la météorisation comme les tors, les arènes et à une échelle supérieure les inselbergs et sont associées à des formes mineures comme les taffoni, les vasques, les cannelures, etc.

 

Les paysages de chaos s'expriment sous toutes les latitudes et dans des roches de nature très différentes, ils donnent souvent lieu à des légendes et ont de plus en plus une vocation touristique (paysage, escalade) voire à être classés comme géotopes

 

 le chemin passe de galets en galets , parfois des dalles plus jamais de terre, 40 % déjà 45 mn de marche ( retard sur le planning) puis un énorme galet en pente qu’il faut escalader, on met 10 mn à le franchir, nous ne sommes plus d’une première souplesse, les genoux supportent mal l’exercice, puis 150  m plus haut, un galet encore plus haut lisse sans aucune aspérité pour avoir une prise. Nous perdons un gros quart d’heure, a trouver une solution, voir passer en rampant sous un galets de plus de 80 m3 soit 200 t environ si on prend une densité de 2.4 

,Boubou passera surement, pour moi il faut enlever le sac à doc et ramper, a travers de petits galets de 150 à 200kgs, c’est trop juste, peu rassuré je renonce,

 J’essaie avec un caillou de creuser une petite prise pour pouvoir au moins poser un pied, nenni, le granit est friable,

Euréka : j’ai mon bâton de marche, je le coince de façon à m’en servir d’emmarchement, et ça passe, une fois sur le rocher bien qu’il soit en pente on ne glisse pas,  je hisse la Bourgeot, l’obstacle est franchi, nous avons failli renoncer, Je ne voulais pas retourner sachant que l’autre couple de français était parti 1 H après nous,

 

 C’est entre 40 et 50 % que le parcours est le plus difficile, nous marquons un arrêt, eau + Barre sucrée et on repart. Heureusement nous étions dans les premiers à partir tôt, et personne ne nous a rattrapé pendant ce parcours sinon ça nous cassait le moral, la suite est moins difficile, quelques passages en équilibre, rien de terrible, finalement après deux heures de marche, un couple sur le retour (ils ont mis 1 h 15) nous dit que nous sommes arrivés OUF !!!!!!!!!!!!!!!!!!! J’enlève et essore ma chemise pour la faire sécher au soleil, heureusement pour nous ce matin le ciel était brumeux, il ne faisait pas chaud.

 PUEBLITO une ancienne petite cité, il ne reste qu’une très belle allée dallée en pierre de 2 m de largeur sur 300 m de longueur, les bases des maisons circulaire et un autel de sacrifice animal à la sortie en partant sur CALABAZO à 3 h de marche.

 

 Un guide nous déconseille de redescendre par cet itinéraire, le sentier n’étant pas balisé. Une heure passée sur le site(le couple de français arrive, ils ont mis 15 mn de plus que nous et ont également pensé à renoncer). Pour redescendre (heureusement que nous avons chacun un bâton pour nous aider, les genoux coincent, nous redescendons en 1 h 20, des jeunes descendent en galopant, bof !!!!!!!!!!!!! PURBLITO est un site archéologique du même tyope que "LA CIUDAD PERDIDA"

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&frm=1&source=web&cd=10&sqi=2&ved=0CGoQFjAJ&url=http%3A%2F%2Fblog.clubaventure.fr%2Fblog%2F2010%2F07%2F29%2Fen-direct-de-la-colombie-ciudad-perdida%2F&ei=LdJxT_L8E4TkggeL-d08&usg=AFQjCNFIGlt4Mzg6eSxKAHCkVNazolVRjw&sig2=fyLkGoIOt_mh0JDhayTYpw

À CABO il est 2H une bonne assiette de spaghetti pour recharger les accus. Ils nous restent encore 7 km pour regagner le parking, prendre une navette pour la grande route et attraper le 1° bus pour SANTA MARTA.

 Nous changeons d’hôtel entre prostituées blablatant toute la nuit et pseudo discothèque hurlant à tue tête, nous avions repéré un petit hôtel dans la CALLE 18 Hostal Sun City 50000 P la double avec pseudo clim, mais à notre arrivée surprise grand tintamarre d’un côté » une discothèque de l’autre le quartier branché de la ville ou chacun y va de ses décibels, Heureusement en fermant les fenêtres nous sommes à l’abri de tout ce vacarme. La nuit sera salvatrice.

 

 25 MARS

 7 H 30 ptit dej tranquille la patronne de l’hôtel nous a fait chauffer de l’eau pour «  the Tea ». Le malécon est fermé à la circulation, réservé aux vélos, skates piétons, il y a comme toujours dans ces manifestations un coin propagande pour l’armée, une dizaine de soldats portent les uniformes de chaque époque depuis la libération du pays par Bolivar,

 il y a également deux «  HUMER » de l’armée américaine, je suis surpris car ces véhicules tout terrain, sommairement équipé, ne sont apparemment pas muni d’électronique moteur, sont à embrayage automatique pas de vitesse si ce ne sont les rapports longs courts , blocage de différentiel, c’est de l’équipement sommaire, aussi sommaire que les hélicoptères de l’armée américaine au Vietnam pour ceux qui connaissent .

 Bus pour «  EL RODADERO » un quartier (séparé) chic de SANTA MARTA  avec une belle plage, mais bétonné à la mode espagnol, le paysage est franchement gâché, des tours des tours, de très mauvaises constructions, on aperçoit le dessous d’une immense terrasse, tous les aciers sont apparents, la rouille a éclaté le béton, édifice dangereux, je plains ceux qui ont investi dans ce foutoire.

On  se ballade et passant un grand bout de temps assis à l’ombre sur un banc voir vivre un dimanche à la plage mode colombienne, je m’entasse, tu t’empiles, il s’amalgame, une place sur le sable à l’ombre c’est minimum 3 personnes au m2. Les marchands de bière et alcool font de bonnes affaires

 El RODADERO aurait put être une agréable station balnéaire l’urbanisation hispanique ‘est chargée de tout détruire, et le mur de béton continue d'évoluer sur 10 km jusqu'àl'aéroport

EPILOGUE ainsi se termine ce blog, demain nous partons  en avion sur Bogota, d’où nous décollerons le 29 pour retrouver la douce France (très appréciée ici) sa crise, sa campagne, ses grèves, Si vous saviez la chance que nous avons d’être né du bon coté de la frontière…………………

 

Je regrette de na pas avoir eu le temps de faire le trek de 6 jours pour aller à

" LA CIUDAD PERDIDA"

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 23:53

 

28 FEVRIER

Nous quitterons donc l’Equateur sous la pluie.

Taxi pour la frontière 3.50 $ pour 6 km.  Frontière équatorienne ½ H d’attente, puis sac à dos nous passons la frontière pour mettre le pied en Colombie, il pleuvine, les sacs pèsent, pas envie de faire la photo. Pas de queue, directement au poste de douane, sans vérifier les sacs. Histoire d’avoir un peu d’argent on change 50 $ pour du COP à 1800.

. Histoire d’avoir un peu d’argent on change 50 $ pour du COP à 1800.

 Taxi pour Ipales à 6 kms 7000 p, tarif officiel affiché, d’où nous prendrons un bus à destination de Popoyan . 32000 p un billet soit 17 $ environ, j’avais 90000il ne nous reste plus que 20000 pour le taxi à l'arrivée, le resto. J’avais regardé la carte sans plus, et feuilleté le Lonely sans m’attarder sur les détails,je pensais arriver vers 15 H.   Des bus, de 20 places avec WC, plus petit donc plus étroit comme les sièges nous ne sommes pas confortablement assis.

 

 Première étape Pasto après deux heures de route, le même Morvan que précédemment .Pasto une ville d’aspect sale, je veux changer des dollars 1 $ =1650 c’est de l’arnaque, le D.A.B ça marche pas, j’achète deux ampanadas 1000 p 1, Nous quittons la gare routière le paysage change, fini la verdure équatorienne, des montagnes couvertes d’épineux, adios les d’arbres qq cactus dispersés dans les montagnes, nous montons ,descendons, tout en virage sur virage, les Colombiens ont la conduite un tantinet plus sportive . La route est en mauvais état, nid de poules, effondrement on est secoué comme chez Orangina ,  

 

 13 h arrêt casse croute dans un « routier » isolé comme dab, où chauffeurs et receveurs se font nourrir à l’œil sur le compte des passagers, c’est une pratique universelle, nous n’avons pas beaucoup d’argent local, un paquet de platanos séchés et petits gâteaux salés, cerise sur le gâteau nous n’avons pas rempli nos gourdes, peu d’eau,

 

 Toujours le même paysage aride, un peu de maïs les épis sèchent en bordure de route, ils ne font guère plus de 10 cm et pas très épais, nature un peu plus verte sur 1 km quand il y a un rio, c’est ainsi sur 150 kms environ, puis ça se verdit un peu plus, plus de culture variés villages rapprochés, certainement une région un peu plus riche, c’est plat mais pas longtemps 25 km environ, puis re-montagne ;re-virage, beaucoup d’effondrement de terrain, des confortements de route, en creusant des puits constitués de rondelles en béton, qui sont armés et remplis de béton, ce qui bien entendu fait du béton armé, les ouvriers sont descendus au fond des puits par des cordes pour creuser et faire les armatures , le béton est fait dans des petites bétonnières, les agrégats viennent directement du rio ils n’ont pas l’air très propres, le calibrage laisse à désirer, et après ça se doit être solide

 

. 9h20 départ, arrivée 18 h arrivée à Popoyan, il y en avait ras la casquette, heureusement on avait la commande des fenêtres ce qui nous permet de voir et ventiler à notre guise, ici les gens se parent de l’air et du soleil.  

 

 Popayán est la capitale du département du Cauca au sud de la Colombie. Elle est surnommée « la ville blanche » et c'est une des plus belles villes coloniales de la Colombie, comparable par la richesse de son architecture à Cartagena de Indias. Sa population s'élève à 300 653 habitants en 2009. wikipedia

 

Taxi 3800 P pour HOSTAL TRAIL 50000 p il y un e cuisine c’est propre et sympas mais bruyant, ici on pourra avoir des renseignements sur ce qu’il y a d’intéressant à voir. Diner dans la même rue, un petit resto est encore ouvert, dehors un plat en photo le patron annonce 4000 p deux pour lui ça fait 10000, je lui rappelle que 4+4 = 8. Je lui demande le prix de la bière, 1000, la cuisine ce n’est pas mauvais, mais il manque le « chorizo » qui était sur la photo, « la cuenta » ça fait 11000, niet ! heureusement j’ai un billet de 10000 je lui donne et on s’en va pour une bonne nuit

 

29 FEVRIER

P’tit dej à l’hôtel, il y a du café gratos, un peu léger ce n’est pas le café de Colombie, un couple de français boivent le café avec nous ils ont loué une voiture, et nous passe qqn infos  en particulier que le change est partout au même taux 1€ = 2100 P le change officiel est 2380, si on utilise le distributeur, on paie d’énormes frais à la banque.qu'on arrive ou pas à se faire rembourser

 

 Nous partons à la recherche de change, pour le dollar pas de problème, l’euro ce n’est pas la même musique, Nous testons 4 /5 Banques, rien, une me propose 800000 P en cash mais ma carte ne passe pas, finalement on trouve un «  money changer » Dans la « calle 4 » au fond d’un petit centre commercial ; nous verrons à Medellin la ville est plus importante. Gare routière pour partir demain à SAN AUGUSTIN ,

 Le parc archéologique de San Agustín est un ensemble de monuments religieux et de sculptures mégalithiques au cœur des Andes, à San Agustín dans le département de Huilaen Colombie. 300 sculptures monumentales réalistes ou abstraites parsèment ce parc, témoignant de l’art d’une civilisation qui atteignit son apogée durant les huit premiers siècles de notre ère. Le parc est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1995.On mange une assiette de riz dans le « parque », le parque en Colombie et en Equateur et la  place principale, elle correspond à la « Plaza de Armas » du Pérou et de la Bolivie.

 Popoyan pourrait s’appeler CASA BLANCA, P1080007

 Vous connaissez l’histoire du cow-boy dont le cheval ne veut plus avancer, au premier refus il sort son colt, et dit un, au deuxième  idem et il dit deux, au troisième refus, il sort son colt et abat le cheval, moi j’en suis à deux bientôt trois

 C’était un superbe chapeau en cuir épais qui protégeait du soleil, du vent de la pluie, je suis assez en colère, Popoyan est une ville universitaire, de nombreux jeunes, les femmes sont beaucoup plus élégantes et occidentalisées, ça change,

 

 La ville est d’architecture coloniale espagnole, de beaux édifices, dans la ville haute, les maisons sont plus basses, avec de nombreux petits restaurants, coquets et décorés, dommage qu’ils ne soient pas  cités dans le guide .La faculté des sciences humaines remarquable par son avant toit orné de motif géométrique, un peu plus loin vers une église  un magnifique bâtiment avec patios intérieurs sert de locaux à la faculté de droit,P1080026.JPG splendide, un peu plus bas deux banques la Banque DAVIENDA un magnifique plafond, qu’on peut photographier, juste à côté la Banca Pouplar, une grande fresque de Augusto Rivéra, je demande la permission de photographier au garde armé d’un « fusil à poP1080037.JPGmpe » permission accordée, nous rentrons dans de nombreuses cours ou administrations c’est splendide, notamment le « GOBERNIO » P1080047.JPGOn se demande si le réalisateur du guide s’est forcé les méninges pour enquêter un peu,

 

 Séance coiffeur, je me fais couper les cheveux pour 2000 P , moins d’un € , en France pour la mm prestation c’rest 20€ ? Monique se fait couper les cheveux  à son tour pour plus cher 2500 € alors que la clienteP1080072.JPG précédente a payé 2000. Ce coiffeur se situe à 50 m du pont piéton, d’où l’on a une perspective sur les toits d’une partie de la vieille ville le long du rio  

 

1° Mars

 

Le car pour San Augustin est à 7h30 ; sac à dos nous arrivons à la gare routière 1 km je vais voir pour les billets, le tarif affiché à l’hôtel est 30000, je négocie 25 puis 23, des allemands paient 20000 c’est compris il faut tout négocier. Le départ était 7 h 30 nous démarrons à 9 h 20.

 Nous savons que la route est mauvaise, des français en voiture hier ont fait demi-tour, pluie boue. La route goudronnée sur une quinzaine de km, virage virage en remplacement de voyage voyage de  la chanson, devant chaque presque maison « queso, queso double crema » nous sommes en montagne il n’ya pratiquement que des pâturages, de belles vaches bien rondes dans les prés.

 

 Après le goudron de la piste, des travaux de renforcements, terrassements, empierrements, Le chauffeur a du mérite beaucoup de camions 6X4 ou 4x2 chassis courts, des engins de terrassement un D6 planté dans la boue plus haut que les chenilles chenilles, le car se faufile, tente de doubler, de temps ça glisse je comprends pourquoi les français ont fait demi tour avec leur petite Chevrolet.

 

 Les montagnes sont très pentues environ une pente entre 50 et 70 ° ; pour paître et être à plat , les vaches empruntent les traces de dahuts et ont ainsi un sente de 30 cm de large.

 Le DAHUT est un oiseau de la même famille que l’autruche, mais beaucoup plus petit, environ 40 cm de hauteur, comme une dinde, cet oiseau qui ne vole pas,ne vit qu’en montagne ou dans les zones pentues, Il a en effet la patte droite plus courte que la gauche, ainsi quand il marche à flanc de coteaux grace à un genou droit dont la rotule est composée de 3 articulations,  il est toujoiurs à l’horizontal, mais en avançant il glisse un peu, et laisse une trace un peu large, laquelle trace est ensuite empruntée par les vaches .Ce systéme d'articulation na été repris pour la construction des pelles mécaniques dites "pelles araignées"utilisé par les forestiers, lignards,poseur de conduite forcée en montagne

 Le dahut se chasse la nuit dans les fourrés ou broussailles ou il aime se cacher .

 En mettant une bougie une sur sa trace, et 3 m plus loin le chasseur tient ouvert un  grand un sac ,à grains, avec un bâton, l’animal attiré par la lumière, continue sur son chemin habituel fait tomber le bâton et le sac se referme sur lui, c’est à peu près le même système qu’utilise les Quichuas mais au lieu d’un sac eux posent un fusil ( sans lumière), comme les Quichuas Il faut être complètement silencieux, la dernière fois que je l’ai chassé (en 1980 on avait trouvé une trace) c’était dans la Drôme dans la région de Mirmande mais on était revenu bredouille .

 

    Le dahuta été decouvert en Ecosse en 1853 et sa description par Edward Blyth  zoologiste britannique, né le 23 décembre 1810 à Londres et mort le 27décembre1873.cet oiseau est entré dans La classification de Sibley-Ahlquist  une nouvelle approche de la classification des oiseaux basée sur l'étude de l'hybridation de l'ADN. Elle a considérablement modifié la liste traditionnelle des ordreset des familles d'oiseaux.

 

La route continue de grimper jusqu’à 3000m, on arrive sur un haut plateau  que l’on parcourt sur 20 kms , beaucoup d’élevage, c’est petitement vallonné, des cultures de fraises et pommes de terre, puis sur 10 km du maquis avec un palmier nain de 50 cm comme plante dominante,,( j’appelle ainsi « haut plateau » en référence du Vietnam où nous avions fait en 4 jours en « moto-taxi »HOI /AN DALAT sur les hauts plateaux du Vietnam centre à la frontiére du Laos en empruntant la piste de l’oncle HÔ  CHI MINH)

Toujours autant de camions T.P et aussi un grand nombre de  bétaillère qui descendent les vaches à l'abattoir , à la borne 55 kms environ commence une zone de forêt primaire que l’on domine et enfin à 30 kms de l’arrivée une zone agricole avec un habitat un peu plus dense. Nous arrivons enfin à 14 H 30 après avoir parcouru seulement 135 km.

 L’hôtellerie n’est pas le point fort de San Augustin, DIOS LUMAR fera l’affaire, propre de 40000 je fais rabaisser à 30000 nous sommes bien installés, à demain pour la visite des différents sites, toutes les agences proposent le même programme, également de 30000 p je fais descendre à 25000, les Colombiens ne sont pas chiches pour faire des rabais

 

 

1° Mars

 

Le car pour San Augustin est à 7h30 ; sac à dos nous arrivons à la gare routière 1 km je vais voir pour les billets, le tarif affiché à l’hôtel est 30000, je négocie 25 puis 23, des allemands paient 20000 c’est compris il faut tout négocier. Le départ était 7 h 30 nous démarrons à 9 h 20. Nous savons que la route est mauvaise, des français en voiture hier ont fait demi-tour, pluie boue. La route goudronnée sur une quinzaine de km, virage virage en remplacement de voyage voyage de l                a chanson, devant chaque presque maison « queso, queso double crema » nous sommes en montagne il n’ya pratiquement que des pâturages, de belles vaches bien ronde dans les prés. Après le goudron de la piste, des travaux de renforcements, terrassements, empierrements, Le chauffeur a du mérite beaucoup de camions petit 6X4 ou 4x2, des engins de terrassement un D6 planté dans la boue jusqu’au dessus des chenilles, le car se faufile, tente de doubler, de temps ça glisse je comprends pourquoi les français ont fait demi tour avec leur petite Chevrolet. Les montagnes sont très pentues environ une pente entre 50 et 70 ° ; pour paître et être à plat, les vaches empruntent les traces de dahuts et ont ainsi un sente de 40 cm de large. Le DAHUT est un oiseau de la même famille que l’autruche, mais beaucoup plus petit, environ 40 cm de hauteur, comme une dinde, cet oiseau qui ne vole pas,ne vit qu’en montagne ou dans les zones pentues, Il a en effet la patte droite plus courte que la gauche, ainsi quand il marche à flanc de coteaux il est toujoiurs à l’horizontal, mais en avançant il glisse un peu, et laisse une trace un peu large, laquelle trace est ensuite empruntée par les vaches . Le dahut se chasse la nuit dans les fourrés ou broussailles ou il aime se cacher ; en mettant une bougie une sur sa trace, et 3 m plus loin on tient ouvert un  grand un sac ,à grains, avec un bâton, l’animal attiré par la lumière, continue sur son chemin habituel fait tomber le bâton et le sac se referme sur lui, c’est à peu près le même système qu’utilise les Quichuas mais au lieu d’un sac ils posent un fusil ( sans lumière), comme les Quichuas Il faut être complètement silencieux, la dernière fois que je l’ai chassé (en 1980 on avait trouvé une trace) c’était dans la Drôme dans la région de Mirmande mais on était revenu bredouille .Après sa découverte en 1853 et sa description par Edward Blyth est un zoologiste britannique, né le 23 décembre 1810 à Londres et mort le 27décembre1873.cet oiseau est entré dans La classification de Sibley-Ahlquist  une nouvelle approche de la classification des oiseaux basée sur l'étude de l'hybridation de l'ADN. Elle a considérablement modifié la liste traditionnelle des ordreset des familles d'oiseaux. La route continue de grimper jusqu’à 3000m, on arrive sur un haut plateau,( j’appelle ainsi « haut plateau » en référence du Vietnam où nous avions fait en 4 jours en « mototaxi » HOI /AN DALAT sur les hauts plateaux du Vietnam centre à la frontière du Laos en empruntant la piste de l’oncle HÔ CHI MINH) que l’on parcourt sur 20 kms , beaucoup d’élevage, c’est petitement vallonné, des cultures de fraises et pommes de terre, puis sur 10 km du maquis avec un palmier nain de 50 cm comme plante dominante, Toujours autant de camions T.P et aussi un grand nombre de  bétaillère qui descendent les vaches , à la borne55 kms environ commence une zone de forêt primaire que l’on domine et enfin à 30 kms de l’arrivée une zone agricole avec un habitat un peu plus dense. Nous arrivons enfin à 14 H 30 après avoir parcouru seulement 135 km. L’hôtellerie n’est pas le point fort de San Augustin, DIOSA LUNAR fera l’affaire, propre de 40000 je fais rabaisser à 30000 nous sommes bien installés, à demain pour la visite des différents sites, toutes les agences proposent le même programme, également de 30000 p je fais descendre à 25000, les Colombiens ne sont pas chiches pour faire des rabais. Le patron Humberto me paraît pas très clair, me disant à voix basse que l’allemand à côté à payer plus cher, pour mieux me convaincre, il dit que parfois certaines agences ne font pas le programme complet annoncé, je n’aime pas que l’on mal traite ses concurrents hors leur présence, j’appelle ça de « l’embrouille » ;On a pas le choix tous le même programme au même poix, il emporte la décision en précisant que nous partons en « jeep » et qu’il a un groupe de 7 Personnes et qu’on peut se joindre au groupe( si nous partons à deux c’est autour de 150000 P

 

1° MARS

 9 h nous sommes au pied de l’hôtel prêts à partir, arrive une petite « camionetta » japonaise Channa, Humberto nous dit que le groupe de 7 ont fait la fête hier soir qu’ils sont encore "bourracho » ivres, et que l’on doit payer plus, il demande à l’allemand de payer 10000 de plus et également à nous, l’allemand accepte de suite sans broncher, je râle je dis un contrat c’est un contrat, finalement je dis OK on n’a pas bien le choix. Le parcours commence par un rapide sur le Rio Magdellana : Estrecho, ce n’est que de la piste on est secoué mieux que chez « orangina », nous arrivons à Obondo des tombes, un petit musée bien agencé, repiste  pour arriver sur le 2° site archéologique de San Agustin « Alto de los Idolos », dans un endroit somptueux les statues sont restées à l’endroit ou elles ont été découvertes. Le droit d’entrée est de 10000 p si on prend en même temps le droit d’entrée du « Parque Archeologico de San Agustín » c’est 16000 P et moitié  prix pour les plus de 63 ans sans distinction de nationalité, nous entrons dans ce cas de figure.

 

 C’est là que l’on doit prendre le lunch non compris dans le prix donc à notre charge, mais il n’y a qu’un seul resto, pas le choix, le restaurateur vient à la « camionetta » avec les menus c’est hors de prix mais l’allemand dit oui et mange à ce resto, nous sommes à 6 km de San José, on achètera sur place, bien entendu le chauffeur mange « gratis » au resto,        

 

 Nous terminons par la dernière cascade « Salto del Mortiño » on l’on doit payer 1000p pour voir pas grand chose, seul intérêt on passe devant une arène de combat de coq tout à différente de celles des Philippines, minuscule à côté. De retour à San Augustin je me fais déposer dans la rue principale, le chauffeur demande à l’allemand les 10000 p viens vers moi, je lui dis que je ne paierais pas et qu’il aille voir Humberto, d’autant que nous avons encore pris 5 autres passagers en cours de route, le chauffeur s’est fait 12000 P de « gratte » sur notre dos. Nous sommes interpellés en passant devant une autre agence, des gens très sympas, je leur raconte notre aventure, et ils me confirment, que nous aurions du avoir un 4X4, que le chauffeur ne doit pas prendre de passager. Le patron de l’agence super aimable nous dit que nous ne devons pas retourner à Popayan pour rejoindre TIERRADENTRO un autre site à 100kms ainsi nous gagnons ½ journée de transport en passant PITALITO , LAPLATA et en fin SAN ANDRES  7 h de trajet en 3 étapes

 Nous rentrons à l’hôtel en passant devant Humberto qui vient directement vers moi et me demande si ça va( le chauffeur est à côté » ma réponse:

 le tour conforme à l’offre,

 le transport pas d’accord parce que pas de jeep, que je ne croyais pas à son histoire de touristes ivres

 

3 MARS j’ai du faire une erreur de calendrier, nous avons au programme le parc archéologique, puis les sites de « El Tobon, et La Chaquira, un des plus beaux sites, Quittons l’hôtel pour déposer nos sacs à l’agence « ANACOANA » www.anacoana-colombia.com  des gens serviables « Colombe » l’épouse très occidentalisée, lui affable et bavard n'est pas avare de renseignements et d'informations intéressants

 

 Nous sommes contraints de commencer par le parc car l’entrée ferme à 13 h, Taxi pour le parc 5000 le bus urbain chaque demi heure va au parc pour 1000 p ; environ 130 statues, divisées en deux parties, la première des statues rapportées, remarquablement  posées en bordures d’un sentier dans la forêt, puis 4 sites ou les statues précédent les tombes qu’elles accompagnent, statue d’enfant tombe d’enfant, mais mais la pluie se met de la partie, il pleut de plus en plus, ça nous gâche notre programme, contraint de s’abriter, malgré nos impers.

 Dans ces conditions nous ne pouvant faire les deux autres sites, rentrons en bus et attendons que tout se calme.

 Le guide Lonely indique qu’il y a 3 jours de visite, le parc à pied, 4 autres sites à cheval et le tour en jeep, le parc et les 4 sites à cheval peuvent se faire dans la journée en commençant au parc à 8 H les navettes chaque 30 mn au départ de l’église desservent les deux autres sites pour 1000 et 1300 P pour ceux qui aiment la marche, et visiter sans guide qui raconte la messe, c’est largement jouable, dommage que les guides( livre) ne le mentionne pas , c’est pourtant leur job.

 Il continue de pleuvoir, on décide de partir à Pitalito, pour pouvoir nous mettre un peu au sec. Nous mentons dans la camionetta………………….il s’arrête de pleuvoir tout le monde nous disait qu’il y en avait pour la journée car pas de vent, j’hésite, on part, et tout le long de la route, le soleil apparaît, tout sèche, j’en rage.

 Nous arrivons à la gare routière 4 km du centre, un taxi 3500 p on a du mal a trouver un hôtel, finalement EJECTIVO HOTEL dans le centre, 45000 p c’est propre et net, tour dans la ville il n’y a rien à voir, c’est une « préfecture », samedi beaucoup de monde, beaucoup de voitures particulières, ici pas mal de Renault  qui se taille la part du lion, des 4 L, R 12, R 9 mais aussi Logan, Twingo et une Renault Citius, le carburant est cher 90 cts d’€ , excessivement cher pour un pays d’Amérique du Sud .de nombreuses femmes conduisent .Ici de nombreuses femmes sont habillées avec élégance, jupe droite, veste, chemisier, ça change du tout collant boursoufflé de l’Equateur

 

4 MARS

 6 H taxi pour gare le car est à 7 H 30, nous achetons les billets 10000 p /p nous découvrons un nouveau type de locomotion le « KIA » comme son nom l’indique c’est un Kia 9 places avec chauffeur, c’est confortable, surtout le véhicule n’est pas surchargé en personne, en poids c’est autre chose .Pendant 2 h nous roulons sur des routes asphaltées le long d’un rio. Les routes Colombiennes n’ont rien à envier aux routes ukrainiennes, même pire puisqu’il y a beaucoup d’éboulement sur les routes, et d'effondrement de chaussée ;

 La route se transforme en piste, une piste mal entretenue, les écoulements sont obstrués par des éboulis, la chaussée et boueuse, des trous, pendant 30 mn on ne dépasse guère les 20 km/h,

 Une camionetta s’est retournée dans un effondrement de chaussée, béton terre le revêtement s’améliore et à 10 H30 nous sommes à La Plata une petite bourgade poussiéreuse, le soleil e » est brûlant, les hommes portent des chapeaux genre « Panama » à larges bords pour se protéger du soleil, une camionetta part pour TIERRAMUNDRO , il reste une place devant, que mon acolyte se fait prendre, sinon c’est dans la caisse derrière, pour 8 places il peuvent charger 12 personnes. On préfère perdre 2H er partir par la camionetta de 13 h.

 La Plata ne doit pas voir beaucoup de touristes ; resto puis changement de temps, des averses diluviennes se succèdent, 13 h le véhicule arrive Boubou court sous la pluie pour être sur d’avoir les deux places à côté du chauffeur, que nenni, berné, un passager était déjà monté avant, il ne veut pas céder la place, Nous sommes derrière mais dans la double cabine.

 La route est en construction, et alternons entre piste et béton, le long d’un torrent tumultueux, nous passons un pont et attaquons la montagne sur une piste sèche mais avec beaucoup de tâtes de chat. 15 h arrivée, il y a 5 - 6 hôtels nous optons pour le dernier Hostel RICABET double avec sdb 22000 p de l’eau chaude, de la vraie eau chaude.

 Le village est à 2 km environ 20 mn à pied c’est un peu boueux, un surprenant village par le nombre de marmots, et son église avec un toit en chaume, mais il n’ya pas de croix à l’extérieur,

 Nous faisons qq achats pour le repas de ce soir, le seul resto en bas vers le musée ne sert plus après 18 H. Le motel EL REFUGIO est ouvert 54000 p, ‘est dommage que le guide n’indique pas un  hôtel confortable dans le village, La Posada à des doubles sdb à 30000 p

 

 

5 MARS

 

Ptit dej sur la terrasse ou des oiseaux viennent picorer P1080296.JPGdans l’assiette qui contient du riz mis par le propriétaire de l’ hôtel : Ricuarto, il a 88 ans, il dessine des plans pour faire un logement à un de ses fils, il ne porte pas de lunettes et calligraphie à l’ancienne avec pleins et déliés, chapeau bas Le nom de son hôtel vient de RICA ( de Ricuarto) et Bet(de Bethsabée) son épouse, décédée il y a 4 ans, avec qui il a eu 14 enfants.   Nous avons perdu beaucoup de temps à photographier les oiseaux, il est 9 h quand nous commençons notre tour dans le parc de « TIERRADENTRO ». Tierradentro est. un site archéologique, où des tombes ont été retrouvées dans les années 30. Des hypogées jusqu’à 7m de profondeur, certaines sont peintes , toutes celles qui sont peintes sont ornées des même motifs

 

 En archéologie, et notamment en égyptologie, un hypogée désigne plus précisément une tombe souterraine (comme dans la vallée des rois) par opposition aux tombes aériennes comme les mastabas (schéma ci contre). Lors de la période gréco-romaine, sur la côte syrienne, les traditions funéraires restent hellénistiques. Ainsi on y retrouve notamment des hypogées cruciformes, à côté d'autres types de sépulture : inhumation en pleine terre, sarcophage...

 

L’entrée des sites est de 10000 P moitié prix pour les vieux, les gardes nous prêtent des bâtons pour nous servir de cannes ce ne sera pas de trop, De suite passage d’un pont en bambou, vouté typique de la région, commence la grimpette, il y a plu ces jours derniers même hier, et le terrain est détrempée, heureusement Ricuarto nous a prête des bottes, malheureusement elles ne sont pas de 7 lieues, 20mn de grimpette, ; mon acolyte a du mal à suivre, premier site « SEGOVIA » 28 tombes toute ne sont pas décorées, pour y descendre des gradins de 50 à 70 cm ont été taillés dans la roche, C’est une sorte d’escalier en colimaçon sans noyau central ; première tombe refus, un peu de vertige, 2° tombe le garde nous aide à descendre, de belles salles voutées, avec ou sans pilier pour soutenir le plafond creusé dans de la riche dure ou du « poudingue » ou Puding,

Poudingue c’est un conglomérat de galet et de terre argileuse, cela forme une sorte de béton très dur et compact

 Nous descendons dans 5 / 6 tombes, les genoux en prennent un sérieux coup, pour descendre on peut utiliser le fessier, pour remonter plus dur. Le 2° site est à 20 mn de marche nous passons de 1650 à 1700 m mais nous avons passé un ruisseau donc descendu, le site de El Duende comporte 4 tombes, un tremblement de terre en a détruit ou fragilisé 2, nous remontons jusqu'à 1840 m pour rejoindre une piste, et redescendre sur le site de EL TABLON 1700 m ici pas de tombes mais des statues comme à San Agustin, elles sont abimées n’ayant pas été restaurées. Nous redescendons sur la route principale,

 Par un sentier à vache boueux au possible, nous redescendons encore pour traverser un petit torrent et remonter jusqu’à San Andres de Pinsimbala ou il y a encore 2 Tombes à visiter, plus une qui a été partiellement détruite par le séisme, ce qui fait qu’on la voit en coupe, la nature fait bien les choses, il reste encore un site à voir qui nécessite 3 h de marches en pente et boueux, nous sommes en retard ce sera dans une autre vie Il est 13h 30 on va au village faire qq courses, puis redescendons à l’hôtel, après midi vers 3 h visite du petit musée bien fait et bien explicite

   

6 MARS Papy de 88 ans est le seul à être debout pour nous ouvrir la porte 5 h 45 le bus passe à 6 H. Nous allons tenter l’exploit, d’aller jusqu’à Totoro 3 H de piste, puis de là prendre une camionetta pour Silvia marché local raté la semaine dernière, et rejoindre Cali pour y passer la nui, c’est jouable.

 A cette heure c’est le ramassage scolaire, le car est vite plein, sur plein extra plein 40 mn Inza, chef lieu, il faut un sacré bout de temps pour que ça se vide, jusque là la piste était roulante, meilleure qu’avant-hier, sèche,

Nous prenons de l’altitude, brouillard, la route devient boueuse, de nombreux effondrements amont, ça devient la galère, le chauffeur a du mérite, nous atteignions 3300 m avant de redescendre sur un plateau, il fait froid

. Arrêt resto pour tout le monde c’est le moment d’apprécier un café chaud, pas du vrai café de Colombie, tant pis ça réchauffe.

10 H Totoro tout petit village le long de la route, Papy avait demandé au chauffer de nous déposer ici à condition qu’il y ait un transport pour Silvia, Ce n’est pas les cas, on peut descendre et se mettre au bord de la route pour attendre un camion ou pick up, il n’y a pas de ligne régulière, notre coup est raté le receveur me redemande 6000 p de plus puisque nous allons plus loin, je lui donne 5000 p qui vont directement dans sa poche.

 11 h Popoyan un Mercedes part à 12 h pour ARMENIA , une ville plus au Nord dans la cordillére centrale . Bien installé à côte » du chauffeur, pour une fois nous voyons bien la route et ses alentours, La route descend pendant 1 H sur Cali, puis une plaine ,une vraie toute plate,

   

 Morne plaine plantée de canes à sucre, 14 h arrivons dans la banlieue SUD EST de Cali, à peu prés propre, des lotissements de maisons individuelles type maison groupées, aussi dense qu’un bouquet de persil, des petits immeubles de 8 étages, tous les mêmes. Gare routière de Cali, sur 3 étages, sale mal étudiée, les véhicules trop long sont obligés de stationner sur les trottoirs piétons , par manque de place, 30 mn d’arrêt, sortie de la ville côté Nord Ouste, petits ateliers, garages, la banlieue ouvrière, et nous retrouvons la morne plaine, pendant 1H 30

 seule distraction des

 

«  roads-trains » de 2 à 5 remorques des convois d’environ 55 60 m un peu de montagne nous prenons la route du café qui relie Cali à Bogota, une circulation poids lourd très dense. A noter que notre chauffeur imprudent au possible, peu aimable, ne dépasse la limite de vitesse : 90 kms/h.

 18h30 Arménia, à la gare routière pour prendre un taxi, il faut auparavant passer par un guichet, on dit ou on va et on nous calcule le prix, ça évite les arnaques surtout de nuit.

 

RED CATOON à Lonely, qui donne des adresses d’ hôtel à l’extérieur de la ville, en ville 1 hôtel à bas prix et deux hôtels à plus de 100000 p, l »enquêteur du guide n’a encore pas fait son bouleau, J’avais demandé un  « Foot Print » ( guide USA) à deux slovènes et j’avais repéré l’endroit ou se situer les hôtels milieu de gamme, Vers la Place Bolivar Callé 21 Carera 15 L’ hôtel IMPERIAL 40 000 P une forte odeur de désinfectant dans l’escalier, très propre, de belles chambres , ça me semble être un « hôtel por haora »

Un peu plus haut à l’ »angle de la place Bolivar et la Carera 13 l’hôtel TOLEDO  PLAZZA superbe chambre 45000 p un musée: des tableaux à tous les étages,( de bonne facture) d’inspiration Gauguin, Matisse. Je ne sais pas si ceux qui éditent les guides se rendent compte que lorsqu’on arrive de nuit dans une ville, il est difficile de se repérer, ou de définir un quartier, Armenia dans le centre il y a de nombreux hôtels  « midrange »Face à l’hôtel une « panaderia » qui sert du « vrai café de Colombie » en boire une tasse à 20 h 30 équivaut à renoncer à dormir la nuit. On peut boire une bière dans la Callé 14 dans un resto « à Pollo » du 1° étage on peut regarder ce qui se passe sur la place et voir le business des opérateurs de téléphone à 100 p la minute, le prix étant affiche dans leur dos

 

     

7 MARS

 Opération change : rien dans le Lonely , dans le centre commercial IGB, face au Gobierno , au 3° étage 3 moneys changeur, seul deux changent les euros, seul Western Union change à 2100 l’autre change à 1850 , 17% est le taux de dépréciation de l’euro face au dollar US 

,Rechargé en espéce , nous achetons dans une agence les billerts d’avion Medellin Cartagena environ 100€ ? Par la route c’est 18 h de bus, on perd une journée, les jours sont comptés.

 

 Taxi pour la gare et un bus à destination de la ferme aux papillons « MARIPOSARIO » il faut prendre un minibus pour Callarca 1500 départ de 10 en 10 mn, Un quart d’heure de trajet, Callarca on change de bus ou un taxi  3000 c’est moins cher pour MARIPOSARIO,

 

 L’entrée 10000 p 50% rabais pour senior, puis une nana vient et nous explique que le patron ne gagne pas sa vie, que le prix d’entrée, ne couvre que les frais d’entretien, que la guide qui nous est adjoint n’est pas payé qu’il ne faudra pas oublier de donner un pourboire à la guide. Rarement vu pareil guide, explication tres rare, ne nous regarde pas quand elle parle, avance comme un totue, beau parcours mais visite inintéressante, il y a un observatoir d’oiseau, on est derriére une vitre teintée, 5 sortes d’oiseaux     se nourrissent dans les mangeoires,Contination de la visite, un observatoir de 22 m non npas pour voir la canopée ou observer des volatiles, mais pour voir l’architecture de la ferme au papillon, ps mal

 

.Un, arrêt pour voir les « Coibris » venir boire dans les abreuvoirs spécifiques, en mettant l’appariel photo en mode rafale on peut arriver à en saisir qq uns , de loin ; La ferme aux papiloons, l’introduction pas mal réalisé, explicite, la voliére aux papillons , bien également, peu de beaux papillons, à Chaméléon aux Philippines on a de plus beaux specimens  www.cameleon-association.org

 

8 MARS Avant d’aller prendre le car pour SALENTO un petit noir toujours face à l’hôtel, pour commander un café il ne faut plus dire « café solo » mais « café tinto » pour le faire ils utilisent un concentré de café auquel on ajoute de l’eau chaude,

 Certains café ont des PERCOLATEURS ressemblant plus à un alambic qu’à une machine à café.

 30  minutes de bus «3400 p » Salento un grand village, on arrive sur une belle et grande place planté de palmier  « PALMA DE CERA » l’arbre national.

 Nombreux sont hôtel, possada,hostal, lesprix sont parfois très élevés pour la qualité. Hostal MARTHA, un quadra à droite avant d’arriver au Parque dans une petite maison, 6 chambres, agrandissement en cours, 40000 p la double, très propre et soigné, Martha est veuve, a perdu son « esposo » il y a onze ans.

 

 Salento pas bien grand, les deux principales rues partent du Parqué, une autre perpendiculaire, où il y a tous les marchands souvenirs, vêtements etc.  .La rue commerçante est sympa, les maisons sont peintes en blanc avec de motifs de couleurs pastel, bel effet d’autant que ces maisons sont un peu de style colonial modifié.

 Midi almuerzo dans bistroquet  un bloc plus haut que chez Martha. Ballade en hauteur sur une piste, je pensais pouvoir contourner le piton au-dessus du village, que nenni , tout est « barbelisé » , Nous nous arrêtons dans une Finca pour voir les hébergements, pas emballé du tout, plutôt  « cradosse », le paysan trait ses vaches, il y a deux races, qui sont sud américaines, elles produisent entre 13 et 20 l de lait, les bidons de lait sont transportés par des chevaux au bord de la piste, et ramassés par le laitier.

 Nous poursuivons notre grimpette, des forestiers récoltent un bois d’eucalyptus, c’est très pentu, les troncs sont écorcés à flanc de montagne, débités en morceau de 2 m, descendus au bord de la piste par des chevaux.

Une femme et sa fille nous rattrapent, je demande à la femme si elle est française ; étonnée elle me répond oui et me demande pourquoi : elle porte des « pataugasses » évident mon cher Watson .

 

Nous redescendons et achetons du fromage chez  « SUPER QUESO » une brave dame vend un excellent fromage frais 4500 P la livre, mais aussi du Postré Milo une divine crème à bas de cacao, le fruit, aussi des flancs, , une crème au café.

A partir de 6 h la place et la rue commerçante s’animent, les gens   « causent » assis sur des bancs, ou boivent une bière à la terrasse des cafés. Différents des autres pays andins, en Colombie il y a beaucoup de cafés et aussi des terrasses de café, où on peut se reposer après une journée bien remplie. Hier à Armenía nous avons pu observer l’élégance des femmes, également  dans ce village pourtant rurale. Sans faire preuve de racisme, on ne peut que constater que ceux sont les femmes de descendance espagnole qui soignent leur apparence, alors que les femmes d’origines indigènes ont plutôt tendance à porter la tenue type sud américaine «  tout serré tout boudiné »

 

9 MARS

 

 8 Vallée de Cocora on pensait qu’il y avait des jeeps toutes les heures, c’est toutes les deux heures à la demie 7 H 30 , 9 H 30, 11 H 30,nous prendrons la Jeep de 9 h 30 .

Les jeeps ne partent que s’ils elles ont au minimum 24000 p, soit 8 passagers, au delà jusqu’à 12 c’est du super boni pour le chauffeur. 3 jeeps partent soit 24 touristes, il y a 15 mn de trajet, tous le long de la route des militaires avec drapeau et affiches vantent l’unité de l’état, ceux sont de jeunes appelés 19 ans qui servent dans leur région d’origine, n’ont donc pas combattu contre les F.A.R.C.

Descendus de la Jeep nous prenons un chemin sur la droite qui va jusqu’à une Finca à 4 kms Le chemin est très caillouteux, longeant un petit torrent, il se fait un peu plus difficile, jusqu’à l’arrivée dans le « bosque » la forêt, là ca rentre dans le domaine privé, il faut payer 3000 P pour continuer, le sentier en sous bois, on aime pas beaucoup, on doit marcher sur du rocher c’est un chemin emprunté par les chevaux, difficile en principe, eux passent n’importe où pas nous,

 Retour nous allons faire la « valle de Cocora » C’est une vallée à 2000 m qui a pour particularité d’abriter des palmiers «  PALMA DE CERA »

 

Ceroxylon quindiuense

 

The wax palm grows up to 50 m (rarely to 60 m) tall in good growing conditions and is not only the tallest palm but the tallest monocot in the world. The leaves are dark green and grayish, with a petioleup to 2 m long. The trunk is cylindrical, smooth, light colored and covered with wax, When the leaves die they fall and this forms a dark ring around the trunk. The palm is recognized as the national tree of Colombia, and since the implementation of the law 61 of 1985 is legally a protected species. Ceroxylon quindiuense has an extremely
slow growth and can live up to one hundred years. It was observed by Alexander von Humboldt, for the first time, in 1801.[1]

des palmiers qui mesureraient jusqu’à 60 M soit un immeuble de 22 étages, en mesurant (avec le principe du dessin avec un crayon on trouve une longueur réelle que l’on reporte autant de fois pour arriver au sommet de l’arbre) malgré une correction de 10 % je n’ai jamais trouvé un arbre de plus de 35 m. A peine démarrer qq gouttes de pluie, retour aux jeeps, un café pour attendre l’arrêt de la pluie, ça continue, d’autres touristes sont comme nous à attendre puis finalement tout le monde se décide à rentrer, On prévoit en remplacement la route du café, mais il pleut, tonne, il pleuvra tout l’après midi.10 Mars la nuit a été agitée, un couple dans la chambre à côté n’a cessé de s’en amourer à grand bruit, un Rocco Siffredy apparemment super puissant et plein d’entrain ; ce qui n’empêche que nous soyons à 7 H1/4 sur la place pour retourner dans la vallée, nous partons sur la piste mais ne trouvons pas de pancarte signalant le « mirador »but de notre ballade, nous arrivons à un torrent, que l’on traverse par un pont en bois chancelant, Continuant sur cette piste, un portail « passaje prohibidos toros bravos » On passe quand même le portail, à nos riques et périls, on ne risque pas grand-chose, le bétail est toujours dans des enclos fermés de barbelés, on découvre la vallée avec ses palmiers géants, puis on voit sur la montagne en face le chemin qui mène au mirador, d’où l’on aura une vue complète de la vallée. On avait raté l’entrée (pas signalée) il y a une petite finca sur un promontoire, en face un rocher peint en rouge, on rentre à droite du portail cadenassé et on continue sur le chemin (d’une largeur de passage d’un véhicule), ce chemin est en pente douce, pas de cailloux facile à grimper, jusqu’au « mirador », qu’on atteindra en 40 mn pour être à 2400m et d’avoir une superbe vue sur toute la vallée. Pour le retour ça va beaucoup mieux en 35 mn nous arrivons au Jeep ; une demi heure d’attente et la jeep est complète (samedi et dimanche, il y a un départ toutes les he
ures . Le temps reste clément, on part pour une finca et la route du café, Café de Colombia

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

 

 

 

Café de Colombia est un label de qualité attribué par la Federación Nacional de Cafeteros de Colombia(Fédération nationale des producteurs de café de Colombie) et une indication géographique protégée reconnue par l'Union européenne en 2007[1],[2].

 

Logotype de Café de Colombia

 

Café de Colombia est symbolisé par son logotypereprésentant Juan Valdez. Ce personnage fictif a été créé par l'agence Doyle Dane Bernbach en mars 1981. Le logo représente Juan Valdez, son ânesseConchita, et les montagnes colombiennes en arrière-plan. Il permet d'identifier les produits contenant 100% de café colombien et approuvés pas la Federación Nacional de Cafeteros de Colombia(Fédération nationale des producteurs de café de Colombie).

 

 nous n’avons pas l’intention de visiter la finca, nous la verrons de la route, le café ce n’est pas le moment de la cueillette, Nous parcourons allégrement les 3.5 km passons devant les plantations de café,

 Café le café pousse en altitude, le café à l’origine aime l’ombre, la méthode ancienne conserve ce mode de culture, en y plantant bananier, ou autres arbres à grand développement 

; des modifications génétiques ont permis de produire des variétés poussant sans ombre et plus productive

 pour arriver à un petit hameau au bord d’un torrent, 2 solutions nous continuons encore 1.5 km pour arriver à la route principale, prendre un bus pour Salento, ou retourner à pied, nous sommes descendus, il faut remonter 500m, et s’il pleut il y a une jeep qui passe toute les heures, nous optons pour la 2° solution, rapidement du vent, vite un abri, il tombe une grosse averse, la jeep passe ouf !

 

Vendredi Samedi Dimanche, sur la place les bistroquets montent des toiles pour servir à l’abri soient des boissons soient des repas, Ici c’est le pays de la truite, ils servent des truites au fromage, à l’ail persil champignon, c’est excellent, pour notre dernière soirée andine on se fait ce petit plaisir. Nous avons passé 3 jours à Salento, ce petit village est fort agréable, on peut partir en ballade sans avoir besoin de personne, on vous invite à venir le visiter. Nous avons fait ce choix éliminant les termes de Santa Rosa, Manzaniles, on ne peut pas tout faire ce sera pour une autre fois. Demain Medellin

 

(Prononcé Mérédine) Mercredi matin avion pour Cartagéne, et resterons sur la cote Caraïbes jusqu’au 26 d’où nous prendrons un avion pour Bogota, et ce sera le 29 HASTA LA VISTA Ecuador & Colombia mais en attendant le voyage continu

 

désolé je ne peux plus enregistrer de photos

 

 

 

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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 00:37
   

20 fevrier

C’est le jour du défilé à Puyo chaque ville n’a pas forcément la même date mais tout est concentré du vendredi au mardi jours fériés ou surtout les administrations sont fermées, un peu comme chez nous dés qu’il  s’agit de ne rien faire l’administration enfin plutôt ses fonctionnaires lève le doigt pour être la première

Dés 9 h30 nous sommes dans la rue le début des festivités est à 10 H 

Lluvia lluvia lluvia orage toute le nuit et il continue de pleuvoir à seaux

On interroge le service d’ordre pour savoir si le défilé est maintenu, réponse pluie ou pas pluie c’est carnaval et on défile

Heureusement, l’architecture est telle que 75%  des trottoirs sont protégés par l’avancée du 1° étage des immeubles

11 H le défilé arrive en centre ville, ceux sont surtout les écoles qui défilent, les quartiers, qq administrations

Le défilé commence par les classes primaires, les pauvres gamins sont trempés comme des soupes, mais ça n’empêche pas de danser

Les danses sont exécutées en bon ordre, on voit que tout a été fort bien préparé

Vers 11 la pluie cesse, le défilé se terminera à 13 h,

Beaucoup de service d’ordre, civil et policier, chose assez rare, des groupes de lycéens sont chargés tout au long du défilé de ramasser  les papiers ou autres détritus dans la rue

Mais tout ça n’est pas très festif, les spectateurs n’applaudissent que lorsqu’une personne du défilé leur est proche, assis sur leur chaise, il n’y a pas de débordement chacun respecte l’autre tout en bon ordre, surprenant chez des sud-américains ; l’Equateur c’est ça, différent des 13 autres pays que nous avons déjà visité sur ce continent (sud et central)

Vite retour à l’hôtel pour prendre les sacs à dos, la circulation est fermée en centre ville, contraints de faire 800 m chargés comme des mules pour prendre un taxi

 

Gare routière, un car part dans 5 minutes, c’est l’avantage ici il y a toujours un transport  pour la destination choisit qui part dans le ¼ heure

Destination TENA une petite ville amazonienne, on va pouvoir respirer

Tena est une ville d'Équateuret la capitale de la province de Napo. Elle est située à 118 km au sud-est de Quito. Sa population s'élevait à 16 669 habitants en 2001.

Depuis le parc « Parque Central » de Tena, on aperçoit les volcans les plus actifs d'Équateur : Sumaco(3 900 m), Reventadoret Sangay. Située à la confluence des fleuves Tena et Pano, la ville bénéficie de grandes plages, comme celles de Rancho Alegre, Cocha del Cementerio, ou Dos Ríos. Tena dispose d'un jardin botanique en centre ville appelé l' « Amazonian Park ». Des excursions pour touristes vers la jungle profonde partent souvent de là. Source wikipédia

 

La route serpente dans des vallées à pic avec une belle forêt tropicale humide, il y a plus l’eau s’évapore vite et forme des petits nuages de brume transparents  à mi hauteur des arbres

 

2h de routes nous arrivons un taxi pour l’hôtel, contrairement à ce que nouds avions projeté les hôtels sont pleins, nous en trouvons un Hostal ORO AZUL un quadra sous la mairie en bordure du rio

Chambre donnant sur la rivière c’est pas mal 20 $ on recommande

Soir diner dans la rue au pied de la passerelle, pour 2.50 $ poulet frites et salade à volonté, c’est propre et bon, beaucoup de monde les gens font la queue, peu d’estrangeros, que des locaux

 

21 février

 

 

L’architecture de l’hôtel fait que notre chambre est contigüe à une autre dans le même alignement de façade

7 h 30 réveil obligé, le voisin a allumé la télé,

Hier soir je me suis rendu compte que les deux pièces n’était pas hermétiquement séparé

L’architecte a prévu de poser les châssis des fenêtres non pas entre deux murs devant le mur des séparations des deux chambres, les deux rainures permettant aux châssis de coulisser, fait que la vitre est à 2 cm du mur et entre il n’y a rien pour isoler, ni joint ni mastique, le grand vide,

Pour réduire le son j’avais bourré avec mon opinel, les housses des sacs entre le mur et la vitre

Ah J.P.D ces architectes ça n’y connaît vraiment rien

Ce matin on demandera à changer de chambres, celles qui sont à l’arrière de l’hôtel n’ont pas la même configuration, ou on changera d’hôtel

Direction office du tourisme : fermé

Ricancie, agence de tourisme crée par des indigènes gérée par les indigène et les bénéfices vont aux indigènes : fermé

Hier soir nous avons rencontré dans une Agence de tourisme un français François qui marié à une « QUICHUA » à créer une guesthouse à Napo, avec l’agence ils nous avaient préparé un programme sur deux jours, mais l’agence qui devait être ouverte est : fermée

Nous décidons donc de téléphoner à François, et nous irons seul dans son établissement on verra bien,

Si c’est bien je vous le dirai et donnerai ses coordonnées

 

Nous avons décidé de changer d’hôtel, et atterrissons à HOSTAL POSADA 24 $ la double sdb eau chaude, cuisine frigo, propre net, patron parle anglais, attention il ne rend pas la monnaie, il me refait le même coup que ‘le taulier d’Ottavalo il manque toujours 1$

Vu sur la rivière est une petite île en face

 

Après midi visite de la petite île, pas grand intérêt, ah si nous voyons un énorme serpent en train d’ingurgiter un cochon d’inde, ça fait drôle de voir cette masse volumineuse glisser dans l’abdomen du reptile

Un atèle (connu des cruciverbistes) nous accompagne tout le long de la visite, au grand plaisir de la miss qui me colle aux baskets, «  le trouillométre à zéro »

 

22 février

 

Lluvia, Lluvia,Lluvia, comme dab,

Que faire, on y va, on appelle un taxi qui nous emmène à Pano, il connaît François

Environ 10 km 5$, une petite auberge c’est neuf pas mal agencé, François nous demande si possible de ne pas prendre de douche chaude, il est t en bout de ligne à plus d’1km du transformateur, l’utilisation de la douche chauffante électrique fait tout sauter

On voit que ça n’a pas été construit par un local, le travail a été fait proprement

Une fois installé, nous chaussons des bottes et partons dans la « selva »

François est marié à Anna ils ont deux enfants

 

Nous traversons un premier ruisseau, gloups gloups, mes bottes sont percées, j’aurais les pieds propres

Tout au long du parcours, il nous expliquera, les arbres, les fruits comestibles, les passages d’animaux, et le rapport des « QUICHUA » non pas Quechua la marque française du nom du même peuple andin mais du Pérou et de la Bolivie, avec la nature

 

QUICHUA

Le kichwa, ou quichua est une langue amérindienne proche du quechua, parlée essentiellement en Équateur, mais aussi par certaines populations du sud de la Colombie (le peuple Inqua (es)) et du nord du Pérou (dans la vallée du Napo). Apparentée au quechuapéruvien, elle s'en distingue par plusieurs caractéristiques importantes, dont l'existence de seulement trois voyelles (a, i et u), contre cinq pour le quechua péruvien. Le kichwa est une langue agglutinante, qui possède de nombreuses variantes régionales, avec en particulier des différences très significatives entre le kichwa d'Amazonie, parlé dans l'est de l'Équateur (provinces du Napo et du Pastaza), et les différentes variantes parlées dans la Sierra. Reconnu, ainsi que le Shuar, comme « langue de communication interculturelle » par la Constitution équatorienne de 2008, le kichwa est enseigné en Équateur dans de nombreuses écoles bilingues, et une tentative de normalisation de l'orthographe et de la langue depuis la fin des années 1990 a abouti à la création du kichwa unifié. SOURCE WIKIPEDIA

 

La famille d’Anna après s’être dispersée aux alentours de Tena, se regroupe, le père possède des titres de propriété, mais n’est pas propriétaire de tous les territoires qu’il s’attribue (et qu’on lui laisse s’attribuer au nom «  du droit du sol » comme les Aborigènes d’Australie ou les Indiens du Canada et des U.S.A

 

Nous grimpons sur la terre mouillée ce n’est pas toujours aisé, Notre guide découvre des champignons blancs qui poussent sur un arbre il descend dans un ravin nous en cueillir, ça fera partie du repas de ce soirremarquer également letronc de l'arbre qui pourrit au sol et produira de l'humus P1070744.JPG

 

Nous passons devant deux petits rochers accolés, François nous explique la légende :

Chez les Quichua, les mariages étaient arrangés par les familles, deux jeunes qui s’aimaient d’amour tendre, ne voulaient pas de l’arrangement de leurs familles respectives pour leur devenir amoureux, ils s’enfuirent dans la forêt et se perdirent, et on les retrouva pétrifiés serrés l’un contre l’autre a tout jamais, pas beau ce compte, va on sort le mouchoir dans la chaumière P1070747.JPG

 

Continuant notre chemin notre expert nous montre un énorme arbre, 70 cm de fût à la base, qui est attaqué à la cime par un champignon, d’ici deux ans il sera mort et à terre,

Puisqu’il est condamné pourquoi ne pas l’abattre de suite et utiliser le bois, le Père d’Anna chef de la tribu, veut respecter la tradition, un arbre qui meurt, on le laisse mourir sur place il pourrira et donnera de l’humus pour les autres végétaux

 

 

François nous explique :

Pour conserver la forêt, l’état avait interdit la coupe du bois, ce n’était pas respecté et les gardes corrompus laissaient faire

Puis l’état avaient fait des projets de reboisement et d’organisation de coupe, ça ne marchait pas non plus

Ayant réfléchi à tout ça, ils ont finalement trouvé la solution idoine, la coupe et la vente du bois est contingentée et autorisée, à certaines conditions, sur la zone d’abattage d’un arbre soit environ 400m2 la végétation alentour est détruite lors de la chute de l’arbre, son débitage in situ, sur cet espace détruit, le coupeur doit planter 5 arbres de bois d’œuvre, qu’il devra entretenir pendant 2 ans, le plan lui est fournit, en deux ans un jeune plant croît de 2 m environ, après il se fait sa place au soleil tout seul la loi de la jungle

Quand un Quichua abat un arbre, pas de tracteur, pas de pelle à chenille, pas de Latil, le tronc est débité sur place en planche, bastaing ou chevron puis descendu à dos d’homme

 

Continuant notre expédition, toujours sur les crêtes effilées, régulièrement à peine un mètre de largeur et de chaque côté un abîme, nous grimpons nous grimpons crètes étroitesmoinsd'1m de passageP1070746.JPG

Pour arriver à un mirador en projet

Sur une surface d’une centaine de m2 François avec l’aval et la coopération de la famille d’Anna va construire un abri ou les touristes viendront passer la nuit à observer les animaux

Pour être certains d’avoir des animaux ils vont déboiser un peu et planter des arbres produisant des fruits recherchés par les animaux, pas belle l’idée

Quand leschasseurs partent en forêt, ils n'emménent pas de papier Lotus pour les toilettes une feuille grossecomme une feuille de tabac, à une face douce au toucher, qui leur sert de papier toilette

 

Sur chaque groupe de touristes, Il doit reverser à la communauté 5 $

Nous terminons le parcours par une descente très glissante, avec des bottes en plus pas évident, nous arrivons à l’auberge juste avant la pluie

 

Nous avons appris énormément de chose avec François, originaire d’Auvergne, il connait parfaitement les champignons, il retourne annuellement en France pour la saison où il cueille

« 2 TONNES »  de champignons, le produit de la vente étant réinvestit à la finalisation de son projet équatorien

 

Puis nous redescendons par un sentier étroit, à pic, glissant « muy dificil » Boubou a un genou qui coince, puis nous arrivons en bas, François nous montre un piège, lequel piège est armé d’un fusil, avec tout un système ingénieux de baguettes de déclenchement

 

Vient un repas bien mérité, préparé par François qui est également cuisinier, il va tous les ans en Angleterre, il est cuisinier dans un resto ambulant qui suit une suite de festival de musique itinérant

 

Après midi autour de la maison toute une série de plantation arboricole, certaines déjà vu d’autres nouvelles, et je suis épaté par un arbre qui produit un fruit qui a le goût de la châtaigne « FRUTIPAN » un noyau a été planté il y a 2 ans l’arbre aujourd’hui mesure 3 m    

      P1070753.JPG

Egalement ne jamais planter un palmier seul prés d’une maison, la dernière pousse du palmier ressemble à une corne de licorne, cette feuille humide à souhait étant le plus haut élément environnât attire la foudre, et il n’est pas rare dans la forêt qu’un palmier soit frappé par la foudre lorsque sa dernière feuille ne s’est pas encore développée

 

Pourquoi ici les cocotiers ne fructifie pas ou peu, et alors ????????????? Tout simple éloigné de la mer ils manquent de salinité, que faire pour y remédier ????????????????? Mettre du sel au pied de l’arbre, lequel retrouvera son sol de prédilection pour produire des fruits

 

François passe la main à Anna, qui nous emmène voir des « pétroglyphes » au bord de la rivière à proximité

Un pétroglyphe est un dessin symbolique gravé sur de la pierre (surface rocheuse à l'état naturel). Le terme provient des mots grecs petros (ou petra) pour pierre et glyphein pour gravure. Un pétroglyphe n'est donc pas un pictogramme, qui raconte chronologiquement une histoire, ni de l'art pariétal, qui est une peinture à même la roche des parois de grottes. Il fait partie de l'art rupestre. Source wikipédia   

  Pour y aller il faut traverser un ruisseau qui normalement se traverse à gué, il y a plu l'eau a monté, au dessus des bottes, les bottes se remplissent tandis que l'homme en haut est passé ou il y avait moins d'eau,P1070766.JPG

      5 Pétroglyphes sur un seul rocher, représentant des animaux, dont le plus frappant est une grenouille que j’avais pris pour un singe, tout le monde a droit à l’erreurà gauche une  tortue non pas un singeP1070764

 

       

 

Cours de cuisine,

Comment faire cuire un « litapia » dans des feuilles de bananes, ce soir nous avons du poisson au menu, Anna prend Boubou par la main et l’amène à la cuisine pour préparer deux poissons,

C’est simple , il suffit de vider, écailler le ,poisson, inciser profondément les flancs 3 entailles différentes, saler, mettre une sorte de cœur de palmier à l’intérieur du poisson, puis entre le poisson et la feuille, puis au dessus, ce cœur est beaucoup hydraté empêchera le poisson de sécher à la cuisson, emmailloté complètement la pauvre victime, puis attacher fortement serrées les feuilles pour que la vapeur de cuisson ne s’échappe  pas, cuire au bbq de 15à 20 mn selon le feu,

Cà vaut le déplacement 

Alors prenez le premier avion pour déguster un LITAPIA chez François pour 6.50 $ y compris une soupe de maïs accompagnée de champignons blancs ( un peu dur) le poisson accompagné d’une superbe purée de poum de terre, d’autant plus superbe qu’il y a fort longtemps qu’on en a perdu le goût P1070808.JPG

 

Après  une telle journée aussi riche en enseignement le repos du juste est la meilleure récompense

 

Je vous avais dit que je vous donnerai les coordonnées de François si j’étais satisfait de sa prestation

 

CABAÑAS  ACHIYACU  HUASI

François Raimond

fraymond78@hotmail.com

km 14 via Tena-Pano- Talag        Junto al Rio Aciyacu

063-018832  095303291  085137787   

 

23 février

 

Nous devions être dehors au plus tard à 6 H 30 pour voir les « Colibris » venir butiner les fleurs, seul possibilité de les prendre en photo, « la rafale », mais seulement un peu moins de 7 h nous sommes sur le pied de guerre, nous en avons vu chacun deux, mais pas le temps de se mettre en position

 

En général l’oiseau vient toujours butiner au même endroit, il faut donc l’attendre l’appareil prêt à cliquer

 

Après 7 h plus un vol, c’est assez facile à localiser un colibri, tellement il bat ses ailes à grande vitesse que le bruit émis et celui d’un gros bourdon ou d’un frelon

 

Nous en avions déjà photographié au Costa Rica et Nicaragua

 

Colibri est un terme utilisé dans le nom normalisé de nombreux Trochilidaeou oiseaux-mouches. Ce terme, dans son utilisation en français, a plusieurs sens ce qui entraîne une certaine confusion. En effet, en outre des noms normalisés des espèces, « Colibri » est le nom d'un genre. Le genreColibricompte quatre espèces nommées également Colibri. D'autre part « Colibri », peut aussi désigner l'ensemble des oiseaux-mouches, de la même manière que le terme de canardpeut désigner l'ensemble des anatinés.

 

Selon certaines sources, ce terme dériverait d'une langue caribe, mais il est possible qu'il dérive d'un mot espagnol[1]. Le terme « Colibri » s'est imposé dans bon nombre de langues, y compris lefrançais. Initialement, seules les espèces incluses dans la sous-famille des Trochilinae, portaient ce terme dans leur nom normalisé, mais le Colibri tacheté, initialement classé dans ce groupe, a ensuite été classé dans l'autre sous-famille des Trochilidae, celle des Phaethornithinae.

 

Source wikipedia

 

 

 

Super copieux p’tit dej , à 9 h nous nous mettons en bord de route pour prendre un bus destination TALAG un village à 10kms au bord du JUTUNYACU

 

Un bus passe il ne s’arrête pas , nous avançons à pied tout en faisant du stop quand une rare voiture passe, pas de succès, puis une averse, par chance nous sommes juste à un abri bus, abrités une voiture, un signe de la main( ici pas le pouce tendu au bout du bras mais un ou deux battements de bras main tendue, par chance c’est un taxi chargé de carrelage, qui nous emmène à destination

 

Nous descendons de voiture à la fin du village, virage à angle droit, en face une piste

 

Nous prenons la piste sur environ 3 kms, sommes au milieu de la forêt, ce qui nous permet de voir des oiseaux voler ce qui n’est pas le cas en pleine forêt ou l’on entend mais ne voit rien

 

Apres 2 km, croisement sur la droite la piste monte à 2 cascades, tout droit 1km plus loin un pont d’où partent les rafeurs kayakistes et autres canyoning

 

Qq instants pour assister au départ de kayaks qui arrivent de suite dans de fort remous puis nous traversons le pont suspendu en bon état

 

A la sortie du pont à droite une piste mène à une « cabanas » qui es à environ 1km ½

 

A gauche la piste mène à Santa Rosa un hameau de Talag (prononcé tala)

 

Nous traversons des petites communautés, maison bois toit chaume, le faîtage une tôle galvanisée pliée en deux, des maisons qui reflètent la pauvreté des gens, le salaire moyen en Equateur est de 300 $ ici les quichuas vivent d’un peu de culture, un peu de maraichage, un peu d’élevage, un peu la forêt, ça faut beaucoup de peu

 

Certaines maisons ne sont composées que d’un toit, sous lequel il y a un lit et des vêtements épars, à côté une sorte d’appentis en chaume ou il y a un feu de bois constitué de pierres avec une ou deux gamelles noircies et c’est tout

 

Par contre toutes les habitations ont l’électricité, et parfois on voit des compteurs d’eau P1070854.JPG

 

Nous poursuivons notre chemin, un motocycliste s’arrête, nous demande notre destination, il nous dit qu’il faut faire demi tour, sort de je ne sais où un européen, c’est un français il est propriétaire d’une petite exploitation, et contribue à la reforestation, des essences de bois d’œuvre, et il a fait importer des arbres fruitiers du monde entier, d’essence qui ne sont pas présentes en Equateur, ainsi il pense que lui et les quichuas tireront plus de profit, je suis dubitatif, c’est bien sur le papier, la réalité ?

 

Il nous dit que nous sommes sur la bonne route, qu’il nous faudra 40 mn pour arriver à Santa Rosa, dans 20 mn nous devrions traverser une rivière, il nous conseille de traverser pied nu plutôt que de traverser une passerelle en bambou

 

Puis il part sans même dire au revoir, mal appris gamin

 

20 mn puis 30, malgré que nous marchions à vive allure, pas de rivière, on questionne, on est sur la bonne voie 45 mn, une petite descente, la rivière, avec la pluie ce n’est franchissable sans se mouiller, la passerelle bambou est en excellent état, doté en plus d’une main courante, l’autre trou du c…… n’ra pas du souvent faire le trajet à pied

 

Nous continuons toujours dans la forêt et plusieurs personnes arrivent au loin, certainement d’un bus, re question, il nous reste encore 15 mn avant de tourner à gauche pour le « puente de madera » effectivement , un pont suspendu en bois en très mauvais état au bas du pont des pompes montées sur des embarcations pneumatiques type « zodiac » je pense au pompage de l’eau pour l’irrigation, Ici à cette saison pas besoin d’irriguer, en y regardant de plus prés je m’aperçois que la pompe rejette du gravier dans un grand tamis, ceux sont des orpailleurs

 

Orpailleur masculin

 

Celui qui recueille, au moyen du lavage, les paillettesd’or qui se trouventdans le sablede certaines rivières, qui exerce le métier minier de la recherche de l’or.

 

De l’ancien français harpailler(« saisir ») source wiki

 

Nous continuons sur une route goudronnée pendant 2 km avant qu’un bus nous prenne pour retourner à Téna

 

Nous avons parcouru environ 11 km, tranquille

 

 

 

24 Février

 

Nous sommes un peu en retard et ne partons qu’à 9 h pour Misahualli à 45 mn de bus pour 0.60$

 

Mishualli est un grand bourg d’où l’on peut faire pas mal de marche, visite de zoo musée et plein d’autres choses

 

Le bus nous dépose sur la place du village, beaucoup de petites boutiques qq hôtels

 

Un p’tit noir ça fait du bien et nous permet de reconstituer notre réserve de sucre pour les p’tit dejs

 

Un rabatteur nous accoste 80 $ pour une pirogue à moteur, jusqu’au musée zoo, une agence même prix, nous allons à une au

 

Autre agence tenue par un couple Equato- français, Emilie est française, elle nous a été recommande par François, la ballade c’est le même prix, Cocorico on reste français et on achète le tour chez Emilie

 

Emilie est venue il y a 7 ans comme volontaire dans une communauté, retournée en France puis est revenue s’est mariée et vit dans une communauté Quichua, son mari est guide, elle tient l’agence et élève 2 enfants, sympathique

 

En allant à l’embarcation, un panneau indique les tarifs pour toutes les destinations touristiques, même organisation qu’aux Galápagos

 

En plus du voyage au zoo musé, nous nous arrêterons au retour dans la communauté d’Emilie

 

Le niveau de l’eau est assez bas, il y a des remous que la lancha doit passer au ralenti, le batelier mène tout ça avec art et finesse

 

Ce qu’il y a de bizarre bien qu’étant sur l’eau, le rio fait environ 100 m de large, nous recevons de la poussière dans les yeux, obligés de mettre les lunettes pour se protéger

 

Après 1/2H de navigation nous arrivons au bac d’Huano ou nous prendrons l’amuerzo dans un resto sous une toile plastique, avec les bateliers du coin

 

Pour Lonely et ceux qui veulent faire des économies

 

On peut prendre un bus à Téna pour Huano un départ toutes les heures, et de là prendre une lancha pour aller au Zoo musée,

 

Ca coutera moitié moins cher, car on est à plus de la moitié du trajet, le prix du bus étant le même

 

Puis on arrive au musée, entrée 3.50 $

 

C e ZOO musée est géré par un suisse suivez bien

 

Il recueille tous les animaux confisqués par les douanes, la police, et les animaux blessés

 

La matière première est gratuite, il y a environ 400 BESTIAUX y compris une cinquantaine de tortues d’eau

 

Il n’emploie que des volontaires qu’il ne paie pas, qui doivent certainement payer un écot pour logement et nourriture, comme cela se fait beaucoup au Costa Rica et Nicaragua

 

Au nom de l’écologie on recrute des jeunes incrédules, qui se paient des vacances pas chères, il travaille autant que nos fonctionnaires donc…….

 

Dans ce zoo la majorité de singes une quinzaine de magnifiques ARAS, une cinquantaine de Lora Verdé (perruche), 1 ANACONDA, 2 ocelots, 2 singes débiles mentaux (vrai)

 

Ou est l’arnaque, les dépliants touristiques, les agences, les hôtels, tout le monde dit, il faut aller voir le Zoo, le parcours en bateau est beau etc.……

De plus ce suisse posséde un bel hôtel, d’environ 60 chambres dispersées dans un beau  jardin au bord du rio, avec comme clientèle essentiellement des groupes, lesquels vont bien entendu visiter le zoo, finement calculé

 

 

Collusion entre les Familles Quichua, qui établissent les prix et l’entrepreneur suisse, ce qui fait pour aller à deux voir ce Zoo ça revient à 87 $ minimum, plus si on achète souvenirs et cartes postales

 

La famille quichua d’Emilie, le bateau affrété par Emilie fait partie de cette communauté, pour y accéder on doit payer 10$ on a droit à une explication des tenants et aboutissants de cette communauté, la femme du batelier nous disant même, que du fait que les femmes travaillent au développement du tourisme, (chambres d’hôtes si l’on peut dire resto artisanat) elles sont respectées par leurs hommes et ne sont plus battues ( pas sures que se soit un progrès bats ta femme si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait, si on résonne par l’absurde la conclusion serait :

 

Il faut qu ‘une femme soit battue, à première vue ça me semblerait logique, on clôt le débat fermez le ban

 

Revenons à notre arnaque touristique, après le speech de la responsable femme de la communauté, celle-ci nous emmène vers un énorme rocher « sacré », il n’est pas lisse présente des anfractuosités, chacune d’entre elles représente un personnage ou un animal, à en tomber sur les fesses, il faut raisonner par l’absurde pour faire semblant d’y trouver la moindre explication,

 

C’est un peut se foutre du monde

 

Après cela une dense 3 femmes et une gamine dansent pendant qu’une autre chante en tapant sur un tambour, une chanson lancinante et monotone, puis l’une d’elle invite « la Boubou » à danser, puis une autre vient me chercher, je refuse, je n’entre pas dans la combine, c’est réellement nous prendre pour des « neuneu » la danse dure environ 5 mn P1070955.JPG

 

Il nous est arrivé la même chose en Papouasie Nouvelle Guinée où on avait payé 50 $ pour voir des « muds men » des guerriers qui s'enduisaient de boue et faisaient qq pas de danse, à quand la 3° arnaque du mm genre

 

Mais quand même en prime on a droit à une citronnade

 

Cette communauté emploie également des volontaires pour travailler avec les femmes, je ne suis pas contre ce système d’agro ethno tourisme mais il y a des limites à ne pas dépasser, je suis d’accord que par leur travail les femmes s’émancipent et améliorent leurs conditions de vie (surtout dans des pays machos comme l’amsud

 

La ballade ne bateau était bien naviguer sur les remous c’est sympa, mais au retour, je me suis permis un petit roupillon, j’oubliais nous avons quand même vu de loin des orpailleurs, des pauvres, qui travaillaient à la main avec un simple tamis et une cuvette, mais vu de loin on a fait la photo, en agrandissant ………………………….. On verra peut être qq chose

 

Heureusement c’est la première fois qu’il ne pleut pas de la journée, et que le ciel est bleu (bleu gris)

 

Nous regrettons de n’être pas venus ici plutôt que de rester à Tena, car il y avait plein de ballade à faire seul sans guide, mais tout ça ce n’est pas écrit dans les livres,

 

J’en viens à me poser la question, les guides (manuscrit) sont du côté des « backpacker » que nous sommes ou sont ils du côte des arnaqueurs,

 

Un guide pas très futé (français) pour moi prend le partie de la catégorie arnaqueur

 

25 Février

 

Debout 5h 15 pour tenter de prendre le bus de 7 h pour Quito.6h50 sommes au terminal, on achète le billet au guichet et demandons 50 % de rabais en montrant mon passeport, le receveur sort sa calculette et fait la soustraction, il tord du nez, puis nous dit qu’il nous fait la réduc que sur un billet, arrive une employée qui dit que le bus est un « semi cama » siège couchette et qu’il n’y a pas de réduction possible, je demande au receveur s’il est toujours OK pour réduire une place il accepte nous payons 9 $ au lieu de 12 .La route serpente dans la montagne, et atteignons BAËZA à 9 h, arrêt casse croute, nous rejoignons la route Coca Quito et grimpons dans une superbe forêt des montagnes abruptes ponctuées de torrent , comme sur une carte postale, et de cascades jusqu’à 150 m de hauteur, des alpages, de la déforestation, des glissements de terrain dus à l’érosion surtout en bord de route, on ne se lasse pas de regarder le paysage. Nous atteignons 3400 m ce n’est plus la mm forêt moins haute, moins fournie. 4030 m nous passons le col pour descendre sur Quito, ce n’est plus du tout la même végétation, de la garrigue, quelques bosquets dans les vallons, pas la moindre trace d’eau, c’est fini l’AMAZONIE, à noter qu’il fait beau pas de pluie.3500 m commence un peu de culture et de boisement de conifères, puis la pente se fait plus douce et traversons une zone agricole jusqu’à Quito. Le bus ne rentre pas dans Quito nous contournons la ville par une voie autoroutière sur environ 25kms avant d’arriver à la nouvelle gare routière de QUITUMBE gare dite interrégionale, un porteur coute 2$, il faudrait dé housser les sacs , la Bourgeot a un genou en capilotade, le porteur(avec diable) nous emmène au guichet, un bus pour Otavalo part dans 5 mn, 4 $ + 0.25 pour la gare j’avais demandé le rabais, le guichetier avait dit oui en consultant les archives on a payé le mm tarif que la dernière fois .Une superbe gare charpente métallique courbe, carrelage en pierre au sol, jardinières fleuries, ils ont mis le paquet, une réussite. Le bus part à l’heure équatorienne, puis nous reprenons la même route pour arriver 45 mn après à la gare de CARCELEN, d’où nous étions déjà parti.15 H 30 Otavalo, un taxi pour la gare routière ou un bus part dans les 5 mn pour Catacachi, ou nous sommes déjà venu au début de notre périple. Recherche d’un hôtel, LA CUADRA à deux pas de la mairie, grande chambre propre joliment meublée, Une cuisine, internet, 35$ je demande 30 c’est OK ça paiera le beefsteak de ce soir 5.99 $ le KG pourquoi se priver puisque nous avons la possibilité de cuisiner, ce sera jardinière de légumes steak yaourt

 

 

 

26 FEVRIER

 

Ciel brumeux aujourd’hui au programme 14 km de marche autour de la Laguna en bas du volcan Cotacachi .Bus jusqu’à Quiroga 5 km puis las camionettas des pick up aménager pour transporter des personnes dans la caisse souvent bâchée

 

Problème avec les chauffeurs de camionettas qui veulent nous faire payer le prix fort, puisque c’est ainsi, je leur dis que je préfère payer un taxi plus cher plutôt que de me faire voler par eux, les chauffeurs car un vieux monsieur devant eux me dit de prendre un taxi plutôt que de partir avec eux ça chauffe, c’est la première fois que nous avons un différent avec les taxis en Equateur . La laguna est un lac volcanique avec deux îles au milieu.P1070972.JPG C’est à 12km de Quiroga, il y a un centre d’information, un hôtel ; nous questionnons un garde il nous montre un chemin qui part sur la gauche, après parait il on ne peut se perdre. Des escaliers pour débuter, ça casse les jambes, d’autant plus que nous sommes à environ 2900 m, je m’essouffle vite et ne suis pas le seul, nous marquons souvent des pausez et buvons de l’eau assez souvent, le ciel est gris, pas de signes de pluie, puis le chemin alterne entre escalier et petit sentier en pente pas trop raide, à 3200 m la Bourgeot à du mal à respirer, elle ralentit l’expédition, puis elle décide de prendre un cachet de « DIAMOX » comprimé contre le mal d’altitude, pourquoi pas moi, ça me fait de l’effet rapidement, je fatigue à cause des marches d’escaliers , pas de l’altitude,

 Continuons à grimper la vue sur le lac et les deux îles et belle, l’eau est noire, puis le vent se lève, nous sommes parfois dans les nuages, le lac également se couvre de nuage. Le long du sentier il y a une piste qui contourne également le lac, nous atteignons 3480 m quand la piste et le sentier se rejoigne.

 Nous sommes au point le plus haut du parcours, après nous entamons la descente , le plus dur et fait, du moins on le pense, Le ciel s’assombrit de plus en plus, nous atteignons un point de vue couvert, et continuons guilleret la descente, qq gouttes on marche encore, des gouttes plus grosses , on bâche, de la grêle, la on ne rigole plus, nous croyons avoir fait le plus dur, que nenni, la pluie est de plus en plus forte, nous descendons 200 m en altitude, mais il faut les remonter, puis nous entamons des contours de bouts de colline, à descendre remonter, le sentier sert de lit à des petits rus, des grandes flaques d’eau qu’on ne peut éviter, on a les pieds dans des bateaux lavoirs et il continue de pleuvoir, le terrain devient glissant parfois boueux, nous marchons dans ces conditions pénibles pendant une bonne heure.

 On en voit pas la fin à chaque virage on croit voir le bout de ce sentier, enfin on arrive vers des fincas, une piste, il y a encore environ 4 km à parcourir, le tonnerre roule au dessus de nos têtes, je ne dis rien, mais avec le GPS et les batteries des appareils photos nous sommes la cible ambulante préférée de la foudre, j’éteins le GPS et continuons notre descente ; là c’est sur on ne reprendra plus d’altitude.

La miss a repris des couleurs et il s’arrête de pleuvoir mais pas de tonner, Nous doublons une famille Quicha. Puis arrive une camionetta , on ne cherche pas a savoir s’il va nous rouler ou pas 5 $ pour rentrer à Cotacachi dans ces conditions ce n’est pas cher payer. Nous finissons notre périple en Equateur comme nous l’avions commencé pluie et grêle, Demain départ pour Tulcan dernière ville à 6 km de la frontière que nous franchirons après demain tôt le matin    

 

 

  27 FEVRIER

 

8 H Départ de Cotacachi pour IBARRA environ 30 mn 0.45 $

 

Ibarra une gare routière neuve, l’état équatorien pour conserver son maillage serré de réseau de bus n’a pas autorisé l’augmentation des tarifs depuis 3 ans, face à la croissance du parc automobile privé, il n’y a, à part Tena, plus d’ancienne gare routière en centre ville. Boubou garde les sacs, je m’occupe des billets, le prochain départ pour TULCAN est à 10 H (il y 7 départs journalier) le guichetier me dit qu’il y a des départs plus fréquents avec d’autres compagnies, il faut prendre un taxi 1 $ pour MERCADO MAYORISTA. Taxi ce n’est pas une gare mais un départ à la limite de la ville pour Tulcan seulement, chanceux on part dans 5 minutes pour 2h1/2 de trajet .Après avoir quitté la ville, changement de paysage, des montagnes pelées ou poussent des agaves et une herbe rase, puis la route monte en altitude (Tulcan 3000 m) jusqu’à un haut plateau vallonné, les parcelles de terrain sont séparées par des haies vives, ça ressemble fortement au Morvan mais les vallons sont 6/7 fois plus haut et il n’y a pas de « charollaise » donc pas de veau, donc pas de tête de veau faut que j’attende le 7 avril .11h30 arrivé à TULCAN vieille gare routière, nous ne sommes pas loin de la Colombie, des changeurs de rue propose du COP ( colombiana peso) à 1385 par $ je demande combien pour l’€ ils ne semblent pas connaître).Taxi pour HOTEL LUMAR dans le centre, c’est le dernier jour, on ne prend de temps pour trouver meilleur marché ou mieux, 24 $ hôtel refait à neuf bien tout confort . Nous partons pour le plein centre pour l’almuerzo, ce n’est pas une ville très touristique, seuls ceux qui passent la frontière (6km) s’y arrêtent.1/4 de poulet et une soupe aux pattes de poules pour 2 $ c’est notre dernier almuerzo équatorien.

TULCAN est différente des autres villes du pays, les femmes n'ont pas le même style, ici beaucoup  de cheveux courts, moins de caleçon ou super collant , plus de vestes, corsages, cheveux courts, les hommes sont plus grands, terminé les visages typés asiatique, on sent une autre influence dans le comportement de la population,

La seule chose à voir c’est le cimetière et ses « topiaires », splendide travail, des têtes Incas, oiseaux animaux des arches, bas reliefs Incas quelques têtes rappellent étrangement les «  moais » de l’île de Pasques du Chili P1070982

 

Il y a une vingtaine de jardiniers à entretenir ce parc cimetière, point de rencontre des amoureux « qui viennent se bécoter sur les bancs publics, bancs publics, ils ont l’air sympathiques mais c’est assis, sur les tombes qu’ils se bécotentP1070999

L'art topiaire (du latin ars topiaria, « art du paysage ») consiste à tailler les arbres et arbustes de jardin dans un but décoratif pour former des haies, des massifs ou des sujets de formes très variées, géométriques, personnages, animaux, etc. Cet art, qui est né à l'époque de la Rome antique, s'apparente à la sculpture sur des végétaux vivants et s'aide parfois de formes métalliques destinées à guider la croissance des plantes et les cisailles du jardinier. De nombreuses plantes, de préférence sempervirentes, à petites feuilles et à port compact, se prêtent à cet usage, comme le laurier, le cyprès, voire le lierre, mais les plus utilisées sont assurément l'if et surtout le buis. en europe
source wiki

 

Clap de fin pour l’Equateur, nous passerons tôt le matin pour aller déguster un café en Colombie, en Equateur on ne boit que du « nescafé »    

Bonne nouvelle je lis dans la presse que les F.A.R.C n’enlèveraient plus de civil; à nous le café de Colombie, brown sugar pour le sucrer, blague à part toutes les personnes rencontrées ayant séjourner en Colombie en sont ravis

Autre bonne nouvelle, François Raimond,m'a dit qu'il machait de l'ail quand il avait mal au dent, j'ai essayé , ça marche, dans ces conditions (ail + clou de girofle) si je devais refaire:

 "le baiser de l'hotel de ville" de Douaneau, pas certain que je trouve une partenaire

, muni de ces deux remédes je vais pouvoir tenir encore un mois

 

 

 

 

 

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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 23:39

 Du 08 02

J’avais projeté d’aller passer un jour à Montanita et de là repartir sur GAYAQUIL 

Renseignement pris Montaninata c’est « chichon beach » et assez bruyant pour regagner GAYAQUIL  il faut rejoindre Salinas et  risqué de prendre des bus bondés Salinas station estivale des guayaquilais

Les deux conjugués on repart comme on est arrivé (un moins argenté)

Bus heure de départ nominale 7h50 la veille on nous a demandé d’arriver 25 mn avant, mais il n’y a que nous le départ effectif est 8 h00 avec arrêt jusqu’à 8 h 15, 50 m plus loin, le temps que le bus se remplisse

On ne devait avoir qu’un arrêt puis direct GAYAQUIL en fait dés qu’il y a un client le bus s’arrête jusqu’à ce qu’il soit complètement chargé gens debout compris

 

Nous arrivons à Midi juste le temps de prendre le billet pour Cuenca  à 200 kms 4 h

 

Contrairement à ce qu’on nous avait dit, il n’y a qu’une seule gare de bus lignes extérieures et ce n’était pas les vacances scolaires mais un jour de week-end exceptionnel le jour ou nous avions quitté Guayaquil

 

Le billet pour Cuenca 8.25 $ /p  nous arrivons pile poil le départ est dans 5 minutes, dans les grenades gares routières les bus sont en principes obligés de degager leur place de stationnement sous l’ordre du chef ou des chefs de gare

 

Pendant une quarantaine de KMS nous roulons dans une vaste pleine arboricole, culture de goyaves, mangues, et  autres ceux

Ne sont plus des petits lopins de terre mais de grandes « haciendas » dont une possède une piste d’atterrissage, les « fermettes » sont assez sympathiques

 

Puis ça grimpe sec, sur les ¾ du parcours nous montons dans le brouillard jusqu’à 4020 m à mon GPS

Bien évidemment le bus direct sans arrêt, est plein à craquer, au dernier  arrêt ils ont quand même laissé des gens ne pouvant que difficilement fermer la porte, après,  avec virages freinages et accélération, ça se tasse naturellement

 

Au passage j’ai vu deux vigognes au bord de la route

 La vigogne (Vicugna vicugna) est une espèce de mammifères d'Amérique du Sud qui vit sur les hauts plateaux de la cordillère des Andes. La laine de sa toison particulièrement fine est utilisée pour fabriquer des vêtements de luxe. C'est la seule espèce du genre Vicugna, au sein de la famille des camélidés. cf wiki

 

 

Nous arrivons à la gare routière Nord de Cueanca petite gare sympa, où il y même un office du tourisme avec bon accueil, documentation, l’employée gentille ne parlait que l’espagnole nous a conseillé

 HOSTAL SANTA FE

Antonio Borero 5-57

Entre Juan Jaramilla y H.Vasquez

Hostalsantafe2010@yahoo.com

Une belle maison coloniale espagnole des petites chambres avec sdb et eau chaude de la vraie eau chaude avec même l’eau chaude au lavabo

20$ cuisine WI-FI performant, deux patios  avec fauteuils, table pour manger, c’est sympa

ON RECOMMANDE, merci à l’officina de turismo, car beaucoup d’hôtels sont complets

 

Pour se remettre d’aplomb, soir spaghetti  à l’eau, et, papattes en rond coucouche panier

 

9 Février

L’hôtel es calme on se réveille à 8 H on a récupéré d’hier surtout de l’altitude

P’tit dej à l’hôtel puis visite de la ville,

Découverte du musée aborigène, magnifique,  des pièces céramiques splendides

 

 

      

P1070078.JPG

                                                                petites figurines 6 CM environ

 

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                                                                  masques environ 15 cm

 et à noter que les sex-toys ne datent pas d’hier

P1070083.JPGune collection de phallus en céramique, ce n’est pas dit si c’est parfumé à la fraise ou à la camomille

L’étiquetage des éléments exposés est en espagnol anglais et français

Il y a un magasin où l’on peut acquérir des copies ou imitation de céramiques, on a vite fait d’être tenté et on succombera à la tentation, d’autant qu’il faut emballer dans du carton pour le transport, soit les sacs éclatent soit il faudra en acheter un autre

P1070101.JPG

                                                                   vieille dame fatiguée

 

Cuenca est la plus importante ville de style coloniale espagnole, de nombreuses bâtisses P1070108.JPG

                                                         marché de la viande

P1070110.JPG

 

                                                              abats bassine de saindoux poumon

 

P1070115.JPG

 

                              Poules avec les oeufs dont la coquille n'est pas encore feormée

restaurées et conservées (hôtels magasins particuliers) la ville ressemble un peu à Granada au Nicaragua ou nous étions resté à flâner 4 jours tant la ville nous avait plu

Cuenca est un mot espagnol désignant un bassin hydrologique (voir l'article hispanophone : Cuenca).

Cf wiki

Visite du marché ou nous pouvons voir des femmes en costume locale robes rouge ou bleu au dessous du genou, châle et chapeau, ceux sont les indiennes du coin, beaucoup moins de costume que dans la région d’Otavallo

Marcher à la viande au RDC  au premier les légumes et étales à manger

Deux sortes d'étales de restauration, celles qui vendent l’almuerzo traditionnel et celles ou l’on peut manger du cochon grillé,  que nous choisissons

C’est excellent la peau  grillée craque sous la dent, une assiette avec  boules de purée environ 200 gr de viande suave, riz salade 2.50 $ c’est A NE PAS RATER

Le « bestiau entier » cuit durant 7 h dans un grand four, la viande n’est pas sèche, la serveuse découpe tendrement la viande avec ……… ses doigts, mais tout est clean ……. ou presque

 

Deux cathédrales la plus importante de style roman arc en plein cintre en pierre genre « marbre rouge du Languedoc »

 

Il fait bon à flâner dans cette ville on ne sent pas en insécurité mais ……………vigilance tout de même

 

Le soir, nous avons acheté des légumes au marché pour une soupez épaisse à partir de demain on reprendra la cuisine traditionnel, et je ne désespère pas de manger dimanche du « cochon d’inde » déjà gouté au Pérou

 

3 françaises à l’âge « blet » arrivent du Pérou

Elles sont restées une semaine

Voici leur palmarès

Un sac volé alors qu’elles buvaient un verre au bar du Sheraton de Lima

Un appareil photo arraché

Un  sac à dos éventré dans une chambre d’hôtel, vol  MP3  etc.

Volé  une pochette

Et enfin

En montant dans un taxi l’une d’entre elles s’est fait arracher une boucle d’oreille

Il ne faut plus leur parler du Pérou qu’elles ont quitté précipitamment et ça se comprend

 

10 FEVRIER

 

Nuit blanche pourquoi ????????

On n’a pas besoin du réveil pour se lever

Rassuré par la quiétude des équatoriens, on avait levé la garde on quitte la chambre après avoir sérieusement cadenassé les sacs sur deux chaises, ce n’est pas pour empêcher l’ouverture du sac mais pour la  retarder

8h 30 taxi gare routière nord le bus est à 9 h achat des tickets 2.50 $ / p 2 h de route montagneuse nous montons à 3000 m

En France au dessus de 2800 m il n’y a plus rien, ici la végétation pousse jusqu’à 3400 m environ

 

Il fait froid heureusement nous avions prévu une e épaisseur de plus dés le départ,

A ces hauteurs dans les Andes il faut toujours prévoir, la pluie et le vent, ainsi que le soleil, dés 10 h du mat il peut faire très très chaud et à 13 h il commence à faire froid, il ne faut pas avoir peur du strip- tease

 

Ingapirca (en kichwa, Inkapirka, « muraille inca ») est un complexe archéologique situé dans la province de Cañar, en Équateur. Avant de devenir le principal témoignage de la présence inca en Équateur, le site d'Ingapirca a d'abord été un site cañari, qui le nommait eux-mêmes Hatun Cañar.

Ce n'est que plus tard que l'inca Huayna Cápac ordonna la construction des bâtiments incas du site, et notamment du « temple du Soleil », durant les campagnes de conquête menées par son père Túpac Yupanqui.

Initialement considéré comme une forteresse, la construction principale bâtie par les Incas apparaît aujourd'hui comme un lieu de culte, un centre religieux consacré au Soleil, à l'instar du Coricancha de Cuzco. Cf wiki

 

 

Entrée du site 3 $ /p on a droit à un guide, on s’en passera,

 

Le site d’Ingirpica n’est pas grand comparé au Macchu Pichu auquel il est associé, on fait la vite en moins d’une heure en patientant pour laisser passer les groupes

Les ruines sont bien entretenues une partie CAÑARI  le mur d’enceinte du temple INCAS, pierres ajustées au mm sans joint

Les murs Cañari des pierres gros galets largeur environ 60 cm l’intérieur rempli d’un mortier de terre et gravillon éboulis et rivière mélangé à la terre locale, des lits de plus gros cailloux 60/100 pour compacter le mortier

 

Des portes à linteaux monolithiques sont encore en place

 

La visite terminée on a la possibilité de faire un parcours, annoncé d’une heure nous l’avons fait en 45 mn, faisable pour des jeunes jambes en 30 mn, deux grimpettes un peu dure surtout qu’on est à 3000  au passage on peut voir 4 sculptures et une tête géante sculptée naturellement dans la roche et dont la végétation est probablement entretenue pour que le touriste puisse faire le cliché idoine

 

12h 30 tout est bâclé, le car repart à 13 h 20, on a le temps de déguster un almuerzo pour 2 $ au premier petit resto sans nom à gauche en sortant du site

 

Sur la cheminée des pièges en cordes pour les chevreuils daims ou autres bestioles de la sorte

 

Retour le vendeur de billet nous demande 3$ pour 2.50 à l’aller, je réclame il me dit que non comme nous n’avons plus les tickets on en reste la : voleur !!!!

A l’arrivée je vais réclamer au guichet, l'employée me répond que ce n’est pas normal, qu’elle n’y peut rien comme c’est une coopérative elle n’a pas d’influence sur le patron du bus, je lui dis que ceux sont des voleurs;

Nous profitons pour aller à l’office du tourisme pour demander l’adresse de l’Alliance Française, ainsi que des renseignements sur les bus pour aller voir 3 marchés dimanche

La préposée est toujours aussi avenante, elle nous épingle sur la carte des papillons avec les horaires mini et maxi des bus pour chacune des 3 destinations,

Elle téléphone 2 fois pour avoir la nouvelle adresse de l’A.F qui a déménagé

 

Taxi  on lui donne l’adresse, il demande 3$, d’habitude c’est 2, on descend et retournons à l’Office du tourisme

L a secrétaire nous confirme les 3 $ car nous sortons de la zone centrale

10 mn nous sommes arrivés, un superbe bâtiment tout neuf, la secrétaire nous accueille et nous explique : l’A.F arrive dans ses nouveaux bureaux, la directrice (une française) est occupée avec le Consul, l’inauguration a lieu dans 3 semaines, et il n’y a encore aucune exposition tout est dans les cartons

L'Alliance française est une organisation française dont l'objectif est de faire rayonner la culture française à l'extérieur de la France.

Histoire de l’Alliance française

Elle fut créée le 21 juillet 1883 à l'initiative de Paul Cambon[1], alors chef de cabinet de Jules Ferry et avec l'appui d'un comité où l'on trouvait des personnalités telles Ferdinand de Lesseps, Louis Pasteur, Ernest Renan, Jules Verne et Armand Colin au 215 boulevard Saint-Germain à Paris.

Cette création avait pour but de rebondir après la défaite française de 1870[1]en renforçant le rayonnement culturel français à l'étranger, notamment la philosophie des Lumières dans l'empire colonial naissant[1]. Le statut de l'Alliance était apolitique et a-religieux. Le premier bureau était ainsi composé d'un catholique, le père Charmetant, d'un protestant, Paul Melon, d'un dignitaire israélite, Alfred Mayrargues, ainsi que d'anti-cléricaux notoires[1]. Le nom d'Alliance française a peut-être été inspiré par l'Alliance israélite universelle, créée vingt ans plus tôt[2].

Nouvelle adresse à CUENCA

Calle Tadeo Torrés

Entre F.V Solano  y F.Malo

 

Nous remontons dans la ville haute par le Malécon sur la rivière c’est un peu sordide, mieux vaut ne pas y passer la nuit

Diner juste face au Santa Fé un restau sans nom excellent « Milanesa de Pollo » pour 4.80 $ avec salade frites et riz

 

Cela fait deux jours qu’il ne pleuvait pas une grosse averse vers 18 h 30 P1060994

 

11 février

En partance pour AZOGUES petite ville à 30 km de Cuenca bus 1.25 environ 45 mn

Gare routière 2km centre ville, taxi 2.50

Marché pittoresque avec ces femmes en tenues locales colorées

Peu d’artisanat le seul que nous trouvons des statuettes en terre cuite moitié prix que celles du musée de Cuenca et d’aussi bonne facture

Après 1 h 30 de visite, sans avoir eu encore envie de mordre dans ces cochons grillés qui nous tendent leurs oreilles retour à Cuenca

 

Nous traversons la zone industrielle ou similaire, l’activité industrielle se tourne essentiellement sur le parc routier bus camion voiture (vente entretien carrosserie), la préfabrication de béton, poteaux de lignes assainissement routier.Il est possible qu'il existe une usine de tissage de grillage Beckaert ,

 Une grosse usine qui fabrique des ressorts à lames pour P.L

Quelques petites scieries, l’Eucalyptus étant l’arbre majeur pour la petite construction L'Equateur étant essentiellement tourné vers l’agriculture et le tourisme en développement

 De nombreux succursalistes de marques Chinoises Coréennes Nord-Américaines Allemandes, et surprise deux concessions Françaises Peugeot et Renault

Nos marques ne doivent pas représenter plus de 0.5% du parc automobile équatorien

Matériel TP John Deer peut ou pas de Caterpillar, Komatsu et des marques chinoises avec des noms anglicisés

 

Le réseau routier est de bonne qualité, la conduite automobile normale, enfin pour l’Amérique du Sud

 

En arrivant par bus nous allons à SUPER MAXI pour trouver miel et fromage qu’on ne trouve pas ailleurs

Ce super marché se trouve dans la ville basse à deux blocs Parque de la Madre de la ville haute descendre l’escalier en bout de H.Miguel traverser le par cet prendre la rue en face A.Cordero

Il y a un petit centre commercial, c’est à 10 mn de la ville haute pratique

C’est midi nous en profitons pour prendre un encas auprès d’une « MAMIE ambulante » pour 1.50 $

 

Il fait beau par le bus 19, arrêt Ave  Cordova, nous allons à SAN JOACHIM un petit village ou ‘on cultive des fleurs

Le trajet en bus coûte 0.25 $ sans limitation de zone, on peut faire toute la ligne pour le même prix

Au village une fanfare anime la place du village, le temps se gâte, nous hésitons à partir en expédition, éclairs, tonnerre, on retourne à Cuenca

 

12 janvier

 

Debout dès 5 H45 allé faire 3 marchés du dimanche ou se rend la population des alentours avec leur costumeP1070381.JPG

 Chordeleg (marché tissu, Gualaceo (marché  orfèvrerie céramique) et Sigsig (marché Panama)

Nous attrapons ^par chance le bus qui devrait être parti mais qui est en maraude

Première destination Sigsig la plus loin 1 h 30  1.25 $/p

Quittée la route principale et passé Gualaceo nous pénétrons dans une vallée étroite et profonde, l’habitat autour des villages et diffus et épars, très haut dans la montagne,

Les maisons traditionnelles (peu) sont en torchis sur un bâtis de roseaux, toit pente à 30 % pas plus tuile romaine, ici je crois qu’on dit tuile espagnole) les maisons sont équipés de petit balcon en bois étroit, ou de coursives toujours en bois, on peut y comparer au style bressan sans les jambages bois

 

Des femmes montent dans le bus avec leur chapeau x non ébarbés, elles les vendent aux coopératives ou à des grossistes locaux P1070292-copie-1.JPG

Les chapeaux sont examinés un à un, les non conformes, salis défauts, sont rejetés

Le prix d’achat varie de 6.50 à 8$ moyenne, les plus fins sont achetés 15 $

 

Voici la vraie histoire du Panama, à force d’entendre beaucoup de choses nous avons maintenant notre propre idée

MONTECRISTI : quelques familles travaillent le chapeau du début à la fin, le reste vient de la vallée de Gualaceo  Sigsig  finit à Cuenca

Panama de Cuenca

Les femmes achètent le matériau la paille de toquillaP1070306

Un chapeau demande  1 à 3 jours pour être prêt à être vendu à un grossiste qui le ramène aux manufacturiers de Cuenca, le chapeau est formé mais les pailles ne sont pas ébarbées

Les pailles sont alors coupées au ras du bord du chapeau

Le manufacturier passe ce chapeau à la presse pour la forme définitive,

Repassage éventuel, marquage  « chapeau fait à Montecristo »  et vendu dans le monde entier

Les chapeaux fins sont vendus aux alentours de 150$

Les tout main Montecristi  jusqu’à 450$

Nous en avons acheté un dans une coopérative de Sigsig 16 $

Les femmes ne proposent pas plus de 4 chapeaux à la fois le prix est discuté mais c’est l’acheteur qui a le dernier mot P1070349.JPG

 

10 h nous avons vu l’essentiel, départ pour Chordeleg, «30 MN » la place centrale arborée un joli jardin tout autour des bijouteries, des bijouteries que des B…………… , pas super intéressant, le marché peu de monde

Boubou qui s’est déjà payé un Panama en veut un non fini, un grossiste sympa nous en propose un fin à 10 $, il va falloir en prendre soin pendant encore un mois et demi

Il y a aussi une production de  céramique genre Bambi affreux

 

Nous ne restons pas plus longtemps, un peu déçus, pour rejoindre Gualacéo, à 10 km

Grand marché ou tous les gens des alentours viennent faire le marché

Sous le marché couvert un marché aux légumes et viande, au dessus on peut déguster

Intestin appeler tripa, (rien à voir avec nos tripes à nous)

Des cochons grillés et toutes sortes d’almuerzo, chaque spécialité étant dans le même quartier signalé par une affiche

Le clou ceux sont les « COCHONS D’INDE » rôtis empalés sur des gros pieux de bois et tournés à la main, ce n’est pas détaillé ça coûte 10 $

Boubou ne veut pas goûter, tout seul trop pour moi, j’en ai déjà mangé au Pérou, ce n’est pas mauvais P1070361.JPG

Beaucoup de photos il fait soleil, les couleurs rutilent

Coup de vent, le temps se noircit, 14 h nous prenons le premier bus pour rentrer sur Cuenca,

On cherche un morceau de tube pour emballer le chapeau non fin, tout est fermé pas âmes qui vivent dans la ville le dimanche comme chez nous tout est fermé

 

13 FEVRIER

 

Nous avons acheté hier les billets pour remonter au nord 250 km sur RIOBAMBA, tout prés du volcan CHIMBORZO  6310 m le plus haut sommet de l’Equateur

Le bus part à 9 H40 6 $ /p les autres bus partent à partir de 4H du matin

L’arrivée nominale est 13H30 mais je n’y crois pas beaucoup ce n’est que de la haute montagne

Nous reprenons la route d’Azogues puis la direction de Cañar, la route débouche sur un haut plateau vallonné à 3300 m d’altitude, pas chaud, élevage bovin vache laitière à en croire les fûts de lait de 25l en aluminium devant les maisons,

Des prairies enherbées, des vaches rondelettes, certes ce n’est pas nos normandes, les pis ne font que le 1/3

Un peu de maraîchage, fèves, pois patates, et qqn moutons, c’est une région essentiellement agricole,

Il n’y a plus de forêt des plantations d’Eucalyptus et de pins genre pins de l’Himalaya avec les aiguilles retombantes

Après Eltroibo, les maisons sont plus basses une hauteur sous plafond de moins de 2.50, plutôt 2.20

Les maisons anciennes sont en pisé

Nous alternons entre soleil et nuage, il fait frais, les femmes ne portent plus le Panama mais des chapeaux en feutres de même forme

La route alterne entre vallées et hauts plateaux entre 2300 et 3000 m les paysages sont idylliques de verdure

Chuichi une grosse bourgade, puis la vallée s’élargit, on aperçoit la route par laquelle nous sommes arrivés, nous avons du descendre 600 ou 700 m en 10 km,

Du bas de la vallée au haut de la montagne les terres sont cultivées, pas question de tracteur, tout est travaillé à l’araire ou à la pioche, c’est la qu’il faudrait mettre en œuvre la culture sans labour

Puis un dernier haut plateau, beaucoup plus plat, de grandes exploitations agricoles et du machinisme agricole, inouï le changement en 10 km

Nous croisons la voie ferrée du fameux train NARIZ DEL DIABLO

Seules qq portions sont exploitées actuellement les fins de semaine

Le gouvernement a décidé de remettre en exploitation la ligne Quito Cuenca environ 450 km

Je pense depuis Chuichi les travaux ont fortement avancés, les traverses bois (pas des planches comme dit le Lonely Planet) ont été remplacées par des traverses béton, le tout sur une plateforme parfaitement nivelée les voies sont posées, le ballastage en pierre de 40 est en cours, au moyen de matériel de distribution moderne

 

Pour le moment ne fonctionne qu’en A/R

 

Au Nord

El Tren de la libertad : Ibarra Salinas Ibarra

 

Au centre

Avenida de los Volcanes : Quito  Latacunga Quito

 

Paramo Infinito : Machachi Boliche Bachachi

 

Au Sud

Nariz del Diablo :  Alausi Sibembe Alausi

 

Los Baños del Inca : El Tambo Coyoctor El Tambo

 

Et enfin vers Gayaquil

Sendero de Arozales : Duran  Yauachi Dura

 

www.ferrocarilesdelecuador.gob.ec

 

En arrivant à 30 kms de Riobamba, la route descend, par une vallée étroite et fertile, on voit nettement que la terre est beaucoup plus fertile, champs de choux carottes patates fèves oignons

 

Le ciel se dégage et miracle nous apercevons la cime enneigée du Chimborazo

 

La gare routière décevante sale poussiéreuse, la ville poussiéreuse également les pseudos pelouses sont jaunes, le taxi nous dit qu’il ne pleut pas beaucoup, sur Riobamba ce qui explique cet aspect poussiéreux

 

Hôtel SHYRIS pas satisfaisant en face l’Impérial noud ira pour ce soir bien que ce soit un tantinet justé 14 $, après ces 6 h de bus je n’ai pas envie de courir la ville

 

Nous posons les sacs et sortons dans la ville, pas parcouru deux blocs que nous avons 3 hôtels

 

Hôtel Tren Dorado 20$ la double propre internet, le fils organise des excursions à la journée pour 25$

 

Le programme départ 8 h –

9 H 15 arrivée au 1° refuge 4800 M repos pour acclimation Mate Coca et départ pour le 2° refuge à 5200 m redescente le tout en 2h / 2h ½ suivant les m : marcheurs

Midi repas dans un petit village indien

Retour vers 14 h 30

 

Nous n’irons pas par question grisbi, mais altitude, et pression non pas atmosphérique mais artérielle, quoique j’ai fait prendre ma tension (pour 0.50 $ // 2€ EN France) l’appareil indiquait 110/60 je ne sais pas à quoi ça correspond chez nous, mais l’infirmière, flatteuse, m’a dit que j’avais une pression d’adolescent, pourquoi ne pas y croire ?????

Lorsque nous étions montés au pied de l’Aconcagua (moi sac à dos 15 KG) en Argentine, au contrôle médicale obligatoire le médecin m’avait déconseillé d’aller au delà de 4200 m

 

Nous restons demain et ferons deux petits villages à côté de Riobamba

 

A  côté du resto Chifa Casa China il y a un bar restaurant moderne où l’on peut boire une bière confortablement assis et tranquille, c’est propre, petite musique d’ambiance :

Gastronomie Peruana

 

De l’autre côté du chinois un resto la Fogata ou l’on mange une truite pour 5 $ c’est un resto pour les locaux, les serveuses courent, c’est propre et service rapide

Je recommande les deux

 

Autour de la ESTACION FERROCARIL il n’y a pas moins de 4 restos chinois peut être un cargo de clandestins a échoué dans les parages (il faut bien rire un peu)

 

14 FEVRIER

Nous changeons d’hôtel pour le Tren Dorado où nous retrouvons nos 3 françaises arrivées également hier mais avaient trouvé un bus à 8h du matin

 

Il pleuvine puis le ciel s’éclaircit, et on a la chance de pouvoir faire la photo du CHIMBORAZO

 

Pour nous ce sera Guano et Santa Thérésita, Bus esquina Pinchincha et Nueva York, un départ cada 10 mn

Ce bus passe devant un grand centre commercial, au centre ville nous n’avons vu que des « TIA »la grande supérette « Casino » locale

 

Nous arrivons à Guano beaucoup de police avec casque pare pierre gilet, il y a une manifestation contre le maire, de nombreux habitants de tout le canton arrivent par les bus et les « camionettas » mais arrive aussi des Pick up de flics et aussi un car, ça a l’air d’être sérieux

Une femme me dit que les gens ici ne gagnent pas beaucoup d’argent, je questionne un gradé il me dit que les gens demandent la démission du maire

Les flics ne sont pas d’ici (un peu come nos C.RS) ils ne savent m’indiquer la route de Santa Thérésita

 

Nous préférons partir à pied pour Santa Thérésita à 3 kms, d’où nous pourrons voir le sommet de deux autres volcans

 

Santa Thérésita n’est qu’un « barrio » de Guano, à la première place on descend environ 1500 m jusqu’à un parc aquatique pour pouvoir voir les volcans

 

Le ciel est bas (façon de parler nous sommes à 3000 le volcan plus de 4000) des nuages de beau temps nous cache les deux sommets, nous approchons d’un paysan qui garde ses vaches, tout en tressant des cordes, les fibres viennent du nord de l’Equateur : Esmeraldas

Il nous indique la direction des deux volcans

Je lui demande si je peux traverser un pâturage pour reprendre un chemin sur une colline pour revenir à Santa, il me le déconseille car c’est marécageux, seul ceux qui connaissent le terrain peuvent s’y aventurer nous suivons son conseil et revenons par le mm route

A  Santa il y a un petit resto la tenancière me fait gouter un morceau de porc entrain de cuir, c’est tendre et savoureux, Ok pour l’almuerzo porc et patates, la coquine elle avait bien bien choisi le morceau qu’elle m’a fait gouter, ceux de notre assiette cuits et recuits sont durs comme du chien (oui mais on a jamais gouté de chien….)

 

Nous remontons en bus à Guano pour voir la fabrication de tapais artisanale,

Je suis stupéfait par les doigts de fée des tisserands, quelle dextérité pour nouer et couper les fils de laine

 

La manif est finie il y a eu débat (diffusé par haut parleur) à l’intérieur de la mairie entre le maire et ses opposants, tout est calme chacun retourne à ses occupations, nous rentrons à Riobamba non sans avoir cadenassé nos sacs, les bus sont pleins et ce le lieu idéal pour se faire voler

 

Depuis une semaine c’est le premier jour oui nous avons un temps superbe, promenade en ville, il n’y a pas grand-chose à voir exceptée la façade de la cathédrale

 

Puis nous remontons au Sud l’avenue principale, si le côté Nord les magasins est quelconque et la rue sale, dès qu’on a passé la  « FERROCARIL » la même rue et soudainement propre, de beaux magasins modernes de nombreuses terrasses de café le changement est surprenant

 

Nous rentrons dans une galerie de peinture, l’artiste peint une scène de la fête de :

PASE DEL NIÑO REY DE REYES, c’est une fête religieuse qui a lieu chaque «  6 JANVIER » ou des groupes folkloriques de toutes les régions équatoriennes viennent défiler, il y a de splendides et colorés costumes

 

Vendredi 18 au soir premier défilé de Carnaval à Riobamba, et samedi à partir de 9 h le vrai défilé et toutes les festivités carnavalesques

Sympa ce peintre bien que ses peintures ne soient de très bonne facture

 

15 FEVRIER

Riobamba Ambato 1.25 $, une heure de route, on arrive dans les faubourgs, embouteillages, il faut plus d’une heure pour arriver au centre ville

Taxi pour centre ville, 1.50 $, dépose devant l’hôtel choisi Los Conquistadors, mais il est en travaux, à côté 2 établissements sordides, je vais en voir un autre, 26$ chambre petite sans fenêtre, il ne fait pas très beau ; les choses intéressantes à voir sont hors de la ville, donc re-embouteillage, on décide de quitter la ville pour Baños à 1 heure de route

Le taxi nous dépose à une autre gare routière, mais les lignes régulières ne fonctionnent pas, il faut aller ailleurs à 600 m, heureusement nous sommes pris en charge par deux couples d’équatoriens qui sont dans le mm situation

Les deux hommes prennent un sac, ça monte je suis soulagé, finalement nous prenons un bus qui vient de Riobamba

Un blond pas vraiment rassurant prend les deux sacs les mets dans le coffre du bus et me presse de grimper dans le bus qui démarre avant que nous soyons dans le bus

Pas rassuré car c’est le genre de stratagème utilisé pour voler un bagage

Une des femmes imposent au vendeur de billet de nous faire la réduction de 50% pour les retraités de plus de « 5 » ans, ce que nous n’arrivons jamais à obtenir seul

 

Arrivé à Baños les deux sacs sont là ouf

On s’apprête à partir, mais il nous manque un petit sac oublié dans le bus, lequel n’est plus à la mm place, je cherche et reconnais le vendeur de billet, lui aussi me vois, et me ramène le sac ouf

Comme quoi il n’y a pas que des malhonnêtes

On retrouve un couple d’anglais de Riobamba, lesquels nous disent que les hôtels sont complets, ils sont au Santa Cruz 22 $, on y va il reste de la place, avec petite cuisine, jardinet, salle de détente avec cheminée, feu allumé dès 18 h, on se case là

 

Baños est une ville très touristique, locaux pour ses bains, étrangers pour bains rafting canyoing saut de pont cheval marche buggy petit 4X4, une clientèle sportive donc forcément jeune

Les jeune sont transportés dans des camions aménagés avec des banquettes et surtout des hauts parleurs à tue tête, et une plateforme ou l’on peut danser,

Quand on demande le prix d’une excursion il y a toujours à la clef «  musique » pas pour nous

 

16 FEVRIER

 

Mal dormi,

 Nous partons pour visiter les cascades par nos propres moyens en utilisant les bus locaux

Une très belle vallée, qu’il est conseillé de faire à vélo, mais qui dit descente dit remontée au retour

Nous arrêtons à Paelon del Diablo, une cascade d’une soixantaine de mètres, il faut payer 1.25$ pour y accéder et monter sur un pont suspendu on va vu beaucoup mieux,

Le seul intérêt c’est d’y avoir rencontré des colombiens qui nous ont donné qq infos sur leur pays, informations que nous avons du mal à trouver car pays encore pas beaucoup visité

On comprend pourquoi tant de monde descende en vélo, à l’arrivée il y a des petits camions qui remontent cyclistes et cyclos, comme ça c’est plus facile, si j’avais su…….

 

Nous prenons un sentier qui grimpe pour aller voir des orchidées, mais une femme nous dit qu’il faut aller dans la montagne pour les voir alors qu’un panneau annonçait 300 m

 

Redescente, petit resto sympa où l’on dégustera une truite au gril pour 4.50 $, excellente

 

On reprend un bus pour une autre cascade équipée de téléphérique, P1070453.JPG

Il faut voir les «  engins » une simple cage de 1 m de hauteur, fermeture par une petite chaîne, pas de câble de sécurité et tout ça passe à une petite centaine de mètre au dessus de la rivière P1070455.JPG

 

Nous faisons l’aller retour au pied de la cascade pedibus- jambus, puis sur la route un «3 ° » téléphérique, entrainé par un camion dont il ne reste que moteur poste de conduite, châssis, pont arrière, le câble de traction animé  par un tambour de roue, principe du différentiel, en cas de pépin aucun câble de secours

En cas de panne du tracteur, il n’y a aucune autre solution, bien entendu il y aura toujours une solution bricolée pour ramener les gens à terre,

C’est réellement du bricolage, je ne suis pas preneur

Suite à pied pour rejoindre un village, nous sommes encore à une quinzaine de kms du retour, et marcher au bord de la route est dangereux, il n’y a pas de bas côté utilisable

 

18 h nous allons aux bains, 3$ l’entrée plus 1 pour la serviette, 3 bassins : eau froide, eau tiède et eau chaude 45° ; c’est un tout petit bassin 50 m2, 1 personne au m, on a du mal à s’assoir sur les bords, la piscine ne fait que 80 cm de profondeur

 

J’ai tenu une demi-heure, c’est mieux que le sauna de Guayaquil

 

17 Février

 

Sympa la réception de l’hôtel nous avait changé de chambre, plus grande et à l’écart de la réception, plus bruyant puisque à partir de 18h il y a du feu dans la cheminée, mieux dormi

 

Après le p’tit dej nous ferons une petite marche 5 km en commençant par aller au calvaire de la Vergen, un vrai calvaire, 400/500 marches d’emmarchement inégaux ce qui rend l’escalade un peu plus difficile, nous grimpons environ 200

Nous continuons par un petit sentier à gauche du sanctuaire, (il y a 2 voies avons pris à gauche) il n’y a aucune signalisation

Le sentier monte et descend après 800 m un croisement prendre à droite et on retombe sur le sentier qui partait à droite à la Vergen

Le chemin continue à remonter pendant 1.5 km environ pour arriver à un complexe hôtelier, belles pelouses et jardins entretenus

Nous ratons la descente des allemands nous ayant dit de repartir sur la route, 2 virages depuis la sortie du complexe, une petite pancarte ; Baños et Runtun ; Sentier qui descend à pic, glissant, je trouve une canne à la Bourgeot, ce chemin mène à la grande croix de BELLAVISTA, pas besoin de traduire,

Petit café et redescente chemin encore très pentu et glissant car passager, 25 mn nous sommes en bas, après avoir parcouru environ 5 km avec un dénivelé positif de +ou- 500 m, temps de temps à cause des premiers escaliers dur dur et la descente depuis l’hôtel

 

Almuer4zo au marché pour 2$ un plat typique de Baños des boulettes de purées juste passées à l’huile, un œuf frit, deux sortes de chorizo locale, salade de choux vert et tomate, c’est excellent , et pour une fois pas de riz ça change P1070460.JPG

 

Il y a un pont d’où sautent des « bargeots » genre de saut à l’élastique sans élastique, un simple ressort entre le baudrier et la corde pour amortir le choc

3 personnes ont sauté, les deux premiers se sont élancés dans le vide bras en croix sans hésitation, le 3° a fait tout un cinéma pendant plus d’un quart d’heure, se signant levant les bras au ciel, se rasseyant, puis les qq spectateurs commencent à siffler des encouragements, puis finalement le gars à réussi à sauter P1070468.JPG

 

Soir dîner petit bastringue à gauche du Santa Cruz, une spécialité locale des grosses saucisses de viande, comme une grosse banane avec un e tranche de platanos et une patate grillée, ou bien toujours la mm saucisse en plus petit, avec un quart de poulet grillé,

Nous avions demandé le prix la veille c’était 1.25 $ nous avions pris 3 portions, mais j’avais demandé plus de patate frite pour la miss, comme nous n’avons pas reconfirmé le prix la femme nous a demandé 5 $, il faut à chaque fois demandé le prix sinon c’est en générale

 « faute commise = punition immédiate au prix fort»

 

18 FEVRIER

 

Debout 6 h pour un bus vers 8h, comme Baños n’est qu’une étape sur la ligne, les cars arrivent souvent plat, c’est 4 jours fériés pour carnaval beaucoup de transit

Les rabatteurs sur quai veulent absolument nous vendre les tickets, à les écouter on part dans 10 mn mm s’il n’y a encore pas de bus

8h arrive en arrive un qui se vide, nous nous installons bagage cadenassés et accrochés à une barre  dans les coffres

Malgré notre insistance nous n’arrivons pas à obtenir le rabais de 50% qui nous est en principe dû

1 h 15 de trajet théorique, la route de Puyo descend tout du long, à flanc de vallée, nous sommes souvent 100 m au dessus du rio,  chaque repli de la montagne est accompagné d’un petit torrent, ça ne coule pas bien fort pourtant en saison pluvieuse

Puis la pente devient moins accentuée, la vallée s’évase, la forêt tropicale primaire se confirme, peu de déboisement visible malgré une scierie

 

Pour faire garder nos bagages, face à l’hôte Grand Hotel Amazonico un bar EL FARISEO excellent café et gâteau chocolat dulce de leche on recommande figure dans le Lonely (vu après)

1h30 de voyage, arrivée à la gare routière, taxi pour le centre ville 1$

Recherche d’hôtel ; le premier que nous trouvons propose des chambres doubles à 14 $, on tente de voir ailleurs, comme c’est carnaval, les «3 jours à venir les prix augmentent de 30à 50 %, après avoir cherché l’impossible je retourne au premier hôtel, la patronne me dit que ce n’est plus 14 mais 20 $ et pour une chambre plus petite, impossible de discuter, finalement nous atterrissons a Los , à 30 $ normalement c’est 20

 

Nous faisons qq agences de voyages pour partir 2 ou 3 jours dans la « selva » les prix tournent autour de 40 à 45$ / j

Pour Lonely : FUNDECOPIA  tel a changé

                        PAPANGU ATACAPI pas ouvert personne au tel

Si l’on veut aller visiter les communautés plus loin dans la forêt vierge avec un petit avion les séjours sont de 6 jours minimum il faut compter 900 $ /p dont environ 400 que pour l’avion séjour75 $

Nous sommes bloqués jusqu’à Lundi à Puyo,

 Les hôtels affichent complet ou presque, le défilé a lieu lundi matin, puis fiesta  pm nous ne pouvons partir que mardi pour Téna ou Coca pour être certain d’avoir un hébergement à l’arrivée

 

Nous avons beaucoup pris de temps, maintenant il nous est compté, nous ne disposons que de 2 jours pour faire une incursion dans une communauté indigéne, si l’on veut garder 4 semaines pour la Colombie

Charmé par la gentillesse et la sérénité des équatoriens nous nous sommes laissés prendre au jeu, maintenant nous sommes  un « chouïa » en retard

 

Après midi ballade de 2.5 km le long du rio Puyo dont une berge est aménagé, un chemin piétonnier (4 unités de passage) pavé, de l’autre côté du rio c’est la forêt

 

Pour revenir nous prenons le bus

 

Dés 6 h les « estivants carnavalesques » arpentent les rues cherchant un resto pour ceux qui en ont les moyens, c’est un peu « fantasia chez les ploucs »

Les restos sont pleins, c’est 3 jours de gros business peut être les plus importants après la

«Santa semaña »

 

19 FEVRIER

 

Des orages toute la nuit, ce matin il pleut, nous devons aller à VERRA CRUZ 8 kms, il y a, dans le cadre du carnaval, un concours de peinture sur corps

Bus dans Atahulpa, un petit quart d’heure, direction la salle des fêtes grands comme un mouchoir de poche, où sont présenté les concurrents artistes et modèles

 

Puis nous sommes conviés à attendre dehors où le concours commencera, il y a pénurie de modèle

8 artistes 4 modèles, il pleut, nous sommes juchés sur des gradins P1070496.JPG

 

12h le concours débute, 6 femmes 2 hommes, les hommes sont en slip, les filles en slip ou sous tif slip, elles se dévêtiront au furet et à mesure que l’artiste progressera

Les spectateurs encerclent la scène, les parapluies s’ouvrent, on voit de moins en moins ce qui se passe et la progression des œuvres, il continue de pleuvoir, après ½ h ce n’est plus possible, à regret nous partons

 

Retour à Puyo almuerzo chez un « CHIFA » resto chinois dans Athahulpa entre 9 Fébruero et 10 octobre, pour changer du riz pates et poulet je prends un plat chinois

 

Il pleut moins, direction ZOOREFUGIO EL EDEN sur les conseils de l’hôtel nous attendons le bus dans Ceslao Marin pour Fatima, 10 mn d’attente rien peu de circulation je demande à un commerçant si le bus passe, réponse non pas aujourd’hui

Il ne nous reste que le taxi c’est à 10 kms 7 $

En cours de route nous croisons des bus «  urbanos » qui reviennent, on s’est fait avoir

 

Entrée du ZOO 2 $, ça ne vaut pas plus, une demi heure de visite

Nous rentrons en faisant étape à Fatima , il y a « una diga » un grand bassin, et il y a un orchestre de musique traditionnel les gens s’aspergent de mousse , d’eau, ou de farine teintée, ils se poussent ou se baignent tout habillés dans le grand bassin, il y a environ 3000 personnes,

Pou

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 01:10

 

 

2 FEVRIER

Pour LONELY l’hôtel RIO DEL MAR  à PUERTO AROYA Galápagos, na plus de sol en béton, mais du carrelage de partout, seul bémol, les nez de marche des escaliers ont un arrondi d’au moins 4 cm de rayon ce qui les rend super dangereux et glissant 

7 H nous avons R.V avec nos co- voyageurs drômois pour aller à l’aéroport

Environ 5 6 minutes de trajet pour arriver à une grande gare routière d’environ 1000 m2 pour 6 bus par jour

Première étape taxi jusqu’au « terminal terrestre »  1 $, station de bus à 2 kms du Malécon

Nous devions prendre le bus de 7 h 30, mais celui de 7h00 n’est p&as encore partie

EXPLICATION :

 

7 h 00  c'est l'heure nominale, la vraie heure de départ c’est 7 h 10 de plus il faut attendre les retardataires ce qui fait un départ réel à7 H 15 

Le bus démarre mais roule à fable allure pour permettre aux extrêmes retardataires de rattraper le bus en taxi, car il y a toujours une copine qui demande d’attendre sa cousine,

Ce n’est qu’après que le chauffeur met les gaz

 

Environ 45 mn pour arriver à l’embarcadère pour traverser le chenal qui sépare SANTA CRUZ de BALTRA où se trouve l’aéroport dit aéroport Galápagos indicatif GPS

 

En chemin je me rends compte qu’il y a la possibilité de faire des ballades sans avoir besoin de taxi, il s’agit de prendre le bus de l’aéroport (il y en a 3 le matin 7.00 / 7.30 / 8.30) et de se faire déposer ou l’on veut pour le retour il y a des bus locaux qui circulent entre les villages ou hameaux, ou la solution taxi,

Chaque que l’on pose la question nous avons la sempiternelle réponse : Tour opératoire ou Taxi

 

 

Pour traverser le chenal bateau à fond plat les bagages sur le toit non équipé de galerie ou point d’ancrage, heureusement qu’il n’y a pas de vagues

 

Puis rebus jusqu’à l’aéroport  en 5 mn

Le bus du départ coûte 1.80 $

La traversée en barcasse 0.70 $ cherchez l’erreur

 

Enregistrement des billets, panne de courant 20 mn d’arrêt, nous avons nos billets, café à l’aéroport 1$ pour une fois voilà qq chose de pas cher aux Gala

L’avion est annoncé avec 1 h de retard, cause mauvais temps à Quito, donc avion parti avec retard, accumulation etc. ; finalement nous embarquons avec 45 mn de retard

 

A l’arrivée nous quittons la Drôme Provençale, nous allons passés 24 h à Gayaquil  1° ville économique du pays

 

P1060927.JPG 

                                                    C'est pour qui le caïon des pimpons FRANCISCO JAVIER 

 

Taxi jusqu’à l’hôtel MAR DEL PLATA esquina JUNIN y BOYACA à 3 blocs des Champs Elysées locaux

Grande chambre correcte, les salles de bain auraient pu être murées jusqu’au plafond

Terrasse au 3° piso équipée de tables et chaise ou l’on peut prendre les repas (nos)

Salle de muscu et SAUNA

Clim et télé

 

HOSTEL POR HAORA , ceux qui avaient suivis le blog d’Amérique du sud 2006 /7 savent

Ici les gens sont logés petitement, il y a peu d’intimité pour les couples ou les fiancés pressés de

«  faire Pâques avant les Rameaux » se retrouvent en toute intimité dans un hôtel pour 1 HEURE, j’ai vu un couple arrivé j’étais à la réception avec le patron, l’hombré a payé 10$

Je m’étonnais de voir la femme de ménage faire constamment des chambres

  P1060933.JPG

 

Le soir nous dînons sur la terrasse 1 kg de carottes râpées 1 boite de thon et un oignon feront le repas du soir, ça change de Pollo con arroz

Puis internet qui fonctionne bien pas trop long ce qui nous a permis de nous mettre à jour et finir le blog

Gayaquil est quasiment la capitale économique du pays, ici pas d’Indianos les gens sont de tailles normales, la ville est au bord du Gayas et sur l’embouchure du fleuve

Quelques édifices de type colonial, la ville n’a pas d’attrait particulier

Un malécon a été refait en 2000 Vélum côtoient abris métallique concave ou convexes supportées par des poteaux ronds, avec hauban métallique ou câble Inox, 2 musées c’est sympa de s’y promener

Par contre ici la conduite automobile et sud-américaine, klaxon, coup de freins, accélération intempestive, il faut mieux être attentif en traversant une rue

Nous étions sur les « Champs » Monique a repéré 3 gamins qui nous suivaient, je la fait passée devant   moi et je me retourne, les 3 gamins contournent un pilier et font demi tour, la BOUBOU

Accueil sympa 

BOUBOU l’avait ben raison, nous sommes de retour à la civilisation normale donc on se doit de redoubler d’attention, premier avertissement sans frais

 

 

3 FEVRIER

Réveil à 7h30 p’titdej sur la terrasse , on ne sort qu’à 9h30 pour aller sur le Malécon boire un café

Un flic fait sortir une femme accompagnée d’un chien, «  animales prohibido » me dit le flic, c’est parfait la promenade est super « clean » beaucoup d’employés municipaux sont la en permanence

Puis nous grimpons les 444 marches de la colline SANTA ANNA un petit quartier aux airs de Valparaiso, qui a été entièrement restauré, haut lieu touristique sécurisé par un policier tous les 50 M on se sent en sécurité 

P1060937.JPG

 

Visite du musée d’art contemporain ( ci dessus), beau bâtiment, l’extérieur n’est pas significatif, l’intérieur plus vivant l’archi a su jouer avec les volumes escalier plate forme, cloison ondulée, les matériaux bois plastique inox pierre,  et les couleurs pastel comme seul les sud-américains savent les utiliser Une partie du musée est sur le rio, on peut voir les « iris d’eau » aller dans un sens ou à l’opposé suivant les marées

Très belles pièces céramiques de l’antiquité, également des animations qui montrent les échanges commerciaux des différentes collectivités de l’antiquité par bateau cabotant le long des côtes du Chili au Mexique

Remontée des Champs pour arriver au PARQUE  DEL CENTENARIO (ci-dessous) un parc ou de nombreux citadins viennent prendre le frais assis sur de nombreux bancs et achetant des rafraîchissements aux marchands ambulants qui sillonnent le parc avec leur pot de jus de fruits glacés

 

P1060940.JPG  

Soirée sauna à l hôtel, mais on ne tient que 15 mn, assez pour contribuer au gommage des coups de soleil pris aux Galápagos

 

4 Février

 

Debout 6 H il pleut, nous devions redescendre au Sud Est, noue remontons Nord Est sur

 PUERTO LOPEZ  une station balnéaire,

Taxi pour un des quatre terminaux terrestre de bus celui desservant le Nord Ouest, il suffit de dire au taxi ou l’on va et, il nous emmène à la gare correspondante

4$ la course c’est à côté de l’aéroport, une immense gare routière, RDC vente de billets et commerce

1° étage les arrivées, et resto, 2° étage les départs, ou il n’y a pas moins de 112 quais d’embarquement

En demandant un peu partout j’arrive à trouver la coopérative qui dessert notre destination,

Coup de chance le bus précédent vient de partir et nous sommes les 3° dans la file d’attente, le bus partant à 9 h 30  la vente des billets débutera à 9 H

Pour Ceux qui vont à Salinas c’est plus compliqué : c’est le début des vacances scolaires, 4 queues de plus de 100 M environ 1000 personnes attendent pour partir

Les compagnies de bus sont de petites compagnies gérées sous forme de coopérative, des coops ou ceux sont des artisans qui gèrent leur outil de travail, quelques compagnies grandes distances semblent être plus importante Départ  9 h 45 sortie de l’agglomération avec de nombreux lotissements de boîtes à sardines, des maisons jumelées environ 40m2 au sol et un étage, on voit ces mêmes lotissement en Asie, lotissement parfois de plus de 1000 lots

 

Nous pénétrons la campagne, c’est sale nous étions habitués à un Equateur plus propre, notamment Galápagos et Guayaquil ou des armadas de cantonniers nettoient en permanence le centre ville

Nous traversons une zone de « riziculture humide » puis de la moyenne montagne , élevage vaches maigres, zébus, qq chevaux, les péons cultivent du maïs à flanc de coteaux, heureusement la région est humide, puis une plus montagneuses, flancs à pic avec des restes de forêt tropicale humide, ça me fait penser aux paysages de SUMATRA

 

Le réseau routier est en bon état, la manière de conduire est un peu olé olé mais bien loin de la conduite Guatémaltèque

  P1060944.JPG

 

                                              Voila matiére à faire remonter les exportations françaises

 

 13 H 30 arrivée à PUERTO LOPEZ, c’est poussiéreux et sale, toute petite agglomération, ou je fais quasiment tous les hôtels pour tomber sur la perle « OASIS HOTEL » dans Mariscal Sucré, grande chambre propre, saine pour 20$

 

Balade pour acheter du pain et regarder les prix, c’est très abordable, beaucoup moins cher qu’aux Galápagos

Soir dîner petit resto local bambou on devait prendre des calamars mais la patronne a vidé deux fois son congèle sans les trouver, finalement ça a été « camarones » crevettes avec une sauce ail beurre crème con papas fritas, ce doit être des patates d’altitude car succulentes

Ce petit resto se trouve « CORDOVA à côté des « Bomberos » les pompiers

 

C’est samedi,+ vacances, les gens descendent en famille, du grand père à la poussette de l’arrière petite fille faire le tour du Malécon

 

5 Février

 

Beau temps légèrement couvert

J’avais trouvé à louer une moto 20$ la journée, dans le Lonely il est écrit que la piste n’est pas en très bon état conducteur intermittent de deux roues j’ai préféré m’abstenir, INFO POUR LONELY , la piste vient juste d’être goudronnée jusqu’au musée, les engins de travaux sont encore sur place

Négociation avec moto taxi 19 $ après négociation 13 $ la journée pour Agua Blanca et Los Frailes Agua Blanca petite réserve régie par ses 300 habitants

20 mn de tr 5$ de droit d’entrée p/p donne droit à la visite du musée et un circuit de 2 kms avec un guide  

Intéressant petit musée ethnographique avec la particularité d’exposer des urnes funéraires

Les défunts sont enterrés en position féale, puis une fois le corps décomposé les ossements sont rassemblés et stockés dans une amphore puis enterrés, différentes céramiques et le siège spécifique à ce village sorte de siège curule

Puis petit tour pédibus jambus on rencontre deux sortes d’oiseaux et qq moustiques affamés on a le tort d’être en short

 

 

P1060956.JPG

On arrive au clou de l’intérêt du village une piscine d’eau sulfureuse avec possibilité de s’enduire

de boue,

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Enduit, séchage rinçage pendant qu’un car de locaux débarque et anime l’endroit, le grand jeu : les hommes s’enduisent de boue joue les tarzans négres les femmes photographies, certains mettent dans leur slip une bouteille, clic clac et les femmes piaffent de rire en regardant les photos

 

12 h départ pour Los Frailes  une plage à 8 KMS, le tuk- tuk nous dépose à l’entrée du village une petite auberge la 1° à gauche plat unique de filet de poissions frits avec une sauce genre « piperade »

C’est excellent

 

Superbe baie d’un km sable blanc, un sentier mène à deux autres petites plages A/R 45 mn en passant par le mirador d’où on voit que la mer

Baignade un fort courant  sous marin nous entraîne au large difficile de résister à la force de l’eau nageur moyen resté au bord

 

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                        un peu d'actu reglement de compte 3 de plus au tapis

6 Février

Il a plu la nuit, départ pour MONTECRISTI, le village ou sont fabriqués les chapeaux dits PANAMA

3  h de route en passant par Jipijapa, environ 70 kms, 2.50 $ le bus s’arrête partout

Route avec péage puis une partie 4 voies dont le terre plein centrale est planté de flamboyant ce sera magnifique à l’état adulte, puis une forêt tropicale primaire dont les arbres majeurs sont les « CEIBA »(ou arbre bouteille par ce que le tronc présente l’aspect d’une bouteille genre Perrier

 

P1060970.JPG

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ceiba_pentandra

Nous avons déjà vu ces arbres au Paraguay, partie ouest chez les Mennonites, (émigrants  allemands du 19 °)

Arrivée pose café le bistroquet s’assoit à notre table, curieux pose des questions, temps de voyage combien on gagne, à ses dires ici les retraités gagne entre 200 / 300$ mensuel

Puis on lui demande où on peut voir une fabrique de « PANAMA »

Réponse les Panamas sont fabriqués à Cuenca, l’origine est bien ici, mais il ne reste que quelques familles qui travaillent artisanalement la fibre de « CISALE »

Dans les magasins tous les chapeaux sont estampillés Panama fibre naturelle fabriqué à Montecristo

Les prix vont de 20 à 150 $ selon que la fibre est plus ou moins fine, certains magasins nous disent que la fibre naturelle est légèrement jaune par rapport à la fibre synthétique qui est plus blanche

 

Pour faire plus vrai devant les magasins il y a toujours qq’un qui fabrique un Panama (pour la photo)

 

Puis un homme nous aborde pour nous indiquer une fabrique artisanale, en montant la rue principale il faut contourner l’église (ou il n’y a rien à voir sinon la façade blanc et bleu), masser devant le «  parque », tourner à gauche, 50 m plus haut on ne peut rater une peinture murales sous un porche, c’est la fabrique du

Sr Rosendo DELGADO G

Artesano

Rocafuerte 223 y Chimborazo

Montécristi

mavictoriadelgadop@gmail.com

 

 

El señor Delgado a 88 ans il travaille avec sa femme et 2/3 ouvriers

Plus la fibre est fine plus le tissage est serré, plus il est imperméable et plus de temps est nécessaire pour la réalisation d’un sombréro, et plus il est léger

La fibre qui fait moins de 2mm est coupée à l’ongle en 8  pour obtenir un fil gros comme un fil à coudre de bâtis

La fibre doit toujours être humide sinon elle casse, les ouvriers ont à côté d’eux un petit bol pour humidifier la fibre

Pour faire le véritable Panama il faut environ 400 h (ce qu’ils disent) ils nous montrent des chapeaux super léger, le plus cher proposé à 460 $

Le travail de début et pénible, l’ouvrier courbé  appuie avec sa poitrine sur une forme en bois pour tenir le tissage supérieur du sombréro

La vieille femme qui nous fait la démonstration nous montre que çà lui fait mal aux reins, nos CGTistes nationaux auraient à peine esquissés le geste qu’ils seraient en arrêt maladie pour 3 semaines minimum avec tacite reconduction

Les fibres de reprise sont coupées à la lame à rasoir du travail soigné tout au long de la fabrication

 

Conclusion si on veut acheter un panama pas cher il faut l’acheter à CUENCA

 

Pourquoi le nom de PANAMA  pour ces chapeaux fabriqués en Equateur

Au 18° siècle les commerçants espagnols ont commencé à exporter les chapeaux des péons équatoriens depuis la côte Atlantique du Panama, l’Equateur étant baigné par le seul Océan Pacifique d’où le nom qui lui a été attribué par erreur

 

Retour en seulement 2 h nous avons sauté d’un bus à l’autre et P.M il y a moins de monde

 

Ce matin nous avons vu 4 Avisos ou similaire croiser le long de la côte, ce soir deux sont en rade à Puerto Lopez je demande à un équatorien si c’est pour venir en aide aux argentins qui ont envoyés un croiseur  au large des Malouines (les argentins ont toujours la volonté de reprendre les Malouines aux anglais)

Il rit mais il nous dit qu’il y a eu de la piraterie en haute mer et que les 4 navires de guerre patrouillent la nuit

Resto pour aller manger des calamars juste  à côté de l’hôtel Ruta del Sol

Nous retrouvons nos drômois et Rosine qui est malade pour cause de turistas

Je lui donnerai qq « immodium » dont je suis grand consommateur depuis des lustres

Ils sont allés sur l’ile Las Plata ont vu beaucoup de choses, oiseaux, poissons tortue marine et une baleine

Je voulais changer de village mais comme ils ont l’air enchanté de leur trip, on va faire le même demain

 

7 février

Rosine et Serge passe nous dire au revoir peut être nous rencontrerons nous à Cuenca et nous nous partons pour notre nouvelle expédition à la même agence

25$ /p visite de l’île encas à midi snorkling tortue  et pourquoi pas baleine

 

 

L’Isla de la Plata est une petite île sur la côte de Manabí, Équateur, faisant partie du parc national de Machalilla. On peut y accéder par bateaux depuis la ville de Puerto López.

Sur l’île on peut voir un grande diversité d’espèces animales. Par exemple de nombreuses espèces de fous, y compris le fou à pieds bleus, le fou à pieds rouges, et le fou de nazca. Une autre espèce trouvé ici est l’otarie à crinière. Des dauphins, comme le dauphin tacheté pantropical qui peut être trouvé dans les eaux avoisinant l’île. De plus les baleines représentent l’une des attractions principales lors d’un voyage vers l’île.  cf wiki

Je suis assez barbouillé depuis 2 jours ça ne va pas très fortP1070012.JPG

                                                               fou a pattes bleues

Nous partons à 10 h sommes une quinzaine, beaucoup d’argentins

Sur l’île le groupe se partage en deux, les hispaniques et les anglicistes, avec chacun son guide

Après les explications du guide, commence la visite, en premier un escalier de 190 marches dur à monter, les marches font parfois plus de 20 cm de hautP1070028.JPG

Le chemin d’accès est en cours, pour séparer la terre du gravier à venir, ils étalent en guise de couche anticontaminente de la bouffe de riz (l’enveloppe du grain)

Arrivée au sommet, le groupe se partage encore, ceux qui veulent faire une boucle de 4.8kms ou 1.5kms, tout ce qui est sud américain opte pour le petit parcours, les occidentaux  pour le grand

 

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                                                           jeune oison " en coton"

Nous découvrons les «  fous aux pattes bleues » les nazcas, une femelle qui couve, et un

« Piquéros à pattes rouges » et c’est toutP1070023.JPG

                                                                              fou de nazca

 

 

Mais nous marchons sous un soleil de plomb, en plein midi, j’ai de plus en plus de mal à suivre bien que ce soit facile qq petites grimpettes que j’avale facilement d’habitude, je suis vraiment mal

Finalement  à 14 h nous sommes de retour ou nous attend le groupe des peu courageux

J’ai la tête qui vire je suis au plus mal

On remonte sur le bateau pour aller faire du snorkling, je reste à l’ombre, le guide me donne un gobelet de coca, puis 2 puis 3 ce qui a pour effet de couper de suite la « turista »

J’ai hâte de rentrer

Les snorkleurs regagnent le bord après 20 mn de plongée, pas vu grand chose

Nous repartons en direction du continent, je m’étonne que nous n’allions pas voir les tortues, le guide me dit qu’aujourd’hui il n’y en a pas, il est surtout préssé de rentrerP1070010.JPG

 

Deux jours différents, deux résultats différents, nous sommes désappointés, nous n’avons pas vu grand-chose

Pour voir les animaux il faut partir tôt le matin, mais à 8 h du mat tout est fermé les guides dorment, nous emmener marcher en plein soleil est complètement absurde

 

Nous rentrons à l'hôtel (moi complètement &épuisé, à mon tour de me gaver d’Immodium

 

Demain nous quittons définitivement la côte pacifique pour rejoindre via Guayaquil, Cuenca dans la cordillère à 2500 m

J'espére que que ça ira mieuxet quevnous pourrons faire le parcours dans la même journée devant prendre une autre ligne à Gayaquil

 

Pour l'ami Geoeges " dit Bobine de Fil" le train qui faisait Gayayquil Cuenca et qui prenait les virages en faisant marche avant , marche arriére comme au Pérou, ça n'existe plus

Actuellement il ne circule que deux petits trains en week end, toutes les autres lignes sont fermées, le réseau ferré écuatorien va être prochainement remis en activité, j'ai vu sur le journal  que  3 locomotives diésel venaient d'être importée  

 

 

 

 

                                  

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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 01:06

24 JANVIER

Taxi airport avec avocat argentin c’est lui qui négocie, facilité de la langue faisant, le trajet pour 5$ nous avions payé 8 $ pour venir

Brouillard les avions sont retardés voir annulés, la salle d’embarquement est petite, il y a autant de personnes assises que debout les esprits ne vont pas tarder à s’échauffer,

Beaucoup de touristes ça ne va pas être facile de trouver une chambre à l’arrivée

Finalement le brouillard s’est levé les avions sont partis les uns après les autres, il a fallu rester à côté des hôtesses d’accueil, car les tableaux ne marchaient plus, pour avoir les bonnes infos, lesquelles hôtesses sont restées très « ZEN » dans tout ce foutoir organisé

 

Arrivée aux environs de GAYAQUIL seconde ville du pays tout est inondé ce que relate la presse, car les équatoriens nous disent que tant de pluie est anormal

PHOTO DE PRESSE & ENVIRONS DE GAYAQUIL VUS D AVION

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13 h 50 heure locale nous arrivons à PUERTO BAQUERIZO MORENO seconde ville des Galápagos et capitale de l’ile de SAN CRISTOBAL

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                                               LIONS DE MER EN CENTRE VILLE A L4ABRI DU SOLEIL

Contrairement à ce qui est dit dans le Lonely, la taxe du parc n’est pas de 200$ mais seulement de 100$ bonne surprise

Passé le contrôle sanitaire récupération des bagages et taxi (ici tous les taxis sont des « pick-up » 4X4, 1 $ pour nous emmener à l’hôtel, nous avons choisi le 1°en arrivant à l’aéroport mais ce sera le second Hôtel Mar Azul 30 $ la double eau chaude grande salle de détente (ouverte) accueil sympa

Hotelmarazul_ex@hotmail.com  une fontaine d’eau (froide chaude) est à dispo ce qui n’est pas négligeable il fait plus de 30° on doit boire beaucoup et ici tout vient du continent donc coûte cher

 

 

Puis ballade dans la ville pour se repérer et prévoir les ballades pour demain, partout les mm prix

Seule une agence nous donne des renseignements clairs

En finalité ici les agences vendent du snorkling et de la plage, l’endroit ou je souhaitais aller en bateau n’est pas desservi accessible seulement par bateau et ce sont uniquement les bateaux de croisières qui permettent d’y aller

 

25 janvier

 

Pas de promenade en mer nous faisons une visite terrestre négociation à l’hôtel finalement pour 45 $ nous ferons la Junco, La Galapera, Puerto …… et le chauffeur nous rajoute La Lobéria

La seule route à l’intérieur de l’île est godronnée avec qq nids de poules

 

1° Étape La Junco cratère d’ancien volcan est  devenu un lac peu profond 7 m ce n’est pas grand la superficie d’un petit terrain de « futbol » l’attrait de ce lac le seule lac d’eau douce potable des Galápagos ou les « frégates » viennent rincer leurs ailes empesées de sel marin pas bête les oiseaux, cette opération ressemble un peu à un remplissage de « Canadair »

2° Etape toujours sur la même route une réserve de tortues (la Galapaguera) les plus grosses 140 kg ne sont pas très haute, elles se battent entre elles à l’P1060576.JPG

 

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                                    FREGATES SE RINCANT LES AILES DANS LE CRATERE D'EAU DOUCE  D                                                                

heure du casse croûte, il y a également une « Nursery »

Il y avait 11 espèces de tortues aux Galápagos, 3 se sont éteintes

Les ennemis des tortues en liberté: les rats qui dégustent les œufs, les chats, sangliers, vaches qui piétinent les nids

3° Etape Puerto Chuino une baie prisée par les surfeurs, ont peu y voir des cactus arborescents et (merci le guide) apercevoir depuis un monticule des tortues marines nageant dans la baie, on les distingue nettement il y en a 4

4° Etape que le guide nous a rajouté gracieusement La Lobéria où il nous dirige vers un chaos de boulets de laves pour voir de très prés des « Iguanes marins » les mâles grands et une robe colorée avec une forte épine dorsale, les femelles gris foncé ternes, je ne veux pas paraître sexiste, chez les humains c’est bien un peu pareil…………………………………

 

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        pinson de Darwin , il en existe 10 especes chacune se différencie par l'articulation du bec 

                                                        

Retour 13 h a l’hôtel, belle ballade mais il fait très chaud plus de 32°

Excellent almuerzo face à l’hôtel pour 3$ une succulente soupe au fromage et grosses pâtes et un plat viande riz frites et sauce oignons poivrons  on recommande

P.M visite de la ………………. un éco musée qui explique le développement des Galápagos depuis leur découverte en 1550

Il est à remarquer que le nombre de touristes montent en flèche depuis les années 90 mais le budget par touriste à diminué quasiment de 7 à 1 pendant la même période

Auparavant les Galápagos n’étaient visitées que par bateaux croisières dites de luxe ou par des yachts privés

Puis petite ballade à l’ouest de l’île, il fait trop chaud même les lions de mer se cachent à l’ombre de fourrés

Comme le Bhoutan les Galápagos essaye de contenir le nombre croissant des touristes en maintenant des prix élevés, le mythe Galápagos étant ils auront du mal

On verra encore un bel Iguane en compagnie de sa femelle et nombres de Lion de mers affalés sous les bosquets

Super chaud, brûlant j’attrape des coups de soleil sur le mollets et avant-bras

 

26 janvier

 

Debout  5h 45 Taxi dans la benne du 4X4 1$ arrivée à l’embarcadère sévère contrôle non pas de douane, mais pour le transport de fruits ou autres produits qui risqueraient de contaminer une autre île

2 H plus tard nous sommes à Puerto Aroya sur l’île de SANTA CRUZ l’île majeure des Galápagos et la plus peuplée 20.000 âmes

Marée basse le bateau (un 3 fois 200cv cabine cruiser 22 passagers) ne peut pas accoster au quai, nous sommes transbordés avec arme et bagages par une lancha et contraints de payer 0.50$

 

Je vais demander à 3 uniformes, (flic, militaire ou douanier) où est le ponton de départ pour Isabela

Je suis au bon endroit, un uniforme me demande si je suis Chilien ou Argentin non Français, il éclate de rire et me montrant un de ses collègues, il me dit qu’il est allé en France pour se faire opérer et changer de sexe, avant il était femme, il me demande ce que j’en pense, je lui explique que je n’y vois aucun inconvénient l’essentiel étant d’être bien dans sa tête, mais qu’en générale en France c’est plutôt l’inverse, le transformé m’a écouté avec intérêt, puis rigole et me tend la main

 

Traditionnel mal de dent, du jour de notre atterrissage en Equateur, ça fait plus mal, pas question d’aller chez un dentiste ici ce n’est guère mieux que les dentistes des Philippines ? Bien que dans l’avion une publicité vanté la qualité du travail pour des implants dentaires, je verrais sur le continent à Guayaquil

En attendons, la bonne vieille recette que m’avait donné mon dentiste fidésien Agniel, croqué des

«  CLOUS DE GIROFLE » on fait au moins une dizaine de boutique pour finalement trouver un sachet à 0.50$ et ça s’avère très efficace après 2 prises la douleur est partie

 

Nous pensions trouver des prix raisonnables mais pour 2h de bateaux autour d’une île les prix variant de 130 à 150 $

Nous conservons notre plan initial de continuer dans la jopurnée pour arriver à Isabella

Un couple de français nous ont repéré et nous aborde, ils sont comme nous, ne veulent pas subir la même loi du surcoût

Je commence à comprendre le pourquoi de la baisse du ticket moyen du touriste de 7 à 1 en une quinzaine d’année

Beaucoup de jeune viennent faire un peu de tourisme éco mais surtout du surf ou un peu de plongée

La fréquentation est surtout sud et nord américaine, les européens viennent  en été

Il y a des croisières de 3 nuits 2 jours à partir de 500$ au départ de Puerto Aroya, mais là encore pas mal d’arnaque, un tour d’îles, un peu de snorkling et on voit les bateaux en rade à partir de 16 H

 

14h nous embarquons sur un plus petit bateau 18 places 2 fois 200CV, nous sommes déjà 22 à bord, il y a une famille de 5 équatoriens qui râlent d’autant qu’on attend encore un passager

Le père descend et va chercher la police, un policier arrive et contrôle ..... la ligne de flottaison, la famille exaspérée débarque pour prendre un autre bateau eux arriveront à se faire rembourser pour nous, différent

 

Le bateau clapote beaucoup surement qu’avec les bagages il y a un poids excessif nous déconseillons d’acheter des billets pour le bateau Nelson, le bateau ARRECIFE étant confortable ou Julie

 

16 h débarquements recontrôle on n’ouvre pas nos gros sacs (veinards)

Il y a des rabatteurs pour les hôtels nous en  suivons un qui nous propose une double eau chaude cuisine privée pour 20$ c’est un bâtiment récent propre on y reste

Possada del Caminanté : www.possadadelcaminante.com

Le patron est sympa il m’emmene pour me montrer les magasins la boulangerie supermercado internet, il y a WI.FI mais très faible ça déconnecte sans arrêt impossible de vouloir traiter des photos pour vous montrer ce que nous avons vu

 

Puerto Villamil petit bled de 2500 hab une vingtaine d’hôtels des rues poussiéreuses non revêtues

Des gens très accueillants comme tous les équatoriens en général, nous aurions même tendance à trop relâcher notre attention,tant nous nous sentons en confiance

 

 

Ici l’eau n’est pas potable un litre d’eau traitée vaut 0.50$ on trouve partout au même prix que ce soit agence de voyage ou commerce la concurrence n’est pas le point fort des commerçant des locaux il y a une  entente cordiale entre eux 

27 JANVIER

Le genou de Boubou est enflé, percutalgine et nous partons pour la réserve de tortues, on passe par la plage où les iguanes sortent de partout, c’est marée montante, ils vont se baigner avant de retourner dans la mangrove

 

Pour rejoindre la réserve, par un ponton d’1km on traverse la mangrove, on croise des gamin sdisent qu’il y a un serpent qq mètres plus loin, c’est une couleuvre, effectivement un petit serpent noir se fait dorer au soleil, photos, il ne bouge pas, Boubou pas rassurée me colle au talon

 

Des enclos en béton à l’intérieur des tortues, forcément c’est ce qu’on est venu voir, c’eut été des lapins ………………………..

Les mâles font plus du double du volume de la femelle, le plus gros fait environ 0.80 m haut

 

Photos, puis surprise, un mâle grimpe sur une tortue plus petite donc une femelle, il va y avoir accouplement

 P1060740.JPG 

             COPULATION REMARQUER LES OISEAUX QUI ATTENDENT LEUR PART

                    photo prise à 30m dans l'ombre

 

Cours de sciences nat (pour les anciens) ou sciences de la vie pour les plus jeunes 

Pour un mâle tortue il vaut mieux être membré comme le bout de l’avant bras du Capitaine Crochet que comme Rocco Sifredi

L’appareil génital de la femelle étant placé sous la carapace, l’appareil de reproduction du mâle doit pouvoir passer sous la carapace et remontée vers l’appareil génitale de sa concubine, donc le "tortue" posséde un membre recourbé comme le poignet du Capitaine Crochet 

Tout le monde suit ????

Mais la femelle n’en reste pas là, elle avance à petit pas , elle supporte son tendre concubin de 150 kg, forcément ce qui doit arriver arrive, les deux comparses ne sont plus en relation intime et notre Sifredi tortue bave tout en essayant de réintroduire son attirail ce qu’il fait en avançant à petit pas et faisant des mouvements de bas en haut pour l’introduction des bourses  et non pas l’introduction en bourse, dans la famille tortue on ne spécule pas c’est du concret, et cela dure bon gré malgré environ plus d’un quart d’heure

Derrière attendent des oiseaux qui suivent le convoi nuptial, lors de tous ces ébats il y a de la matière qui est perdue et dont nos oisillons doivent raffoler, puisqu’ils attendent, dés que le convoi s'est d^placé de 30 cm l'oiseau picorre sur le sol 

 

Nous sommes repassés 15 mn plus tard le premier couple terminait sa fornication, quand un deuxième couple entamait avec autant de maladresse le bal des amours tortuesques

C’est chaud chaud chez dame tortue

 

La marée est toujours montante, il fait chaud, mais on doit aller à un mur LOS MUROS DE LAGRIMAS

Un mur en pierre construit par les soldats Etatsuniens et la population locale pendant la WW.II

 

 

Au début nous sommes dans la mangrove avec une brise de mer, puis on s’enfonce dans les terres il fait de suite plus chaud 32/35°

 

On traverse un territoire à tortue (indiqué par un panneau), dans les broussailles et roche volcanique on doit avoir une chance sur mille de repérer une tortue, heureusement qu’il y a les réserves pour pouvoir les découvrir car ces monstres sont impressionnants, ce serait dommage de rater ça

 

45mn suffisent pour faire les 5 kms indiqués sur le panneau, mais le GPS n’indique que 3.5 km nous marchons toujours à la mm allure

 

Au retour bain mais dans l’eau flottent des bestioles translucides, je pense à des méduses d’une autre espèce, puisqu’ici il y a de nombreuses espèces endémiques pourquoi pas les méduses

Ce ne doit pas être ça puisque plus loin de nombreux baigneurs s’ébattent dans le Pacifique, une très longue plage de sable environ 1500m, large elle ferait  envie à de nombreux P.A.CA et pas plus de 30 personnes sont dans l'eau

 

Nous avons épuisé notre eau, nous allons à ALOHA BETSY un estanco tenu par une locale qui fait d’excellents jus de fruits nature pour 1.50$

 

Nous reviendrons dîner ce soir pour 4 $ par personne un plat de poisson à la plancha avec riz, salade et frites, nous ne sommes pas déçus de ce repas simple mais bon et copieux, la patronne est toujours tout sourire

Le genou de Boubou n’a pas désenflé , nous n’irons pas au volcan demainn ou il faut prévoir 3 heures de marche

 

29 JANVIER

 

7 H 30 minibus de ramassage, dernier arrêt pour prendre le guide et distribution des casses croutes

Je fais remarquer au guide que c’est vraiment « riquiqui » un mini sandwich, une pomme un jus de fruit et 3  gâteaux secs

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                                                      VOLCAN EL CHICO  RESSEMBLE au N.O.A Argentin

                                                                                

Je lui dis s’il ne prend pas les touristes pour des lapins de 3 jours, c’est se moquer du monde

Puis arrêt pour ceux qui ont omis d’acheter de l’eau, le guide en profite pour me dire que la France n’a plus que « 2 A » et vlan un prêté pour un rendu

Le trajet une demie heure de route environ 25 kms, le chauffeur doit conduire lentement comme tous d’ailleurs, ici ça ne roule pas vite, idem en ville il n’ya pas de poussière soulevée par les voitures, ça roule à 35/ 40 km/h

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                                                                ROCHE TEINTEE PAR DIFFERENTS OXYDE

 

 

Pour ceux qui voudraient y aller seul voici l’itinéraire détaillé

Sortie de la ville 1kms à la station électrique tourner à gauche

Environ  10 / 12 kms plus  loin croisement prendre à gauche

3/4 kms  MIRADOR nouveau croisement prendre à gauche

5 kms El Cura prendre à gauche

Ca monte légèrement et 4/5 kms arrivée au poste de rangers

A pied

Prendre la piste sur 1 KM prendre premier sentier à gauche

Sentier à plusieurs voies ça grimpe doucement

2.5 Kms pancarte à gauche EL CHICO continuer tout droit

Entre 1 et 1.2 kms un sentier 10 m observatoire du volcan Sierra Negra

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Immense volcan 30kms de périphérie

Continuer tout droit environ 3kms un arrêt avec des bancs

On arrive au volcan El Chico, ça descend par des escaliers sur 300m puis on commence  marcher sur de la lave il faut suivre les piquets peints en blanc bien visibles et on arrive jusqu’au cratère

La ballade à pied IDA Y VUELTA fait 15 kms, seul dans la lave la marche est plus délicate, sinon pour un marcheur moyen, photos comprises en 4 H 30 facilement faisable

Le hic c’est pour y aller ; le mieux se regrouper à 5-6personnes et prendre un taxi qui emmène le groupe en partant à 7 H et vil revient le chercher vers 13h 30, bien fixer le tarif à l’avance  et ne payer qu’au retour

Au cas où le taxi ne revienne pas, il y a toujours le ranger de garde qui pourra appeler un véhicule

 

En bas du poste de garde, il y a à gauche le chemin qui mène à la mine de souffre,

J’ai  rencontré un guide français  Constant (a écrit 3 livres sur les Galápagos dont un en français) qui m’a dit qu’il fallait 7 h A/R pour aller à la mine de souffre

 

Amon retour je vais tenter de publier l’itinéraire enregistré sur GPS, pour aller aux deux volcans, car il n’y a absolument pas besoin de guide pour faire ce parcours

 

A 14 h 30 nous étions de retour, je n’ai pas eu le temps de « moucher le guide »

 

Un peu fatigué depuis longtemps nous n’avions fait une aussi longue marche, le genou de Boubou a tenu quoique toujours volumineux, et mon tendon a tenu également, 

« Tout va très bien Madame la Marquise »

 

30 Janvier

5 h du mat debout, nous prenons le bateau à 6h pour Puerto Ayora à SANTA CRUZ

5h30 le taxi de ramassage est ponctuel, passage du contrôle sanitaire facile, ils n’ouvrant pas les sacs

4 touristes avaient loupé l’heure, une lancha les amène à bord nous sommes à 2kms du point de  départ

8 h débarquement avec nos sacs on n’a pas envie de trop prendre de temps à chercher un hôtel,

Lirio del Mar 30 $ la double grande chambre  sans eau chaude il fait très chaud on s’en passera

Nous avons rencontré des drômois ils sont à SALINAS en face pour 35 $

 

Ptit dej sur le port, installation P.M nous nous dirigeons vers GRIETAS une marche de 30 mn parfois un peu difficile dans un chaos de laves, au passage une petiote saline,

Griétas est une petite combe de 8.50  de haut maximum, les guides disent aux touristes que cela fait 14 M tout ce qui double en perd pas, surtout que des gamins et qq adultes plongent du sommet de la combe,

Cette combe (7 m de profond aux dires des guides) est alimentée par la mer et de l’eau de ruissellement, pour ces deux raisons il n’y a pas d’algues bien que l’eau soit stagnante

Il y fait bon, nous sommes sous l’Equateur à0.99° prés et le soleil est brûlant, j’ai eu les bras enflés pendant deux jours sans m’exposer au soleil, les gens se plaignaient du soleil trop brûlant avec seulement 32/34° maxi

 

 

Au retour on acheté un tour pour l’île SANTA MARIA ou Floréana, ou Chacco  60 $ par personne

On devrait voir des tortues, des oiseaux et la possibilité de faire du snorkling, départ 8 H

 

Soir dîner deux rues au dessus du Malécon les estancos mettent des tables dans la rue, on y mange le soir à partir de 8 $

 

Serge de la Drôme est quasi brûlé au pied il est allé à l’hôpital en centre ville  pour se faire soigner (gratos) une pommade miracle à base de plantes pour désinfecter

 

Au passage l’agence nous avise que le départ est avancé à 7 h, une sizaine de «  chicas argentine » la «  bombicha »  à la main (suçote du maté-coca avec un récipient et une pipette particularité de l’Argentine et de l’Uruguay), donc ces chicas pures touristes veulent faire plus de plage

 

31 JANVIER

 

Départ 7 h temps couvert, la pluie nous prend en route, 2 heures de traversée, à l’arrivée accueillis par une armée d’Iguanes, puis dans un camion aménagé avec des banquettes nous montons jusqu’à la réservez de tortues P1060811.JPG

 

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                                           TORTUE MARINE PRISE FACE : DE DOS 

 

Ici c’est plus naturel on marche dans le bush au milieu des tortues

Le guide explique comment les tortues se reproduisent, les chicas boivent  ses paroles et ne sont pas avares de questions pernicieuses

Il tombe beaucoup d’eau nous sommes les seuls à avoir des plastiques pour se protéger, ici comme en Asie  il faut toujours prévoir une averse

Nous visitons également deux petites grottes 2 x 2 ou ont vécus les premiers immigrants Allemands un couple et trois enfants, un de leur descendant vit encore sur l’île et y tiens une auberge

Le guide raconte aussi l’histoire d’une allemande qui se disait baronne, qui était arrivée sur l’^le avec 3 amants, elle disparut avec l’un d’eux, il n’y a jamais eu d’explication à cette disparition

(Vous pouvez trouvez les récits de ces deux histoires sur Wiki, je n’ai pas la possibilité d’insérer le lien

 

Le père de la première famille a également sculpté sur un rocher conique une tête rappelant les sculptures de l’Ile de Pâques à qqn 4000 kms d’ici

 

Midi resto un plat unique, puis le guide veut nous emmener sur la plage bien qu’il continue de bruiner, qqn chicas se portent volontaires, nous boirons un café en attendant

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                                                                                    HERON

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                                                               ELEGANT ECHASSIER

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                                                                            FREGATE

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                                                    LIONS DE MER         SEAL

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                                 OISEAU A PATTES BLEUES PHOTO PRISE A + 60 M

 

 

Puis retour sur le bateau pour snorkling, sur 15 personnes seules 6 plongent avec le guide, il n’y a pas grand-chose à voir qq raies  et l’eau et froide

20 mn et la séance est terminée tout le monde rentre à bord, au retour nous montons sur le petit pont supérieur avec le « cap’tain »  ce qui nous permet d’apercevoir 2 tortues marines

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                                                                   CANARI

 

1° Février

 Grasse matinée, discussion avec un couple de « bulgares » super marrants, ils vivent à Chicago, elle est gérante d’une entreprise de transport, lui est resté assez nébuleux sur son job, ils veulent acheter une maison en France et m’ont demandé quelles régions se prêtent le plus à un investissement bon marché, P1060864.JPG

Nous partons à « TORTUGA BAIE » une immense plage de sable fin où pullulent les iguanes qui se baladent autour des touristes, plus loin il y a une plage où on peut se mettre à l’ombre d’une mangrove sèche,

TORTUGA BAY

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P1060879.JPG                                                      AUTRE ESPECE PINSON DE DARWIN 

                        CHAQUE ESPECE A UNE ARTICULATION DU BEC DIFFERENTE

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Ce qui n’empêche qu’en restant moins d’une heure dans l’eau, on se ram&se un coup de soleil

Pour aller sur cette plage il faut s »enregistrer (entrée et sortie au poste de garde) après 18 h l’accès est fermé pour empêcher les touristes de venir déranger les tortues marines qui viendraient sur la plage pour pondre ou s’ébattreP1060884.JPG

                                                                        RAIE ENVIRON 80 CM

 

 

 

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                                                    CRABE ROUGE DES GALAPAGOS

P.M visite du Centrer Darwin, où nous avons l’explication des différentes espèces de tortues : en fait il ne s =’agit que d’une différence de carapaces, selon que les tortues trouvent leur alimentation au niveau du sol ou plus élevé comme des feuilles sur des branchages ou sur des chaos volcaniques, l’orifice de l’ouverture de l’avant , passage de la tête l’orifice est moins haut si l’alimentation se trouve à ra&s le sol , ou beaucoup plus ouvert si elles doivent tendre leur cou pour attraper l’herbage ou le feuillage, les tortues ont un très long cou environ 50cm

 

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                                                                 LONG COU DE LA TORTUE

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                                                                             IGUANE TERRESTRE

 

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        A REMARQUER LA DIFFERENCE OUVERTURE AVANT HAUT POUR FEUILLAGE

Et enfin j’ai pu faire un cliché d’un canari (se baignant) il est extrêmement difficile de les prendre en photos ils ne tiennent pas deux seconde à la même place

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Voilà notre séjour aux Galápagos se termine ici il aurait fallu prévoir une bonne quinzaine ce qui nous aurait permis de passer deux jours sur Florian ou l’on peut faire plein de ballade, car sur cette île il y a énormément de parties quasiment planes, ainsi que suer Santa Cruz ou nous avons découvert que nous aurions pu nous balader à l’intérieur en utilisant le bus local alors que hôtel, Agences, Office du tourisme tout le monde dit qu’il faut prendre des taxis à chaque fois 30 40 $

 

Nous avons rencontré deux personnes satisfaites des agences, un française de Barcelone qui a plongé avec des requins, muraines, et nombreux poissons, plongée à – 18 m, et une hollandaise qui a vu oiseaux, requins etc  lors d’une croisière

 

Aujourd’hui beaucoup de touristes viennent « en vacances en famille » aux Galápagos pour 15 jours voir 3 semaines pour certains, les plus sportifs économisent pour s’offrir 2 / 3 plongées à 150/160 $

                                                                                                                                                      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 00:53

17 JANVIER 2012

 

Tout d’abord  hommage à l’ami Guy qui s’est levé à 3h du matin pour nous déposer à l’aéroport de Saint Ex

Départ à 4 H de la maison, arrivée 5 mn avant l’ouverture des guichets d’embarquement ou nous n’avons aucun problème pour avoir deux places couloirs pour pouvoir allonger les gambettes

 

Embarquement comme prévu dans l’avion puis plus rien ne se passe, silence radio, après une demi heure d’attente message de l’hôtesse : l’avion est couvert de givre on attend le camion pour dégivrer empennage aile et cockpit

Effectivement arrive un camion nacelle équipé pour projeter un produit dégivrant sur les parties givrées, il fait  - 4° est le temps est brumeux

7h 45 l’avion gagne la piste d’envol et décollage sans problème, vol tranquille jusqu'à Madrid

 

C’est en 2006 2007 que nous étions passés par Madrid avec Ibéria, on ne peut pas dire qu’IBERIA soit à la pointe du service rendu à la clientèle ou pour l’application des consignes de sécurité,

L’aéroport était en travaux et nous étions transportés en bus entre les 2 terminaux, aujourd’hui il existe une navette métro souterrain genre ligne 13 de la RATP ; il faut tout de même 28 mn pour rejoindre les deux terminaux entre traversée des terminaux et transport navette

 

Madrid seul aéroport à ma connaissance à avoir de la couleur dans son architecture, les poteaux métalliques soutenant la toiture sont peints en dégradés aux couleurs de l’arc en ciel, en commençant par le bleu pour terminer au rouge, tellement habitué à avoir des aéroports gris ou blancs

 

Décollage avec 30 mn de retard et vol sans encombre jusqu’à Quito, après 11h d’avion, j’avais calculé 10 H mais il y a 6 h je croyais que c’était 5

 

Nourriture à bord on a souvent vu mieux les hôtesses ne sortent surement pas d’une école de mannequins

 

Passage en douane sans problème, pour avoir un caddy on nous demande 2 $ pour faire 20 m

Taxi pour le centre ville 8$ environ  pour 40 mn de trajets, l’aéroport est en pleine ville mais QUITO est tout en longueur dans une étroite vallée

 

Un nouvel aéroport devait ouvrir en 2010 mais il est toujours en construction

 

Hôtel backpacker’s inn 24 $ la double sans p’tit dej, accueil sympa

 

Mal des montagnes

Quito est à 2850 m d’altitude et c’est vrai qu’on se sent oppressé lez moindre mouvement inhabituel demande un gros effort, heureusement nous avons le médoc nécessaire pour compenser

 

A 20 heures locales (nouais sommes debout depuis 23 h) nous sommes au lit

PUBLICITE LOCALE  PENDANT L ARRET AU FEU ROUGE 

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18 Janvier

 

Réveillé depuis 4 h du matin, Ptit dej à l’hôtel pour 2 $, puis nous partons pour la vieille ville, mais erreur d’orientation comme d’hab nous nous retrouvons en parallèle du circuit que nous devions faire, retour au point de départ

La ville coloniale de QUITO est beaucoup moins attrayante sue celles de ses voisins andins que sont Lima au Pérou et Lapaz en Bolivie, c’est tout de même intéressante à visiter, une grande cathédrale néo gothique, mais qui est vides sur les bas côtés pas de chapelle aux emplacements réservés P1060315.JPG

 

  PROTECTION DE LA FEMME INDIGENE

A midi Esquina Esmeraldas et Vargas un petit resto sert l’almuerzo : menu du jour pour 3$ ceux sont des petits troquets qui servent le ‘désajuno » p’tit dej et le repas de midi, c’est fermé partir de 16h

Nous terminons par «  l’Iglésia de la compania de Jésus » superbe église de typo espagnole tout rend dorure les éclairages sont parfaits, c’est  réellement magnifique, une des plus belles églises que nous ayons vu en Amérique du Sud

Finesse à l’attention des touristes : un miroir est positionné à la croisée du transept ce qui permet de voir  le cintre de la nef centrale ainsi que le plafond de la demi coupole au dessus de l’autel, les ors rutilent de partout c’est extraordinaire de mise en scène

Cela produit le même effet que le miroir du parking souterrain des Célestins à Lyon

Par contre la visite de toutes les églises majeures sont payantes, pour nous « JUBILADOS » (retraités) de plus de 65 ans nous payons demi tarif comme les locaux : bon point pour les Equatoriens

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CIREURS DE RUE

 

 

 

 CHAUFFEUR ASSASSINE

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 Nous prenons le chemin du retour qq gouttes commencent à tomber puis de plus en plus en grosses, un violent orage éclate, on bâche et continuons le retour, ça dégringole de plus en plus, nous sommes contraints de nous arrêter sous un porche ça tonne de tous les côtés puis 5 mn de grêle c’est le pompon, les taxis sont pleins ou ne s’arrêtent pas

Nous profitons d’une accalmie pour reprendre notre marche, nous arrivons les pieds comme dans un bateau lavoir, on fera tout sécher au sèche cheveux et avec ce qu’il nous restait du Canard enchaîné

 

Je pense que nous serons amenés à repasser une ou deux fois par Quito, nous en profiterons pour finir la visite de la ville notamment le musée d’un ancien hôpital

 

19 Janvier

 

Debout 6 h nous partons plus au Nord à Otavalo

P’tit dej dans la chambre où nous avons fait chauffer l’eau pour le thé grâce à « la bite chauffant » : thermoplongeur pour les scientifiques et le quart de l’armée qui sert de gamelle, petit pains acheté au supermercado et miel en bouteille accompagné de plaquette de fromage

 

Taxi à 7 h 30       pour la gare routiére 35 mn de trajet pour 7 $

 

Les gares routières en Amérique du Sud

En Amérique du Sud et parfois en Asie, aucun bus de lignes extérieures ne pénètrent dans les centres ville, pour exemple à Buenos Aires la gare routière comprend pas moins de 150 quais d’embarquement et autant sinon plus de parkings, même en Papouasie Nouvelle Guinée les minis bus des lignes extérieures ne pénètrent pas en ville

A Quito  la ville est tout en longueur, il y a deux gares routières que les gens regagnent en taxi ou en bus urbain; dans les gares suivants les agglomérations on trouve des petits restos, qq magasin

On ferait bien d’en prendre un peu de la graine en France et à Lyon en particulier ou de nombreux stationnent un peu partout, et n’appelons pas la gare routière de la Part Dieu une gare

 

Le bus emprunte la «  PANAMERICAINE » épine dorsale du réseau routier américain (Nord centre Sud) la « paname » comme on dit  est parfois à Péage actuellement des travaux en cours  pour la transformer en voie de type autoroutier

De 2850 m la route descend à 1900 m puis remonte sur le haut plateau d’Otavalo à 2500m

Pour la respiration il y a un léger mieux P1060397.JPG

 

Nous retrouvons la population de type andin qui manquait à Quito, les «  indiennes » portent de longs saris enroulés, un chemisier en dentelle brodée, et un collier de plusieurs rangées en or 50%

Avec chapeau ou serviette posés sur la tête à la manière «  KMONG »

Les »Indiens, portent un pantalon noir, chemise et ont les cheveux longs tressés, une grande natte pouvant aller jusqu’à 40 cm 

                                                                                                      ENTREE ECOLE SANS TAG     

 

Ceux ne sont pas les hôtels qui manquent, d’autant qu’un célèbre marché attire les touristes, c’est pour cela que nous arrivons 48 h en avance pour être sur d’avoir de la place dans les hôtels, pour le moment il y a des touristes mais pas des centaines attendons samedi

 

L a gare routière est à l’extérieur et nous avons du faire presque 1 km sac à dos ce qui a permis à Boubou d’étrenner son nouveau compagnon de voyage, ça n’a pas été facile mais moins pénible qu’avec le précédent

Boubou attend devant un p’tit noir pendant que je pars à la recherche d’une chambre

Hôtel Samay inn esquina Caldéron Bolivar 17$ la double eau chaude toute la journée patron accueillant (ressemble à Fred Mila des Compagnons de la Chanson) je négocie la possibilité d’utiliser la cuisine de sa cafétéria ou il n’y a pas un chat

 

Puis resto pour l’almuerzo esquina Bolivar Montalvo, petit resto sans non patronne accueillante, on en sort repu pour 2$

Puis visite se la ville le Mercado Artisanales où l’on trouve tout ce qui se produit dans la région, tapisserie, chapeau, bonnet, gant de laine, peinture (pas très beau) , puis le marché normal ou il y a de tout, la viande pas bien ragoutante,

Il y a également deux  super mercado généreusement achalandé

 

Arrêt dans une agence touristique locale nous demande 30 $ par personne pour visiter les villages alentours, et 35$ p/p pour faire 4 h de marche autour d’un lac

 

Arrêt à l’office du tourisme, on nous donne une carte de la région, et on peut faire la vise des villages artisanaux seuls en prenant le bus (cadence des bus suivant les lignes 10 à 20mn)

 

Surpris par des demi boules marrons de la taille d’une assiette je questionne le patron, il me dit que c’est du sucre de canne, en effet au sol des boules entières d’environ 4/5 kg emballées dans des feuilles , il nous fait goûter c’est sucré pour le moindre, il me dit qu’il fait aussi de la gnole et me propose d’en gouter, il revient avec un verre , me dit que ça fait 22° que nenni ça titre au minimum 50° voir plus , je ne peux en boire que deux gorgées trop raide !!!!!!

 

Vers 16 h il pleut retour vite fait à hôtel

Il n’y a pas beaucoup de touristes, on dine dans la chambre une soupe chinoise et un yaourt, le repas de midi était très copieux et pesant ça aurait mérité une petite sieste

 

20 janvier

Nous avions décidé  de partir de bonne heure pour visiter ILUMAN QUINCHUCI PEGUCHE AGATO et la cascade de Peguche, en partant en bus d’Otavalo à Iluman et en rentrant à pied (10km)

Départ vers 7 h pour Iluman 25cts $ p/p 10 mn, il pleuvasse tant pis on bâchera

Comme dab quand on arrive dans un village le meilleur moyen d’avoir un contact c’est d’aller prendre un café,

On demande ou on peut trouver un café et l’artisan fabricant des chapeaux, le café c’est à 100 m à droite l’artisan à côté de l’église évangélique

Primo le café : dans un estaminet sympa on discute avec la serveuse pour lui demander également ou se trouve les «  shamans »

Il y a 150 shamans dûment reconnus par l’état qui procèdent à des séances d’initiation et purification

Après avoir avalé notre café la gentille serveuse nous accompagne chez une « shaman » sur la porte il y  a son numéro d’identification.

J’essaie de lui demander ce qu’elle pratique, mais la femme parle le « Quichua » et non pas le « Quechua » qui se pratique au Pérou

N’arrivant pas à se comprendre je préfère rater l’occasion de me faire purifier dommage il y avait du travail

Puis nous nous dirigeons vers l’église évangélique juste à côté notre fabricant de sombréro, une  passante pour nous venir en aide tape à la porte et appelle pour que l’on vienne nous ouvrir

Une  femme ouvre la porte nous rentrons dans une espèce de taudis les gens dorment sur des paillasses ça ressemble à des lits on est chez de pauvre gens

Les femmes travaillent pour le compte du ministère de la culture, à confectionner et maintenir la tradition de la confection de sombreros

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Chaque village  ou commune à son type de chapeau

Le travaille consiste à nettoyer la laine qui a été lavée, l’énouée, enlever les matières inadéquates (herbes excréments séchés ….) à carder la laine avec deux sortes de carde une grosse  puis une fine, alors les plaques de laine sont superposées jusqu’à 5 couches , serrées dans un linge, humidifiées, passées dans un premier four, puis rehumectées et en la trempant dans un bain contenant une sorte d’amidon, puis la mise en forme sur des gabarits particuliers à chaque village puis  les bords découpées circulairement au ciseau et « de visu comme dirait le gendarme » puis mis à sécher

Ces femmes vendent aux touristes 35$ le chapeau, ce n’est pas nos chers syndicalistes franchouillards qui feraient un tel travail, «  des crèves misères » ces braves femmes prenez en un peu de graines

 

En prenant la route de Quinchuqui nous passons devant un autre atelier de fabrication de chapeau, 3 hommes et une femme travaillent à la confection de différents chapeaux genre borsalino

Mais à la différence qu’ils achètent le cône de feutre, ils ne font que confectionner le chapeau, pour ne pas se brûler les doigts lors du repassage, ils s’entourent les dernières phalanges de scotch plastifié, lorsqu’ils repassent avec un chiffon mouillé les bords du sombrero

 

Route pour QUICHUQUI une route empierrée « pas pavée » 2 KM en côte, d’ordinaire ce n’est rien mais à cette altitude c’est beaucoup plus délicat

Le village, tous ces villages l’architecture est banale, rien d’intéressant, seul les gens et leur travail ont un intérêt

 

Apareté ici les Indiens sont très petits, les hommes mesurent 1.50/1.60 m les femmes 1.35/1.40

Il n’est pas rare de rencontrer des personnes mesurant un petit 1.20 sans pour autant être de nains

 

11 h 30 renseignement pris sur place il n’ y a pas d’almuerzo à Agato, nous descendrons  sur Peguche, au passage une femme nous interpelle et nos demande de rentrer, c’est un atelier de fabrique de flûte et flûte de pan, nous disons ne pas vouloir en acheter, l’ homme fait partie d’un groupe et nous demande d’écouter ses enregistrements c’est de la musique équatorienne moins alerte que la musique péruvienne ou bolivienne tout en restant de la musique andine, nous lui achetons un C.D 10$ alors que nous en avons acheté 2 au marché pour 3$ certainement des copies

 

13  h arrivée à Péguche almuerzo pour 2$, rencontrons un allemand qui vit ici depuis 27 ans, retourne régulièrement  chez lui et a de mauvais souvenir de ses passages dans les bouchons lyonnais (pas les restos bien sur)

Par contre il a un bon bagout «  jeunes femmes à sa table, il les fait rire ; femme qui rit à moitié dans ton lit, il y en a 3 quelle santé

 

13 h 30 un bus nous remonte à Agato pour visiter un atelier de tissage, de belles pièces mais assez cher 30 % de plus chez el sénior TAHUANTINSUYOP1060429.JPG

Nous redescendons par un petit chemin sur Peguche ou nous devrions voir du tissage, mais patatraque après 20 mn de marche orage oh désespoir !!!!, encore un orage d’une forte violence, heureusement nous sommes à 500 m d’un arrêt de bus pour rentrer à Otavalo où à l’arrivée nous attendrons à l’abri 20 bonnes minutes le temps que l’orage se calme pour rejoindre nos pénates

Profitant de porter du linge à la laverie, Boubou doit compléter son attirail de chaussures, nous avons à peine le temps d’arriver dans la rue       aux chaussures qu’un autre orage éclate ça traîne en longueur nous rentrons sous une pluie battante nous mettre au sec, une fois de plus trempé jusqu’aux os

 

C’est la saison des pluies on est dedans à fond vivement les Galápagos

 

21 Janvier

C’est donc le jour de marché toutes les rues du centre sont pleines d’étals (un étal des étaux)

Nous commençons par le marché aux bestiaux où il se vend du cochon d’IndeP1060442.JPG à la vache en passant par lapinP1060443.JPG pouleP1060444.JPGt poussin moutonP1060448.JPG porcelet porcP1060439.JPG lama

Puis le

 

 

 

 

 

P1060449.JPG  CORDES TRESSEESZ A LA MANO ET NFOIRAIL AUX VACHES           P1060454.JPG

marché traditionnel où’ on trouve de tout : vêtement, quincaillerie, chaussures, lingerie, bien entendu l’alimentaire sans oublier les bonimenteurs et de sacré menteurs qui vendent de la poudre de perlimpinpin avec photos à l’appui qui soigne le cholestérol, les allergies, la prostate, le diabète, qui rend plus valeureux

 

CA DISCUTE LE PRIX DE LA BESTIOLE

P1060467.JPGEt aussi les touristes venus en grand nombre pour voir tout ça et accessoirement les produits artisanaux

Mais mais pardessus tout ça il ne pleut pas, on voit même le sommet du volcan  IMBUBURA à 4600 m

Après midi farniente une bonne bière, la première, puis l’église il y a «  la neuvaine de Jésus » dans la 1° église les jeunes enfants de 2 à 4 ans sont d épuisés en anges, les plus grands ont des tenues de GAUCHOS, ainsi que quelques femmes d’autres ont des déguisements d’animaux

 

 P1060471.JPGCOCHON GRILLE POUR L ALMUERZO

 

La messe est animée des chansons aux rythmes endiablées (quoi le diable dans l’église) c’est assez joyeux, dans l’église quelques petits feux de Bengale, les chiens rentrent et sortent à souhait, c’est la « fiesta »

Dans la deuxième église certaines personnes arrivent avec dans les mains un lit avec l’enfant Jésus et des anges chacun ayant sa propre variante, avant la messe  sur le parvis de l’église une fanfare, d’une dizaine de musiciens endimanchés, joue des airs andins

 

  P1060477.JPGUNE ELEGANTE                                                                                                              COUPLE D INDIENS RURAUX

P1060485.JPGQUIPROQUO : depuis 2 soirs de suite nous entendons de la musique Andine d’une fanfare supposée, nous dévalons les escaliers pour aller voir de plus prés, le taulier nous demande où nous allons si vite on explique, il éclate de rire, ce n’est que le ramassage journalier des poubelles qui est signalé par la diffusion de la musique par le camion poubelle GAG

 

 

 

 

 

 

 

P1060500.JPGALMUERZO SUR LE MARCHE

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       FRESQUE PICASSOÏESQUE COTACHI

 

22 Janvier

 

Il pleuvasse nous devions aller faire une marche, vu le temps on a préféré aller à Cotcachi, bourgade réputée pour ses cuirs

Il faut 20 mn en bus  avec un arrêt à QUIBORA, d’où l’on peut en taxi ou « collectivos » rejoindre le lac autour duquel on peut faire une marche de 5 à 6 h

Arrivée à destination tous les magasins sont fermés, l’ouverture se sera à 11 H, en attendant tour de ville, super sympa, jolie, agréable très calme,

Vers 10 h 30 peu à peu les rideaux se lèvent et on peut commencer les achats dans certain magasins des produits de très haute qualité notamment chez «SACCARDI callé 10 Agusto » de superbes sac à mains, P1060527.JPG

Tout est fabriqué artisanalement on peut voir les mini ateliers dans les arrière boutiques

Beaucoup de cette fabrication est exportée en Italie «  cherchez l’erreur » 

A 13 h almuerzo puis nouvelle pluie heureusement devant chaque magasin il y a un auvent on peut donc continuer de faire les magasins à l’abri ou presque de la pluie

A 16 H il pleut toujours nous n’irons pas au lac et rentrons directement à l’hôtel

Demain nous regagnons Quito et mardi matin envol pour les Galapagos où j’espère nous aurons moins de pluie et où nous n’aurons plus de difficulté à respirer quoique ça va beaucoup mieux, on s’habitue

 

23 JANVIER

 

Lever 3 H 10 pas bien réveilolé j'avais regardé la montre à l'envers et j'avais 6 h30 , je me léve , brossage de dent et Boubou inquiète de la nuit noire regarde la montre, retour au lit pour continuer la nuit , surtout que nos voisiosns de chambre aavaient fait la fiesta jusqu'à minuit 

Départ 8 arrivée à 10 H à QUITO  

Trouvons un hôtel sympa dans le centre de la ville nouvelle là ou il y a les touristes

HÖTEL SUNRISE 

J.CALAMA E7_46y Reina Victoria  @   hostalsunrise@yahoo.com

20 $ la double avec eau chaude et cuisine

ACCUEIL SYMPA

retour à la vieille ville ou nous visitons la cathédrale particularrité double plafond dont le premier est ouvragé, ballade tranquille retour à l'hôtel à souligner la premiére journée ou nous n'avons pas mis les impers

 

 

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 12:27
Acheeeutez le programmmme
  cliquez pour ecouter la musique
ROGN2-STRASBOURG.jpgy avait pas la crise on est partii  comme ça

 P1020209.JPGla crise est arrivée, le gazole a augmenté on est revenu comme ça

un peu moins confortable, on a du vendre les bagages, le 4X4 ,

 

  j'ai essayé de solder Boubou, ça n'a pas marché

 

 

 

 

  puis on repart comme ça c'est vraiment la crise

 ou chargé comme ça!! ouille c'est lourdpapou ROGN2 jps !!!!!!!!

 

du 17 janvier au 29 mars 2012

 

En route pour le Nord Ouest de l'Amérique du Sud : Equateur

Iles Galapagos et Colombie

Nous ne partirons  pas en 4X4 comme au printemps dernier, ni en tracteur trop gourmand en gazole mais  sac à dos

COMPRESSELes préparatifs :


Achat de billets d'avions chez Nouvelles Frontiéres qui ont abusé de la credulité de Boubou qui s'est fait refourguer 140€ d'assurance alors que nous sommes assurés par nos C.B  bof !!!!!! quand on aime on compte pas

Achat des billets d'avion pour aller aux iles GALAPAGOS sur e-dream pour faire

Aller  QUITO / SAN CRISTOBAL

Retour BALANDRA / GAYAQUIL

Achat d'un quart en fer blanc de l'armée, une bite chauffante pour faire chauffer le café et les soupes chinoise

Achat de 2 Guide Lonely Planet en français pour l'Equateur et en Anglais pour la Colombie

Pourquoi Lonely Planet

Les Guide du Routard ne nous conviennent pas ( si c'était fait pour voyager ça se saurait)

Le Petit Fûté, pas si fûté que ça on se demande si le rédacteur a mis une seule fois les pieds dans le pays décrit

Achat de 2 cartes édition canadienne  "International Travel Maps" les plus fiables ( papier pas solide faut scotcherles lignes de pliage)

 

 

 Avons également changé 2000€ en US $ l'Equateur ayant abandonné depuis une dizaine d'année le "SUCRE" qui était la monaie nationale au profit du BILLET VERT si cher à l'Oncle Sam,

Pour les Lyonnais rue de la République vers le thêatre l'agent de change donne 2% de mieux si on commande  paie la devise achetée une semaine à l'avance

Pour l'Amerique du Sud il est préférable de changer € en $ en France, car souvent il y une decote "locale" parfois importante de l'euro par les "money changer"

Anecdote, qu'on aille en Asie ou aux Amériques on peut payer quasiment partout avec du dollar USA, Nous avons traversé 17 pays dans notre dernier périple dans les pays de l'Est partout on peut payer en "EURO" personnne ne voulait de dollar; il en est demême dans une partie de l'Afrique

A chacun sa zone d'influence, EURONEURASTHENIQUES sortez de votre asile....regardez la réalité en face.

 

Monique à changé de monture, un nouveau sac à dos adapté à sa morpholgie, donc plus petit,donc elle aura du mal à dépasser les 13 KGS DE CHARGE, donc va falloir faire des choix, donc qq coups de gueule avant la fermetur du sac

 

Les transports & itinéraires

Vu qu'en 2010 pour aller en Amérique Centrale il nous avait fallu 3 Jours pour arriver à destination ( neige ), nous avons prévu à l'arrivée de rester 2 jours à Quito , capitale de l'Ecuador, puis passer 4 jours autour du marché d'Otovallo à 100 km, ainsi s'il y a retards gréves chutes de neige, nous disposerons d'une semaine tampon, pour pouvoir prendre l'avion pour les Galapagos sans problème

 

On fera calme pour s'adapter à l'altitude (vu que Boubou s'était retrouvée les " 4 fers en l'air " l'après midi de notre arrivée à Cuzco 3400 m au Perou) du fait de l'altitude, un verre de matté coca ( non! non!... pas du coca cola de la coke comme tout le monde) lui avait permis de retrouver l'équilibre pour rentrer à l'hôtel pas chauffé 24 H alitée  pour reprendre souffle)

 Retour à Quito ( bus local) pour prendre l'avion direction l'ile de San Cristobal d'où nous rejoindrons les différentes petites îles par les navettes locales " barcas"  puis retour sur le continent depuis   l'île de Santa Cruz

 

Après 9 jours au Galapagos nous prendrons un avion pour Gayaquil sur la côte Pacifique et de là nous remonterons progressivement en ALTITUDE,  pour bien s'acclimater dans, la Cordilléres des Andes puis.......................

 

Voilà vous n'en saurez pas plus, car nous n'en savons pas plus nous même aujourd'hui ni demain d'ailleurs

Le programme se fera à l'avancement au feeling comme dab 

Je vous donne quand même une info..................

Nous allons depuis Gayaquil remonter  lentement dans la Cordilléres de Andes, puis nous obliquerons à l'Est pour rejoindre l' Amazonie équatorienne

Nous regagnerons la province de Carchi il y a deux routes une qui longe la frontière l'autre consiste à repasser par Quito on verra sur place suivant les informations recueillis auprès des voyageurs rencontrés

Franchissement de la frontiére à côté de Tulcan il nous retera environ 1 mois pour parcourir le pays qui porte le nom du célébre navigateur Christophe Colomb nom donné par El Libertador  Simón Bolívar 

  Nous décollerons de Bogota pour retrouver rapidement la saveur et le moelleux d'une  bonne tête de veau Lyonnaise au premier bouchon venu sur la route du retour

 

EQUATEUR


carte-ecuador.gif

 

      Carte origine site ambassade de France

 

Hymne national équatorien

Cliquez hymne national
Signification du drapeau

les couleurs des 3 pays Equateur Colombie Venezuela sont identiques

Adoptées vers 1800 par les colonies espagnoles en lutte pour l'indépendance sous la férule de SIMON BOLIVAR eL Libertador .
Le jaune évoque le soleil et les richesses naturelles,

Le bleu la mer et le ciel

Le rouge le sang versé pour la défense de la patrie. 
L'écu des armes de l'Etat,

Signes zodiacaux correspondent aux mois de mars, avril, mai et juin de 1845, année où l'Equateur prit les armes pour l'indépendance

Le mont Chimborazo: point culminant du pays

Le navire représente le commerce.

Le condor symbolise l'indépendance.

Le faisceau les institutions républicaines. 


Nom                        REPUBLIQUE DE L'EQUATEUR // REPUBLICA DEL EQUADADOR
Continent                 AMERIQUE DU SUD
Capitale Quito          +2.500.000 hab. // Altitude 2850m
Superficie                283 560 km² 

Population               + 15.000.000 hab Equatorien, ne

Langue Officielle      Espagnol. Quichua d’Equateur dialectes indiens

Monnaie                 Dollar US = 100 Cents (2000) avant SUCRE

Religion                  Catholique romaine

Pays Frontaliers      Colombie, Pérou. 

Devise                    Dios Patria Libertad  Dieu Patrie Liberté

 

Conseil Ministéres des affaires étrangéres

 

Activité volcanique 
Le volcan Tungurahua (5023 m), situé 140 km au sud de Quito, est rentré en forte éruption dans la nuit du 27 au 28 novembre 2011. Ce phénomène éruptif est accompagné d’explosions, de coulées de laves, d’éjections de roches incandescentes et de chutes de cendres. Il est donc recommandé d’éviter ou de quitter la ville touristique de Banos située sur les flancs du volcan.

Rage 
Suite au décès, en décembre 2011, de douze personnes victimes de morsures mortelles de chauves-sourisatteintes de la rage, il convient d’éviter le province amazonienne de Morona Santiago située au sud-est de l’Equateur et en particulier le village de Taisha.

 

Je suis tranquille j'ai les cheveux rasés de prés, il paraît que les chiroptéres adorent se faire les griffes dans les  blondes chevelures

 

 

Iles Galapagos

                               carte.iles.galapagos.equate.jpg

 

   origine carte Vu

  Les iles Galapagos sont aussi appelées : Archipel de Colon

Découvertes par les Conquistadors Espagnols en 1535, ces îles étaient inhabitées , jusqu’au milieu du XIX° siècle, elles servaient de repéres aux pirates brigands et autres boucaniers

Rattachées à l’EQUATEUR depuis 1832 .Ces iles sont situées à seulement 965 km des côtes

 sud-américaines dans l’Océan Pacifique Est à la latitude de l’équateur : 0° 30′ S 90° 36′ W

 

L’archipel est composé de 48 îles, les principales étant :

île Isabelaîle Santa Cruzîle San Cristóbalîle Santiagoîle Fernandina

 

En 1835, Charles Darwin, naturaliste britannique, y étudie la diversité des espèces locales. Il publie à partir de ses observations sa fameuse étude sur l'évolution et la sélection naturelle en 1859

 

L'archipel est officiellement devenu un parc national en 1959.

 

Ces iles sont situées à la jonction d’une triple zone de fracture , bonjour Richter.tu mets ton échelle au rencard qq jours ,le temps que nous passions tranquillé  merci M'sieur Richter

 

Galapagos_Plate_map-fr.png

origine Wikipédia

Les îles Galápagos comptent de nombreux volcans :

île Fernandina : La Cumbre (1 476 m) ;

      lîle Floreana : Cerro Pajas (640 m), Cerro Alieri (340 m) ;

'île Isabela : Wolf (1 707 m), Alcedo (1 130 m), Cerro Azul (1 640 m), Darwin (1 330 m),Sierra Negra (1 124 m), Ecuador (790 m) ;

lle Santa Cruz : Cerro Crocker (864 m), Los Gemelos ;

       île San Cristóbal : Cerro San Joaquin (730 m), Cerro BrujoCerro Tijeretas ;

 île Santiago : Cerro Pelado (907 m) ;

îlots volcaniques : île Baltraîle Bartoloméîle Darwinîle Españolaîle Genovesaîle Marchena,île Pintaîle Pinzónîle Rábidaîle Santa Féîle Wolf.

 

 

 

Population

Les principales îles habitées sont Isabella +1800 hab, San Cristobal +6200 hab, Santa Cruz + 11300 hab environ 20.000 hab peuples ces ilôts

 

La Faune et la Flore

terrestre

La faune est unique dans le parc national des Galápagos, chaque île renferme sa faune spécifique. L'archipel abrite 58 espèces d'oiseaux dont 28 sont endémiques, des variétés de reptiles uniques, dont les tortues géantes ou les iguanes terrestres et les iguanes marins.

 

marine

La réserve marine des Galápagos, est également exceptionnelle de diversité, comprenant, outre l'iguane marin, près de 300 espèces de poissons (dont des requins des Galapagos), des petits mammifères (otarie des Galapagosotarie à fourrure) et des cétacés (baleine à bosse notamment).

 

Flore

Les zones côtières sont peuplées de plantes tolérant des taux élevés de salinité : palétuviers,pourpiersmyrtes et autres espèces aquatiques.

Au dessus est la zone aride, peuplée principalement de cactées (figuier de BarbarieCierge du Pérou) et de lichens.

La zone humide d'altitude s'étend entre 200 et 500 mètres d'altitude. Les robiniers, les goyaviers la passiflore et les lichens y prospèrent.

 Au dessus, la zone du miconia (une espèce invasive) est la principale zone de pâture et de culture (café, légumes, oranges et ananas) sur les îles habitées. Herbes et fougères se disputent le dernier étage, notamment la fougère arborescente des Galápagos, qui peut atteindre 3 mètres de haut.

Parmi les 875 espèces de plantes recensées sur les îles, 228 sont endémiques, mais toutes sont originaires du continent sud-américain et se sont adaptées à l'environnement de l'archipel.

bibliographie photo Wikipédia lonely planet
COLOMBIE

 

                                                              Drapeau de la Colombie

 

  Il existe plusieurs significations de l’interprétation des couleurs de la
                                                           « BANDERA » 

cliquez pour la musique colombienne

 La 1° date de 1819

Le Jaune pour exprimer aux peuples notre désir et notre amour de la fèdèration

Le bleu pour montrer la séparation de l’Espagne par un Océan

Le Rouge pour symboliser le sang versé par les patriotes lors des combats pour l’indépendance

La 2°

Le jaune et le rouge ont été empruntés au drapeau espagnole

Le bleu la couleur de la mer symbolise la séparation de l’Espagne

La 3°

Le choix des couleurs se rattache aux armoiries que l’Espagne accorda à Christophe Colomb

La 4° actuelle

Le jaune symbolise les grandes richesses naturelles de la Colombie

Le bleu le ciel et les mers

Le rouge le sang versé des héros de la nation

bibliographie colombia-sa ;org

                                                                                              source encarta

 

 carte_geographique_colombie.gif

 

Nom                           République de Colombie //  Répùblica de Colombia

Continent                   Amérique du Sud

Capitale                     Bogota  11.000.000 hab  Altitude 2640 m

Superficie                  1.141.748 km2

Population                 46.000.000 hab colombien/ne

Langue Officielle        Espagnole , 65 langues indigènes et deux créoles

Monnaie                    Peso colombien (COP) 1.00 € = 2.395 COP  ( 0I .2012)

Religion                     Catholique romaine 93%

Pays Frontaliers         Equateur, Venezuela, Bresil

Mers                         Océan Atlatique (caraïbes) et Océan Pacifique

                                 seul pays d’Amérique latine à être bordé par deux mers

Devise                       Libertad y Orden // Liberté et Ordre


Conseil Ministéres des affaires étrangéres


Malgré une amélioration sensible des conditions générales de sécurité dans le pays au cours des années récentes, la Colombie demeure l’un des Etats où la violence est la plus élevée au monde. En effet, si la violence du fait des groupes armés illégaux s’est fortement réduite, la criminalité de droit commun et la délinquance ont tendance à s’accroître, particulièrement dans les grands centres urbains comme Bogota, Medellin ou Cali. Trois ressortissants français ont été victimes d’homicides en 2009. Il convient donc de demeurer vigilant et prudent, y compris dans les zones réputées sûres.
A la suite de l’intensification des opérations armées entre la guerilla et l’armée colombienne, il est strictement déconseillé de pénétrer dans une zone de 100 kilomètres autour de la jonction des départements du Valle del Cauca, du Cauca, de Tolima et de Huila. Au-delà des indications figurant plus bas dans cette fiche, il est vivement conseillé de se renseigner avant d’entreprendre tout déplacement routier en dehors de la ville de Popayan.

Bon! bon! bon! ça ne peut pas être plus pire qu'au Guatémala

NOTA

Il faut bien entendu prendre en compte ce que dit le ministére mais, jeunes et moins jeunes, prudents ou intrépides, d'aucuns constatent que le "MINISTERE" ouvre trop grand le parapluie de sorte que très peu de personnes parmi les gens habitués aux voyages ( et non pas les gens du voyage ) en soltaire  suivent ces recommmandations                                                                                      C'est dommage le ministére devarit coller au plus prés du terrain et donner des informations fiables                                Si nous avions suivi à la lette les recommandations ministérielles, je pense que j'aurais probablement agrandi mon potager et aurai ravi la couronne de "maître jardinier " de mon ami "Grincheux"

A  :l'atttention de ceusses de la génération des TEPPAZ et autres TANSISTORS :si vous pointez la souris sur les écrits en bleu ou de couleurs et qu'apparait un surlignage , il s'agit d'un lien cliquez et vous en saurez plus sur le sujet

17 JANVIER 2012

 

Tout d’abord  hommage à l’ami Guy qui s’est levé à 3h du matin pour nous déposer à l’aéroport de Saint Ex

Départ à 4 H de la maison, arrivée 5 mn avant l’ouverture des guichets d’embarquement ou nous n’avons aucun problème pour avoir deux places couloirs pour pouvoir allonger les gambettes

 

Embarquement comme prévu dans l’avion puis plus rien ne se passe, silence radio, après une demi heure d’attente message de l’hôtesse : l’avion est couvert de givre on attend le camion pour dégivrer empennage aile et cockpit

Effectivement arrive un camion nacelle équipé pour projeter un produit dégivrant sur les parties givrées, il fait  - 4° est le temps est brumeux

7h 45 l’avion gagne la piste d’envol et décollage sans problème, vol tranquille jusqu'à Madrid

 

C’est en 2006 2007 que nous étions passés par Madrid avec Ibéria, on ne peut pas dire qu’IBERIA soit à la pointe du service rendu à la clientèle ou pour l’application des consignes de sécurité,

L’aéroport était en travaux et nous étions transportés en bus entre les 2 terminaux, aujourd’hui il existe une navette métro souterrain genre ligne 13 de la RATP ; il faut tout de même 28 mn pour rejoindre les deux terminaux entre traversée des terminaux et transport navette

 

Madrid seul aéroport à ma connaissance à avoir de la couleur dans son architecture, les poteaux métalliques soutenant la toiture sont peints en dégradés aux couleurs de l’arc en ciel, en commençant par le bleu pour terminer au rouge, tellement habitué à avoir des aéroports gris ou blancs

 

Décollage avec 30 mn de retard et vol sans encombre jusqu’à Quito, après 11h d’avion, j’avais calculé 10 H mais il y a 6 h je croyais que c’était 5

 

Nourriture à bord on a souvent vu mieux les hôtesses ne sortent surement pas d’une école de mannequins

 

Passage en douane sans problème, pour avoir un caddy on nous demande 2 $ pour faire 20 m

Taxi pour le centre ville 8$ environ  pour 40 mn de trajets, l’aéroport est en pleine ville mais QUITO est tout en longueur dans une étroite vallée

 

Un nouvel aéroport devait ouvrir en 2010 mais il est toujours en construction

 

Hôtel backpacker’s inn 24 $ la double sans p’tit dej, accueil sympa

 

Mal des montagnes

Quito est à 2850 m d’altitude et c’est vrai qu’on se sent oppressé lez moindre mouvement inhabituel demande un gros effort, heureusement nous avons le médoc nécessaire pour compenser

 

A 20 heures locales (nouais sommes debout depuis 23 h) nous sommes au lit

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18 Janvier

 

Réveillé depuis 4 h du matin, Ptit dej à l’hôtel pour 2 $, puis nous partons pour la vieille ville, mais erreur d’orientation comme d’hab nous nous retrouvons en parallèle du circuit que nous devions faire, retour au point de départ

La ville coloniale de QUITO est beaucoup moins attrayante sue celles de ses voisins andins que sont Lima au Pérou et Lapaz en Bolivie, c’est tout de même intéressante à visiter, une grande cathédrale néo gothique, mais qui est vides sur les bas côtés pas de chapelle aux emplacements réservés P1060315.JPG

 

  PROTECTION DE LA FEMME INDIGENE

A midi Esquina Esmeraldas et Vargas un petit resto sert l’almuerzo : menu du jour pour 3$ ceux sont des petits troquets qui servent le ‘désajuno » p’tit dej et le repas de midi, c’est fermé partir de 16h

Nous terminons par «  l’Iglésia de la compania de Jésus » superbe église de typo espagnole tout rend dorure les éclairages sont parfaits, c’est  réellement magnifique, une des plus belles églises que nous ayons vu en Amérique du Sud

Finesse à l’attention des touristes : un miroir est positionné à la croisée du transept ce qui permet de voir  le cintre de la nef centrale ainsi que le plafond de la demi coupole au dessus de l’autel, les ors rutilent de partout c’est extraordinaire de mise en scène

Cela produit le même effet que le miroir du parking souterrain des Célestins à Lyon

Par contre la visite de toutes les églises majeures sont payantes, pour nous « JUBILADOS » (retraités) de plus de 65 ans nous payons demi tarif comme les locaux : bon point pour les Equatoriens

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CIREURS DE RUE

 

 

 

 CHAUFFEUR ASSASSINE

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 Nous prenons le chemin du retour qq gouttes commencent à tomber puis de plus en plus en grosses, un violent orage éclate, on bâche et continuons le retour, ça dégringole de plus en plus, nous sommes contraints de nous arrêter sous un porche ça tonne de tous les côtés puis 5 mn de grêle c’est le pompon, les taxis sont pleins ou ne s’arrêtent pas

Nous profitons d’une accalmie pour reprendre notre marche, nous arrivons les pieds comme dans un bateau lavoir, on fera tout sécher au sèche cheveux et avec ce qu’il nous restait du Canard enchaîné

 

Je pense que nous serons amenés à repasser une ou deux fois par Quito, nous en profiterons pour finir la visite de la ville notamment le musée d’un ancien hôpital

 

19 Janvier

 

Debout 6 h nous partons plus au Nord à Otavalo

P’tit dej dans la chambre où nous avons fait chauffer l’eau pour le thé grâce à « la bite chauffant » : thermoplongeur pour les scientifiques et le quart de l’armée qui sert de gamelle, petit pains acheté au supermercado et miel en bouteille accompagné de plaquette de fromage

 

Taxi à 7 h 30       pour la gare routiére 35 mn de trajet pour 7 $

 

Les gares routières en Amérique du Sud

En Amérique du Sud et parfois en Asie, aucun bus de lignes extérieures ne pénètrent dans les centres ville, pour exemple à Buenos Aires la gare routière comprend pas moins de 150 quais d’embarquement et autant sinon plus de parkings, même en Papouasie Nouvelle Guinée les minis bus des lignes extérieures ne pénètrent pas en ville

A Quito  la ville est tout en longueur, il y a deux gares routières que les gens regagnent en taxi ou en bus urbain; dans les gares suivants les agglomérations on trouve des petits restos, qq magasin

On ferait bien d’en prendre un peu de la graine en France et à Lyon en particulier ou de nombreux stationnent un peu partout, et n’appelons pas la gare routière de la Part Dieu une gare

 

Le bus emprunte la «  PANAMERICAINE » épine dorsale du réseau routier américain (Nord centre Sud) la « paname » comme on dit  est parfois à Péage actuellement des travaux en cours  pour la transformer en voie de type autoroutier

De 2850 m la route descend à 1900 m puis remonte sur le haut plateau d’Otavalo à 2500m

Pour la respiration il y a un léger mieux P1060397.JPG

 

Nous retrouvons la population de type andin qui manquait à Quito, les «  indiennes » portent de longs saris enroulés, un chemisier en dentelle brodée, et un collier de plusieurs rangées en or 50%

Avec chapeau ou serviette posés sur la tête à la manière «  KMONG »

Les »Indiens, portent un pantalon noir, chemise et ont les cheveux longs tressés, une grande natte pouvant aller jusqu’à 40 cm 

                                                                                                      ENTREE ECOLE SANS TAG     

 

Ceux ne sont pas les hôtels qui manquent, d’autant qu’un célèbre marché attire les touristes, c’est pour cela que nous arrivons 48 h en avance pour être sur d’avoir de la place dans les hôtels, pour le moment il y a des touristes mais pas des centaines attendons samedi

 

L a gare routière est à l’extérieur et nous avons du faire presque 1 km sac à dos ce qui a permis à Boubou d’étrenner son nouveau compagnon de voyage, ça n’a pas été facile mais moins pénible qu’avec le précédent

Boubou attend devant un p’tit noir pendant que je pars à la recherche d’une chambre

Hôtel Samay inn esquina Caldéron Bolivar 17$ la double eau chaude toute la journée patron accueillant (ressemble à Fred Mila des Compagnons de la Chanson) je négocie la possibilité d’utiliser la cuisine de sa cafétéria ou il n’y a pas un chat

 

Puis resto pour l’almuerzo esquina Bolivar Montalvo, petit resto sans non patronne accueillante, on en sort repu pour 2$

Puis visite se la ville le Mercado Artisanales où l’on trouve tout ce qui se produit dans la région, tapisserie, chapeau, bonnet, gant de laine, peinture (pas très beau) , puis le marché normal ou il y a de tout, la viande pas bien ragoutante,

Il y a également deux  super mercado généreusement achalandé

 

Arrêt dans une agence touristique locale nous demande 30 $ par personne pour visiter les villages alentours, et 35$ p/p pour faire 4 h de marche autour d’un lac

 

Arrêt à l’office du tourisme, on nous donne une carte de la région, et on peut faire la vise des villages artisanaux seuls en prenant le bus (cadence des bus suivant les lignes 10 à 20mn)

 

Surpris par des demi boules marrons de la taille d’une assiette je questionne le patron, il me dit que c’est du sucre de canne, en effet au sol des boules entières d’environ 4/5 kg emballées dans des feuilles , il nous fait goûter c’est sucré pour le moindre, il me dit qu’il fait aussi de la gnole et me propose d’en gouter, il revient avec un verre , me dit que ça fait 22° que nenni ça titre au minimum 50° voir plus , je ne peux en boire que deux gorgées trop raide !!!!!!

 

Vers 16 h il pleut retour vite fait à hôtel

Il n’y a pas beaucoup de touristes, on dine dans la chambre une soupe chinoise et un yaourt, le repas de midi était très copieux et pesant ça aurait mérité une petite sieste

 

20 janvier

Nous avions décidé  de partir de bonne heure pour visiter ILUMAN QUINCHUCI PEGUCHE AGATO et la cascade de Peguche, en partant en bus d’Otavalo à Iluman et en rentrant à pied (10km)

Départ vers 7 h pour Iluman 25cts $ p/p 10 mn, il pleuvasse tant pis on bâchera

Comme dab quand on arrive dans un village le meilleur moyen d’avoir un contact c’est d’aller prendre un café,

On demande ou on peut trouver un café et l’artisan fabricant des chapeaux, le café c’est à 100 m à droite l’artisan à côté de l’église évangélique

Primo le café : dans un estaminet sympa on discute avec la serveuse pour lui demander également ou se trouve les «  shamans »

Il y a 150 shamans dûment reconnus par l’état qui procèdent à des séances d’initiation et purification

Après avoir avalé notre café la gentille serveuse nous accompagne chez une « shaman » sur la porte il y  a son numéro d’identification.

J’essaie de lui demander ce qu’elle pratique, mais la femme parle le « Quichua » et non pas le « Quechua » qui se pratique au Pérou

N’arrivant pas à se comprendre je préfère rater l’occasion de me faire purifier dommage il y avait du travail

Puis nous nous dirigeons vers l’église évangélique juste à côté notre fabricant de sombréro, une  passante pour nous venir en aide tape à la porte et appelle pour que l’on vienne nous ouvrir

Une  femme ouvre la porte nous rentrons dans une espèce de taudis les gens dorment sur des paillasses ça ressemble à des lits on est chez de pauvre gens

Les femmes travaillent pour le compte du ministère de la culture, à confectionner et maintenir la tradition de la confection de sombreros

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Chaque village  ou commune à son type de chapeau

Le travaille consiste à nettoyer la laine qui a été lavée, l’énouée, enlever les matières inadéquates (herbes excréments séchés ….) à carder la laine avec deux sortes de carde une grosse  puis une fine, alors les plaques de laine sont superposées jusqu’à 5 couches , serrées dans un linge, humidifiées, passées dans un premier four, puis rehumectées et en la trempant dans un bain contenant une sorte d’amidon, puis la mise en forme sur des gabarits particuliers à chaque village puis  les bords découpées circulairement au ciseau et « de visu comme dirait le gendarme » puis mis à sécher

Ces femmes vendent aux touristes 35$ le chapeau, ce n’est pas nos chers syndicalistes franchouillards qui feraient un tel travail, «  des crèves misères » ces braves femmes prenez en un peu de graines

 

En prenant la route de Quinchuqui nous passons devant un autre atelier de fabrication de chapeau, 3 hommes et une femme travaillent à la confection de différents chapeaux genre borsalino

Mais à la différence qu’ils achètent le cône de feutre, ils ne font que confectionner le chapeau, pour ne pas se brûler les doigts lors du repassage, ils s’entourent les dernières phalanges de scotch plastifié, lorsqu’ils repassent avec un chiffon mouillé les bords du sombrero

 

Route pour QUICHUQUI une route empierrée « pas pavée » 2 KM en côte, d’ordinaire ce n’est rien mais à cette altitude c’est beaucoup plus délicat

Le village, tous ces villages l’architecture est banale, rien d’intéressant, seul les gens et leur travail ont un intérêt

 

Apareté ici les Indiens sont très petits, les hommes mesurent 1.50/1.60 m les femmes 1.35/1.40

Il n’est pas rare de rencontrer des personnes mesurant un petit 1.20 sans pour autant être de nains

 

11 h 30 renseignement pris sur place il n’ y a pas d’almuerzo à Agato, nous descendrons  sur Peguche, au passage une femme nous interpelle et nos demande de rentrer, c’est un atelier de fabrique de flûte et flûte de pan, nous disons ne pas vouloir en acheter, l’ homme fait partie d’un groupe et nous demande d’écouter ses enregistrements c’est de la musique équatorienne moins alerte que la musique péruvienne ou bolivienne tout en restant de la musique andine, nous lui achetons un C.D 10$ alors que nous en avons acheté 2 au marché pour 3$ certainement des copies

 

13  h arrivée à Péguche almuerzo pour 2$, rencontrons un allemand qui vit ici depuis 27 ans, retourne régulièrement  chez lui et a de mauvais souvenir de ses passages dans les bouchons lyonnais (pas les restos bien sur)

Par contre il a un bon bagout «  jeunes femmes à sa table, il les fait rire ; femme qui rit à moitié dans ton lit, il y en a 3 quelle santé

 

13 h 30 un bus nous remonte à Agato pour visiter un atelier de tissage, de belles pièces mais assez cher 30 % de plus chez el sénior TAHUANTINSUYOP1060429.JPG

Nous redescendons par un petit chemin sur Peguche ou nous devrions voir du tissage, mais patatraque après 20 mn de marche orage oh désespoir !!!!, encore un orage d’une forte violence, heureusement nous sommes à 500 m d’un arrêt de bus pour rentrer à Otavalo où à l’arrivée nous attendrons à l’abri 20 bonnes minutes le temps que l’orage se calme pour rejoindre nos pénates

Profitant de porter du linge à la laverie, Boubou doit compléter son attirail de chaussures, nous avons à peine le temps d’arriver dans la rue       aux chaussures qu’un autre orage éclate ça traîne en longueur nous rentrons sous une pluie battante nous mettre au sec, une fois de plus trempé jusqu’aux os

 

C’est la saison des pluies on est dedans à fond vivement les Galápagos

 

21 Janvier

C’est donc le jour de marché toutes les rues du centre sont pleines d’étals (un étal des étaux)

Nous commençons par le marché aux bestiaux où il se vend du cochon d’IndeP1060442.JPG à la vache en passant par lapinP1060443.JPG pouleP1060444.JPGt poussin moutonP1060448.JPG porcelet porcP1060439.JPG lama

Puis le

 

 

 

 

 

P1060449.JPG  CORDES TRESSEESZ A LA MANO ET NFOIRAIL AUX VACHES           P1060454.JPG

marché traditionnel où’ on trouve de tout : vêtement, quincaillerie, chaussures, lingerie, bien entendu l’alimentaire sans oublier les bonimenteurs et de sacré menteurs qui vendent de la poudre de perlimpinpin avec photos à l’appui qui soigne le cholestérol, les allergies, la prostate, le diabète, qui rend plus valeureux

 

CA DISCUTE LE PRIX DE LA BESTIOLE

P1060467.JPGEt aussi les touristes venus en grand nombre pour voir tout ça et accessoirement les produits artisanaux

Mais mais pardessus tout ça il ne pleut pas, on voit même le sommet du volcan  IMBUBURA à 4600 m

Après midi farniente une bonne bière, la première, puis l’église il y a «  la neuvaine de Jésus » dans la 1° église les jeunes enfants de 2 à 4 ans sont d épuisés en anges, les plus grands ont des tenues de GAUCHOS, ainsi que quelques femmes d’autres ont des déguisements d’animaux

 

 P1060471.JPGCOCHON GRILLE POUR L ALMUERZO

 

La messe est animée des chansons aux rythmes endiablées (quoi le diable dans l’église) c’est assez joyeux, dans l’église quelques petits feux de Bengale, les chiens rentrent et sortent à souhait, c’est la « fiesta »

Dans la deuxième église certaines personnes arrivent avec dans les mains un lit avec l’enfant Jésus et des anges chacun ayant sa propre variante, avant la messe  sur le parvis de l’église une fanfare, d’une dizaine de musiciens endimanchés, joue des airs andins

 

  P1060477.JPGUNE ELEGANTE                                                                                                              COUPLE D INDIENS RURAUX

P1060485.JPGQUIPROQUO : depuis 2 soirs de suite nous entendons de la musique Andine d’une fanfare supposée, nous dévalons les escaliers pour aller voir de plus prés, le taulier nous demande où nous allons si vite on explique, il éclate de rire, ce n’est que le ramassage journalier des poubelles qui est signalé par la diffusion de la musique par le camion poubelle GAG

 

 

 

 

 

 

 

P1060500.JPGALMUERZO SUR LE MARCHE

P1060514.JPG

 

 

 

 

       FRESQUE PICASSOÏESQUE COTACHI

 

22 Janvier

 

Il pleuvasse nous devions aller faire une marche, vu le temps on a préféré aller à Cotcachi, bourgade réputée pour ses cuirs

Il faut 20 mn en bus  avec un arrêt à QUIBORA, d’où l’on peut en taxi ou « collectivos » rejoindre le lac autour duquel on peut faire une marche de 5 à 6 h

Arrivée à destination tous les magasins sont fermés, l’ouverture se sera à 11 H, en attendant tour de ville, super sympa, jolie, agréable très calme,

Vers 10 h 30 peu à peu les rideaux se lèvent et on peut commencer les achats dans certain magasins des produits de très haute qualité notamment chez «SACCARDI callé 10 Agusto » de superbes sac à mains, P1060527.JPG

Tout est fabriqué artisanalement on peut voir les mini ateliers dans les arrière boutiques

Beaucoup de cette fabrication est exportée en Italie «  cherchez l’erreur » 

A 13 h almuerzo puis nouvelle pluie heureusement devant chaque magasin il y a un auvent on peut donc continuer de faire les magasins à l’abri ou presque de la pluie

A 16 H il pleut toujours nous n’irons pas au lac et rentrons directement à l’hôtel

Demain nous regagnons Quito et mardi matin envol pour les Galapagos où j’espère nous aurons moins de pluie et où nous n’aurons plus de difficulté à respirer quoique ça va beaucoup mieux, on s’habitue

 

23 JANVIER

 

Lever 3 H 10 pas bien réveilolé j'avais regardé la montre à l'envers et j'avais 6 h30 , je me léve , brossage de dent et Boubou inquiète de la nuit noire regarde la montre, retour au lit pour continuer la nuit , surtout que nos voisiosns de chambre aavaient fait la fiesta jusqu'à minuit 

Départ 8 arrivée à 10 H à QUITO  

Trouvons un hôtel sympa dans le centre de la ville nouvelle là ou il y a les touristes

HÖTEL SUNRISE 

J.CALAMA E7_46y Reina Victoria  @   hostalsunrise@yahoo.com

20 $ la double avec eau chaude et cuisine

ACCUEIL SYMPA

retour à la vieille ville ou nous visitons la cathédrale particularrité double plafond dont le premier est ouvragé, ballade tranquille retour à l'hôtel à souligner la premiére journée ou nous n'avons pas mis les impers

 

 

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